Médicament constipation

Chlorumagene poudre orale - boîte de 100 g
Produit en stock
10.99 €
Lansoyl gel oral - 9 unidoses de 15 g
Victime de son succès
6.10 €
Lansoÿl framboise gel oral - pot de 225 g
Produit en stock
7.79 €
Agiolax granulés - boîte de 100 g
Expédition sous 2 jours
15.65 €
Dulcolax 5mg - 30 comprimés enrobés
Produit en stock
6.55 €
Spagulax mucillage pur granulés - boîte de 700 g
Victime de son succès
19.40 €
Grains de Vals 12,5 mg - 20 comprimés enrobés
Victime de son succès
3.80 €
Lansoyl sans sucre gel oral - pot de 215 g
Produit en stock
7.79 €
Movicol Chocolat - boite de 20 sachet-doses
Victime de son succès
4.26 €
Parapsyllium laxatif - boite de 30 sachets
Produit en stock
19.79 €

Quand peut-on parler de constipation ?

On parle de constipation quand on va à la selle moins de 3 fois par semaine.

 

Ce trouble se manifeste par une difficulté à éliminer des selles. On a l’impression que l’évacuation des selles est incomplète. Celles-ci sont souvent petites et dures. On ressent également des douleurs accompagnées d’une sensation de lourdeur et de ballonnements au ventre.

 

On distingue deux types de constipation :

  • La constipation de transit qui est caractérisée par une avancée très lente des selles et leur stagnation dans le côlon.
  • La constipation terminale qui est une accumulation des selles dans le rectum.

Risques associes a une constipation.

Elle peut être chronique ou passagère. Une constipation chronique peut perdurer pendant 6 mois. Elle doit être prise en charge, car sans soin adéquat, elle risque d’engendrer des complications telles que les hémorroïdes et les fissures anales.

La constipation est inoffensive en général. Toutefois, elle est très incommodante et peut poser des problèmes sérieux à long terme. Si elle dure plus de deux semaines, elle peut être le signe d’une occlusion intestinale. Il faut savoir que cette pathologie nécessite une hospitalisation.

 

Quels médicaments contre la constipation ?

L’objectif des médicaments est de faciliter le transit et l’élimination des selles.

 

Dans le cas d’une constipation de transit, les médecins recommandent de modifier le régime alimentaire en augmentant la quantité de fibres consommées. Pour cela, mangez beaucoup de crudités, de légumes cuits, de fruits et surtout des céréales. Ils conseillent aussi de boire suffisamment d’eau et d’éviter l’alcool et les boissons caféinées.

 

Si la constipation persiste, le médecin recommandera un laxatif. Il en existe 6 catégories.

  • Les laxatifs de lest ou de masse

Contiennent des extraits de végétaux riches en mucilage ou des fibres alimentaires. Ils modifient la consistance des selles en les ramollissant et en augmentant leur volume, pour faciliter leur évacuation. Les plantes les plus utilisées pour les mucilages sont l’ispaghul et le psyllium. Ce type de laxatif est doux pour l’intestin. En se liant à l’eau, les fibres se gonflent et ramollissent les selles. Il est donc conseillé de boire suffisamment d’eau.

 

Normalement, vous constaterez les effets du produit dans les 48 heures après la prise.

 

Les effets indésirables possibles sont les ballonnements et les crampes. Pour éviter de tels désagréments, il faut les intégrer progressivement dans l’alimentation.

  • Les laxatifs osmotiques

Attirent l’eau et la retiennent plus longtemps dans l’intestin pour ramollir les selles. Ces dernières vont donc augmenter de volume.

 

Ce type de laxatifs contient des sels minéraux tels que le sulfate de sodium, le sulfate de magnésium et l’hydroxyde de magnésium. Ils peuvent aussi renfermer des sucres qui ne peuvent être assimilés par l’intestin comme le lactulose, le mannose et le sorbitol.

 

Les laxatifs osmotiques agissent dans les 24 à 48 heures après leur absorption. Ceux à base d’hydroxyde de magnésium agissent dans les 6 à 8 h.

