Indication de l’or

Nombreuses sont les pathologies traitées avec de l’or notamment les infections, et même les maladies potentiellement mortelles. Notamment l’arthrose, la polyarthrite rhumatoïde, le cancer de la prostate, du pancréas et du cerveau. Il en est de même pour le rhumatisme chronique, la maladie de Raynaud, l’arthrite psoriasis et les troubles cardiovasculaires. D’autres pathologies sont encore traitées par l’or comme la tuberculose, les infections microbiennes et virales ainsi que les infections de la peau. L’or traite également la perturbation du système immunitaire, la dépression, le stress et la fatigue.

 

L’or peut interagir avec d’autres éléments notamment avec le cuivre et l’argent. Étant un modificateur de terrain, l’or est souvent prescrit avec ces derniers. Il est indiqué pour traiter le développement de l’anxiété ou de la dépression. L’or peut également être combiné avec du soufre pour agir sur le bacille de Koch. Il est alors utilisé pour soigner la tuberculose et les rhumatismes. L’or peut aussi être combiné avec le sélénium afin de réguler l’hypertension artérielle. Il faut savoir que cette combinaison peut en outre aider à traiter les troubles cardiovasculaires.

 

• Stimulant et antistress

 

L’or possède de nombreuses vertus notamment dans les médecines naturelles, oligothérapie et homéopathie. Ces propriétés bénéfiques ont été expérimentées depuis une cinquantaine d’années et ces études ont permis d’obtenir des résultats surprenants.

 

L’or peut être pris sous forme d’oligoélément. Dans ce cas, il est excellent pour ses capacités de défense et d’adaptation de l’organisme contre les perturbations du système immunitaire. L’or peut renforcer l’immunité et aide à combattre le stress ; notamment après un choc physique comme des chutes ou des interventions chirurgicales. Il agit de même contre les déprimes, les cauchemars, les baisses de l’élan vital et les infections répétées.

 

Stimulant naturel, les propriétés antifatigues et antistress de l’or proviennent de son aptitude à activer la fonction des glandes surrénales. Ainsi, il peut stimuler la libération de cortisol. L’or est naturellement anti-inflammatoire et peut également traiter l’arthrose et la polyarthrite rhumatoïde. Toutefois, les principes actifs de l’or sont encore peu connus. De ce fait, sa prescription n’est pas courante. En effet, peu sont les médecins connaissant les vertus de ce métal précieux sur la santé des personnes âgées. Il permet de stimuler les réactions enzymatiques, le système digestif et neuronal chez les octogénaires. Ainsi, il aide à retarder le vieillissement. Il est tout de même recommandé d’éviter de faire de l’automédication avec ce métal précieux. Il pourrait déstabiliser le métabolisme s’il n’est pas pris à bon escient.

 

• Cancer

 

La nanoscience offre la possibilité de grossir les objets des millions de fois. L’or possède des propriétés surprenant au niveau nanométrique. Il ouvre de larges perspectives dans la lutte contre le cancer. Les nanoparticules d’or sont alors utilisées dans la localisation et la destruction des cellules cancéreuses avec plus de précision. Il faut savoir que l’or est inerte, toutefois il devient très actif lorsque sa taille est inférieure à 5 nanomètres. De plus, ses propriétés chimiques peuvent changer radicalement.

Il peut alors servir à diagnostiquer le cancer tôt avant l’apparition des nodules. Pour ce faire, l’or se fixera sur les cellules malades rendant sa détection par les rayons X rapides et précise. Employer les nanoparticules d’or pour cibler les cellules cancéreuses est un grand pas dans le diagnostic précoce du cancer.

Deux domaines de recherche sont alors pris en compte notamment la photothermie et la vectorisation. La photothermie est déjà utilisée pour les cancers du cou et de la tête. Cette méthode consiste à chauffer les nanoparticules d’or. Le but étant de brûler sélectivement les cellules cancéreuses sans porter atteinte au reste du corps. La vectorisation, quant à elle, consiste à greffer des molécules tueuses sur des nanoparticules d’or. Cela pour qu’ils puissent se fixer sur les cellules malades et les détruire tout en épargnant les tissus sains.

