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L’oligothérapie est le fait de recourir aux oligoéléments pour soigner certaines maladies. Elle peut également revêtir un caractère préventif. En ce qui concerne le cuivre, il est utilisé dans ce domaine à des nombreuses fins. 

Si l’on se réfère à ses bienfaits sur le corps, le cuivre est donc un élément indispensable à la santé de celui-ci bien qu’il ne soit présent qu’en traces dans le corps. 

  • Augmente le taux de bon cholestérol dans le corps

D’abord, constituant certaines enzymes qui interviennent dans le métabolisme des lipides et des glucides, le cuivre aide le corps à éliminer le mauvais cholestérol et augmente le bon cholestérol. Le cholestérol est un lipide naturellement présent dans le foie, la moelle épinière et le cerveau. 70 % du cholestérol est fabriqué par l’organisme par le biais du métabolisme des lipides. Ayant pour rôle principal de produire de la vitamine D, le cholestérol constitue également certains tissus du corps. Ce lipide participe, en outre, à la formation de sels biliaires et à la sécrétion d’hormones sexuelles et surrénales comme la testostérone et la cortisone.

 

Deux types de cholestérol se distinguent dans l’organisme, à savoir le bon cholestérol ou HDL et le mauvais cholestérol ou LDL. C’est le bon cholestérol qui agit pour le bien du corps, tandis que le mauvais cholestérol peut s’avérer nocif pour la santé. Si le bon cholestérol intervient dans la synthèse de la vitamine D et de certaines hormones, le mauvais cholestérol est plutôt connu pour son accumulation au niveau des vaisseaux sanguins, source de plusieurs maladies cardiovasculaires. Le rôle du cuivre étant d’éliminer le mauvais cholestérol, il participe indirectement à la prévention des maladies cardiovasculaires. 

  • Catalyseur dans le processus de formation des globules rouges

Les globules rouges sont des cellules sanguines qui servent à transporter l’oxygène dans les tissus et les organes du corps. Ce sont aussi ceux qui s’occupent du transport du dioxyde de carbone allant des organes. Les globules rouges ou hématies sont synthétisés au niveau de la moelle osseuse. Par le biais d’un processus assez complexe, une hormone appelée érythropoïétine contribue à la formation des globules rouges en activant une division cellulaire : la mitose.

 

Puisque les globules rouges assurent un rôle prépondérant dans l’oxygénation de l’organisme, il est donc important de garder leur taux élevé dans le sang. Faute de quoi le corps subirait des malaises et des troubles. L’insuffisance en hématies est appelée anémie. Pour prévenir de telle maladie, le cuivre, contenu dans la moelle osseuse, agit en tant que catalyseur majeur dans la formation des globules rouges. 

  • Participe à la formation de collagène

Le collagène est la protéine la plus abondante du corps. Il est présent dans les os, la peau, les muscles, le cartilage ainsi que les parois des vaisseaux sanguins. Sécrété par les cellules des tissus conjonctifs, le collagène a pour rôle principal de prévenir le vieillissement des cellules. Le collagène présent dans la peau a donc un rôle antiride. Il permet aux tissus de la peau de garder leur élasticité et leur permet de se régénérer.

 

Le collagène permet, en outre, de fixer le calcium sur les os. Cette fixation est d’ailleurs à la base de la préservation des rhumatismes de toutes sortes. Le cuivre stocké au niveau des tissus conjonctifs participe activement à la formation de collagènes. C’est pour cette raison que son rôle dans la prévention des maladies articulaires est important. Il en est de même pour la prévention d’une vieillesse précoce. L’action se fait indirectement par l’intermédiaire du collagène. 

 

Par ce même processus, le cuivre participe à la solidité des os et à la qualité du cartilage. Le calcium est un élément majeur à la croissance et au maintien de la masse osseuse. Le cuivre est le producteur de collagène, celui-ci étant un fixateur de calcium sur les os. Le cuivre garantit ainsi la solidité de ces derniers. Pour ce qui est des cartilages, c’est la fixation du calcium sur ceux-ci qui permet d’éviter l’altération des cartilages, source de l’arthrose. 

  • Participe à la pigmentation des cheveux, des yeux et de la peau

La pigmentation est la coloration des téguments de la peau, des yeux ainsi que des cheveux. La couleur de ceux-ci dépend ainsi de la pigmentation. La génétique joue un rôle prépondérant là-dessus. En effet, c’est un acide aminé appelé mélanine qui est responsable de la pigmentation de ces organes. Une défaillance en mélanine provoquerait une dépigmentation. Les cheveux blancs, la décoloration de la peau, ce sont des formes de dépigmentation. En général, les cheveux blancs apparaissent à l’âge adulte, leur apparition précoce serait donc qualifiée de vieillissement prématuré. Ce phénomène est dû à une carence en cuivre.

 

Une autre forme de dépigmentation, l’albinisme frappe également certains individus. Il peut être d’origine génétique, c’est-à-dire la dominance d’un gène albinos de l’un des parents. Toutefois, l’albinisme peut être la conséquence d’une carence en cuivre chez le fœtus. Dans ce cas, le bébé est né albinos sans que l’un de ses parents le soit. L’albinisme se manifeste par une décoloration totale ou partielle de la peau, des cheveux et des yeux.