 

Des diarrhées, des ballonnements et des légères crampes d’estomac, sont quelques-uns des effets indésirables qui peuvent être observés après prise de ce médicament. À forte dose, ils peuvent entraîner une déshydratation.

  • Les laxatifs émollients

Ramollissent les selles et facilitent leur évacuation. Ils peuvent causer certains effets indésirables, dont la diarrhée et des crampes d’estomac légères.

  • Les laxatifs lubrifiants

Lubrifient les selles pour faciliter leur évacuation. Ils vont entourer les selles et permettent de retenir l’eau, tout en lubrifiant l’intestin.

 

Ces laxatifs contiennent de la paraffine ou de la vaseline.

 

Ils peuvent être administrés par voie rectale ou voie orale. Ils agissent dans les 6 à 8 heures après l’administration.

 

Une utilisation prolongée de laxatifs lubrifiants peut réduire l’absorption des vitamines a, e, d, et k, qui sont toutes liposolubles. L’huile de paraffine peut entraîner des fuites anales. Le passage des éléments dans les poumons peut conduire à des pneumopathies d’inhalation. Après l’absorption de ces laxatifs, il faut éviter de se coucher tout de suite. Des diarrhées peuvent être observées durant leur utilisation.

 

Aussi, ces laxatifs doivent être ainsi utilisés de manière occasionnelle.

  • Les laxatifs stimulants

Augmentent la motricité intestinale, en stimulant les muqueuses. Ils contiennent des extraits de plantes tels que la bourdaine, la rhubarbe, l’aloès, la cascara et le séné, ou de l’huile de ricin émulsionnée.

 

Ils sont déconseillés aux femmes enceintes. Ils peuvent entraîner une dépendance et des troubles intestinaux, en cas d’utilisation prolongée. Ils peuvent aussi causer une baisse du taux de sodium et de potassium dans le sang. Le traitement ne doit donc pas dépasser 8 à 10 jours pour ne pas créer une accoutumance et une paresse intestinale. L’utilisation doit être vraiment occasionnelle. Des crampes abdominales et des sensations de brûlure au niveau du rectum, et éventuellement une déshydratation, peuvent être observées.

 

Les laxatifs par voie rectale ou laxatifs de contact

Ils sont conseillés pour une constipation d’origine rectale (évacuation incomplète, effort de poussée, sensation d’obstruction intestinale). Ils agissent par contraction du rectum et lubrifient la paroi intestinale pour évacuer les selles.

Comme certains suppositoires, ils contiennent de la glycérine, ou du bicarbonate de sodium.

 

Ils agissent dans les 5 à 15 minutes après leur administration. Ils ont un effet instantané pour soulager la constipation terminale. En cas d’utilisation prolongée, un risque de perdre la stimulation naturelle qui pousse à aller aux toilettes est à craindre.

Notez que les microlavements agissent de la même façon que les suppositoires.

 

Quand sont-ils déconseillés ?

Les laxatifs sont déconseillés en cas de douleurs abdominales d’origine inconnue. Ils sont proscrits si vous avez des saignements rectaux inexpliqués, des nausées, des vomissements ou une obstruction intestinale. L’utilisation de laxatifs ne doit pas être prolongée, car cela peut favoriser une dépendance aux laxatifs. Ils peuvent aussi provoquer une paresse de l’intestin.

 

Comment prévenir une constipation ?

Quelques règles simples peuvent être appliquées pour prévenir une constipation. Une alimentation riche en fibres améliore le transit et l’évacuation des selles. Il faut également boire suffisamment d’eau pour ramollir les selles. Des exercices physiques modérés sont nécessaires pour stimuler le système digestif. Enfin, il faut prendre l’habitude d’aller aux toilettes à des heures régulières ou dès que le besoin se fait sentir.

 

Découvrez les principaux traitements contre la constipation 

Constipation chronique : tous les traitements pour y remédier 

Soins possibles pour la constipation en période de grossesse
Médicaments pour lutter contre la constipation
Traiter la constipation enceinte
Tous les traitements contre la constipation
Constipation bébé : tous les soins adaptés
Médicaments pour traiter la constipation 

Tous les remèdes contre la constipation
Recourir à l'homéopathie pour soigner la constipation
Médicaments contre la constipation