 

Ces recherches ont des impacts énormes du fait que les traitements disponibles peuvent produire des effets collatéraux. Ainsi, à long terme, ces procédures non invasives pourraient remplacer la chimiothérapie ou la radiothérapie. Ces procédés ont l’inconvénient de toucher les bonnes comme les mauvaises cellules. Les études menées sur des animaux ont démontré des résultats encourageants. Particulièrement celles concernant les cancers de la prostate, du pancréas et du cerveau.

 

La chrysothérapie

Utiliser l’or comme agent thérapeutique dans la médecine est une idée très ancienne. En effet, c’est en 1 500 av Jésus Christ que ce fait a été mentionné dans des documents.

 

La chrysothérapie est l’utilisation de l’or métallique ou ses composés organiques ou inorganiques à des fins thérapeutiques. Le terme courant utilisé pour désigner les composés organiques de l’or est le sel d’or. Il s’agit des excipients les plus utilisés dans les préparations pharmaceutiques. Pourtant, chimiquement, ils ne peuvent pas être considérés comme étant des sels.

 

C’était en 1935 que des travaux scientifiques dans ce domaine ont été entrepris pour la première fois. Ils avaient comme objectif principal de réduire l’inflammation et de ralentir ainsi la progression de la maladie. Ce procédé intéresse surtout les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde. Les composés chimiques de l’or sont également employés en galvanoplastie. Ils sont aussi utilisés comme réactifs en chimie organique.

Les sels d’or possèdent des propriétés anti-inflammatoires en s’accumulant lentement dans le corps. Ces vertus ont permis aux sels d’or d’être efficace dans le traitement de diverses affections. Notamment, la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn et le rhumatisme psoriasique. Il en est de même pour la glomérulonéphrite membraneuse, le lupus érythémateux et plus rarement l’arthrite chronique juvénile.

 

Pour cette dernière pathologie, il peut être utilisé comme substitut du méthotrexate ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens. C’est un traitement coûteux nécessitant une surveillance étroite. D’autre part, l’or colloïdal radioactif est utilisé comme étant un traitement radiothérapique anticancéreux. Cela à cause de la possibilité de distribution dans l’ensemble de l’organisme qu’il offre et de sa courte demi-vie.

 

Utilisation de l’or dans la pharmacologie

Élément rare, l’or n’est pas présent dans les tissus de sujets n’ayant pas subi de traitement à base d’or. De plus, il ne possède aucun rôle physiologique connu. L’or élémentaire était utilisé comme traitement antituberculeux. On a alors observé par hasard chez les patients tuberculeux une amélioration de la polyarthrite rhumatoïde. C’est ainsi que les sels d’or furent utilisés en rhumatologie.

 

Actuellement, l’or est employé comme traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde sous forme de complexe organométallique. Notamment l’aurothiopropanolsulfonate de sodium et l’auranofine. Ce dernier est administré par voie buccale deux fois par jour. Le premier par contre est injecté par voie intramusculaire. Cela se fait d’abord en une fois par semaine pour passer à une fois toutes les deux ou trois semaines après.

Des effets positifs sur des symptômes articulaires de la polyarthrite rhumatoïde ont été constatés après trois à six mois de traitement. Toutefois, les rhumatologues ont remarqué que la forme injectable l’aurothiopropanolsulfonate est plus efficace que la forme orale. Il faut savoir que le mécanisme de l’or reste encore mal connu. Cependant, les praticiens considèrent qu’il a une interaction avec des groupes SH. Ainsi, il peut apporter une modification de certaines réactions immunitaires ainsi que diverses réactions enzymatiques.

 

Les données d’études d’évolution d’un médicament dans l’organisme, surtout celles concernant l’aurothiopropanolsulfonate de sodium sont encore incomplètes actuellement. De plus, le schéma d’adaptation de posologie suivant les concentrations plasmatiques mesurées est absent.

 

Les effets secondaires de la chrysothérapie

Il faut savoir que des effets indésirables peuvent survenir pendant la prise des remèdes à base de sels d’or. Ils peuvent dans de rares cas conduire à l’arrêt complet du traitement.

 

Ainsi, des irritations cutanées sont l’un de ses effets indésirables rapportés. Il s’agit notamment, du prurit, de l’éruption, de l’érythrodermie et du lichen aurique. La néphropathie accompagnée de protéinurie est aussi l’un de ces effets secondaires causés par les sels d’or. D’autres effets indésirables notamment les altérations hématologiques peuvent également être constatés. Des cas d’éosinophilie, de neutropénie, de thrombopénie et d’aplasie médullaire avec pancytopénie peuvent aussi apparaitre. La prise de ce médicament peut en outre provoquer des atteintes hépatiques comme l’hépatite avec cholestase.

 

Des troubles pulmonaires, dont la pneumopathie aurique peut aussi survenir. D’autres effets indésirables comme les atteintes digestives et oculaires peuvent aussi se manifester. La chrysiase cornéenne est le trouble oculaire rapporté, il s’agit d’un dépôt d’or dans la cornée. Les dommages causés aux niveaux digestifs peuvent être des stomatites, des vomissements, des diarrhées, des saignements ou encore des douleurs abdominales.

 

Il faut également savoir que les sels d’or sont contre-indiqués chez les femmes enceintes. Bien que des apparitions d’effets indésirables soient possibles, cela ne justifie pas un motif pour interrompre le traitement. L’utilisation des dérivés de l’or peut engendrer de fréquents et nombreux effets indésirables. De ce fait, sa prescription est uniquement réservée au traitement des formes graves de polyarthrite rhumatoïde. Notamment celles qui ne montrent pas d’amélioration après la prise d’autres médicaments.

 

L’or dans la nanotechnologie

Physiquement et dans sa forme naturelle, l’or est un métal jaune. Il possède une structure cubique avec une face centrée. Son point d’ébullition environne les 1068 °C. L’or est un élément chimique inerte caractérisé par sa résistance à l’oxydation. De ce fait, ce métal ne se dégrade pas avec le temps.

 

Les vertus macroscopiques de l’or ne sont pas celles utilisées à l’échelle nanométrique. En effet, les nanoparticules d’or ont une taille inférieure à 10 nanomètres. De plus, l’or possède l’avantage d’avoir des propriétés optiques intéressantes. En effet, selon leur taille, les nanoparticules changent du rouge au violet. En jouant avec le facteur forme, d’autres couleurs notamment le vert et le bleu peuvent être obtenues.

 

• Biomédical

 

L’or est utilisé en médecine depuis des milliers d’années notamment en Inde, en Égypte ou en Chine. En effet, les médecins de l’antiquité exploitaient déjà l’or pour ses qualités. Récemment, des connecteurs de stimulateurs cardiaques, des implants d’oreille interne ou des plaques de protection artérielles ont profité de ses propriétés non toxiques. De plus, les nanoparticules d’or commencent à être utilisées ou recherchées dans de nombreuses applications biomédicales. Notamment, en imagerie médicale, car sa forte opacité aux rayons X fait de ses nanoparticules un atout efficace pour cet usage. En considérant particulièrement son effet contraste.

 

Le domaine de la santé utilise surtout les propriétés optiques et la biocompatibilité de ce métal précieux. L’or est surtout utilisé pour effectuer des tests rapides afin de mettre en évidence un composé en médecine. Notamment, en cas d’allergies, en toxicologie, etc. De plus, les études s’orientent également vers le marquage. Effectivement, l’or est inerte tout en formant des particules sphériques presque parfaites. Ainsi, des protéines peuvent être liées solidement et de manière durable sur la surface des particules.

 

De ce fait, des kits de test rapide avec de l’or peuvent être développés. Le métal sera alors absorbé dans des anticorps ou antigènes spécifiques au composé à détecter. Le principe est simple. En effet, des échantillons concernés notamment de l’urine, de la salive ou du sang seront appliqués sur le test. Ces éléments migreront alors vers les particules d’or. Le complexe produit se déplacera alors et sera immobilisé par les protéines en générant un signal dans le rouge.

 

De nombreuses expériences utilisent des nanoparticules d’or pour cibler et localiser plus précisément les cellules. Ceci afin de visualiser ou chauffer ces derniers pour les détruire. Ce procédé est utilisé dans le traitement de cancer. En effet, le sang ainsi que les tissus humains absorbent les ondes lumineuses du proche infrarouge. De ce fait, l’utilisation d’un laser externe dans le traitement des cellules cancéreuses ne sera plus nécessaire. Ce procédé peut même être utilisé pour la réparation d’une blessure ou pour l’établissement des diagnostics sanguins.

 

Les obstacles seront alors contournés grâce à la résonance plasmon et à la perspective offerte par les métaux solides. L’or sera alors utilisé en premier plan du fait de sa non-toxicité. Ce phénomène correspondra alors à une forte absorption optique. Cela grâce à une réponse collective des électrons d’un métal à une excitation lumineuse. Des cellules artificielles seront alors créées notamment sous forme de nanocapsules d’or. Il s’agit d’un noyau diélectrique composé de silice entouré d’une couche métallique ultra fine.

 

La réponse optique dépendra fortement de la différence de taille entre l’enveloppe. En modifiant ce rapport, des nanocapsules peuvent être fabriquées à volonté. Cela permettra de chauffer au laser et pourra détruire les cellules cibles à côté duquel on les aura conduites. La procédure n’est pas intrusive et ne cause pas d’effet secondaire contrairement à la chimiothérapie et à la radiothérapie.

 

• Biologie

 

Les nanoparticules d’or sont utiles et répandues en biologie. Notamment pour la vectorisation de molécules thérapeutiques vers un organe. Il en est de même pour le diagnostic et imagerie, mais aussi pour la thérapie. Les recherches se concentrent surtout sur l’amélioration de l’efficacité de l’utilisation de l’or.

 

Depuis des dizaines d’années, le traitement des cellules cancéreuses se fait surtout par radiothérapie ou photothérapie. Plusieurs études ont été menées afin de perfectionner les conditions de traitement des patients. Notamment, afin de diminuer les doses de rayonnement qu’ils reçoivent et aussi pour augmenter l’efficacité du traitement par une localisation précise de la zone d’irradiation. Les nanoparticules d’or sont des outils très prometteurs. En effet, les cellules cancéreuses sont ciblées en greffant des molécules dites tueuses sur des nanoparticules d’or. Généralement, les nanoparticules d’or sont utilisées en biologie pour la vectorisation de médicaments. Il en est de même pour le transport de gènes ou de cellules-souches et pour la détection d’agent infectieux.

 

L’utilisation de ces nanoparticules en thérapie ne s’est faite que depuis quelques années seulement. L’usage principal concerne surtout la photothermie. Ce dernier consiste à envoyer de la lumière par laser sur des cellules contenant des nanoparticules. Ce procédé provoque de la chaleur importante conduisant à la destruction de la cellule. L’avantage avec l’or est qu’il est peu toxique, les nanoparticules sont de petites tailles et donc peuvent entrer dans les cellules. Des études menées sur des souris ont démontré que les nanoparticules d’or aident les rayons X à éliminer efficacement des cellules cancéreuses. Les scientifiques espèrent affiner leurs techniques afin de les appliquer plus tard sur l’homme.

L’or possède de nombreuses vertus antioxydantes, de plus, il détient des propriétés le permettant de soigner le cancer.

 

Histoire de l’or dans la médecine

L’or est associé à Dieu, à l’immortalité et à la santé. Il a été utilisé dans la médecine et dans la dentisterie depuis des milliers d’années. Ce sont les Chinois qui ont eu recours à ce métal pour la première fois en l’an 2 500 avant Jésus-Christ. En effet, ils se servaient de l’or dans leurs préparations médicales. Notamment pour traiter les maladies de la peau comme la rougeole.

 

La médecine ayurvédique a déjà été pratiquée en Inde depuis des milliers d’années. Elle utilisait une quantité importante de minéraux et de métaux, dont l’or. Il est présenté sous forme de poudre ou de comprimé. D’un autre côté, certains Indiens consomment l’or de façon régulière. En effet, ils considèrent l’or comme un élément régénérateur. La posologie quotidienne étant d’un ou deux milligrammes mélangés avec différentes herbes. Les spécialistes pensent que la médecine ayurvédique est une source non négligeable de savoir sur la consommation de l’or.

 

Son utilisation dans des applications dentaires remonterait aux Étrusques. Il s’agit d’une ancienne civilisation italienne. Le fil d’or a servi comme fixateur pour les dents de remplacement aux VIIe siècles avant Jésus-Christ. L’or offre de nombreux avantages en stomatologie. Notamment, il est bio compatible, malléable et résistant à la corrosion. De plus, le contact de l’or avec une partie de l’organisme ne présente aucun risque pour la santé.

 

L’or est aussi utilisé dans la médecine moderne. En effet, pendant le XXe siècle, des traitements à base de composés d’or ont été expérimentés sur de nombreuses pathologies. Notamment, l’Auranofine à base de sel d’or pour le traitement de l’arthrite rhumatoïde. Ce dernier est une maladie inflammatoire touchant les articulations. Il s’agit d’une pathologie rhumatismale la plus fréquente à l’échelle mondiale.

 

L’or est également un métal de choix dans le domaine des implants à haut risque d’infections. Notamment, l’implant pour la partie interne de l’oreille. Ceci est dû à sa grande résistance au germe. De ce fait, l’or a su se faire une grande place dans la microchirurgie de l’oreille.

 

Dernièrement, les laboratoires universitaires et les industriels ont trouvé un grand intérêt dans l’utilisation de l’or. Notamment dans le cadre des recherches contre le cancer. Le traitement du cancer de la prostate peut se faire avec l’usage de trois grains d’or. Le but est de mieux guider les faisceaux du rayonnement lors de la radiographie. La paralysie du nerf facial peut être soignée en injectant quelques grammes d’or pur dans la paupière supérieure. L’objectif de l’intervention est d’aider les paupières supérieures du patient à se fermer. En effet, la paralysie musculaire empêche ce mouvement.

 

Définition de l’or

L’or est insensible à l’inflation, inaltérable, inoxydable et ne ternit jamais. Ce métal résiste très bien au temps. Il est utilisé depuis la nuit des temps comme remède dans la médecine chinoise ancestrale. L’or possède de véritables atouts pour la santé, et son champ d’action ne cesse de s’élargir.

 

L’or est biocompatible, de ce fait, il est complètement toléré par l’organisme. Il résiste également à la colonisation des microbes. L’or est un matériau de choix pour les couronnes dentaires, les prothèses auditives et les pacemakers. Il en est de même pour les plaques de protection des artères. L’or est une matière première totalement assimilée par le corps et résiste à la corrosion.

 

Il faut savoir qu’il n’y a pas d’apport nutritionnel conseillé pour l’absorption de l’or. En effet, ce composant est présenté à l’état de minerai. De plus, il peut être ingéré de façon quotidienne à travers les aliments notamment des légumes ou de la viande. Cet oligo-élément est puisé par certains aliments de la terre. Toléré par l’organisme, l’or est présent dans de nombreux médicaments. Notamment, ceux traitant de l’arthrose, la tuberculose, etc. Il faut savoir qu’aucun cas d’allergie n’a été rapporté. Toutefois, il est conseillé de respecter le dosage prescrit par le professionnel de la santé.

 

Il faut savoir que l’or ne provoque pas de carence. Bien qu’il soit biocompatible, il n’est pas retrouvé dans le sang. Il est vrai que la prescription des principes actifs de l’or n’est pas courante. Ce sont les oligothérapeutes qui accordent un intérêt particulier à ce métal précieux.