  • Agit sur le système nerveux

Le système nerveux est constitué de neurones. Certaines cellules du système nerveux, notamment les cellules aplaties, sont enrobées de ce qu’on appelle cellules de Schwan. Ces cellules forment une gaine appelée gaine de myéline. La gaine de myéline, constituée d’environ 300 couches de membranes, augmente la vitesse de la transmission des flux nerveux au niveau du système nerveux. Plus la vitesse des influx nerveux est rapide, plus le cerveau répond facilement aux demandes.

 

Le rôle du cuivre dans ce processus est d’assurer le bon état de la gaine de myéline. Mal-entretenue, la gaine de myéline ne pourrait pas assurer sa fonction de propulseur des flux nerveux à travers le corps. C’est ce qui rend le cuivre indispensable à ce stade.

  • Permet de soigner les douleurs articulaires, les états fébriles et grippaux

Il a mentionné précédemment que le cuivre a déjà prouvé son utilité dans le soin des états fébriles et grippaux il y a des siècles. Sa propriété anti-inflammatoire se hisse encore aujourd’hui dans l’oligothérapie. En effet, le cuivre est connu par sa capacité à traiter les douleurs lors des maladies articulaires, le rhumatisme ou l’arthrose en l’occurrence. Le processus est le suivant : le cuivre intervient dans la synthèse d’hormones surrénales, à l’instar de la cortisone. La cortisone étant une hormone qui soulage les douleurs. Et elle est spécialement synthétisée pour répondre au besoin de soulagement lorsque le corps éprouve des douleurs. 

 

Cette action anti-inflammatoire est aussi prouvée par le fait que le cuivre participe à la synthèse des prostaglandines qui sont, elles aussi, des hormones anti-inflammatoires. 

  • Autres rôles du cuivre sur l’organisme

Outre les rôles du cuivre cités ci-dessus, il existe d’autres rôles de cet élément. Le cuivre agit sur le cerveau, notamment sur l’hypophyse pour équilibrer la fonction de la thyroïde. Il est également une antiagrégation plaquettaire, ce qui évite la coagulation du sang. 

Via le superoxyde dismutase, le cuivre agit en tant qu’antioxydant. Par cette action, il diminue le taux de radicaux libres dans le corps, ces radicaux libres étant responsables du vieillissement prématuré des cellules, voire de certains cancers. 

 

Comment se procurer du cuivre pour garder son apport nutritionnel ?

Le cuivre est en général apporté par les aliments consommés quotidiennement. Seule une malnutrition peut causer une carence en cuivre. Toutefois, il existe des circonstances particulières où le cuivre doit être pris en supplément de l’alimentation. C’est par exemple le cas d’un régime restrictif ou d’une baisse d’appétit. 

 

La dose journalière recommandée en cuivre est de 1 mg chez les femmes, si elle est de l’ordre de 1,5 mg chez les hommes. Il s’agit ici de sujet adulte. La dose chez les enfants n’est pas définie. 

 

Chez les sportifs, la dose doit être majorée de 0,5 mg à 1 mg par jour, sachant que cette catégorie d’individus dépense plus en énergie. 

 

La dose journalière de cuivre ne doit toutefois pas dépasser les 5 mg. Au-delà de cette quantité, le cuivre pourrait nuire à la santé. 

 

En complément alimentaire, le cuivre est disponible sous forme de solution liquide, d’ampoule, de comprimés ou de gélules. Le cuivre est également intégré dans les suppléments nutritionnels sous forme d’oxyde de cuivre, de sulfate de cuivre, de chlorure de cuivre, de gluconate de cuivre et de pidolate de cuivre. Pour le traitement, il faut prendre le cuivre à jeun le matin et avant chaque repas. La dose à prendre ne dépassant pas les 1,25 mg de cuivre par jour, la durée d’une cure de cuivre se fait en principe entre 2 à 3 mois. 

 

Le cuivre est inversement lié au fer et au zinc. Aussi, une supplémentation en fer ou en zinc pourrait entraîner un déficit en cuivre. Ce déficit n’est autre que le corollaire d’une malabsorption du cuivre à la suite d’une forte absorption de zinc ou de fer. De la sorte, il faut consulter le médecin avant toute prise afin d’évaluer les proportions de ces éléments. Il en est de même pour la vitamine C. L’alcool est aussi un facteur de perturbation de l’assimilation du cuivre. C’est ainsi que les alcooliques sont, dans la plupart du temps, en manque de cuivre. 

 

Le manque de cuivre, bien que rarissime, peut donc survenir. Dans ce cas, qu’est-ce qui se passe ?

 

Les effets d’un déficit en cuivre

Majoritairement, ce n’est pas l’apport en cuivre qui est défaillant. C’est plutôt son assimilation qui provoque une déficience dans le corps. C’est le cas notamment lors des diarrhées chroniques ou d’une malabsorption intestinale. Des affections congénitales telles que l’albinisme sont aussi sources de déficit en cuivre. 

 

Une carence en cuivre entraîne plusieurs troubles comme l’arythmie cardiaque, la fatigue, la fragilité osseuse et cartilagineuse, la fragilité et la décoloration des cheveux, l’hypertension artérielle ou l’anémie. Dans le pire des cas, il se peut que la personne en carence soit atteinte d’une malformation osseuse ou même de stérilité. 

 

Un apport insuffisant en cuivre serait aussi à l’origine d’une défaillance du système nerveux. Avec l’âge, l’assimilation du cuivre se trouve de plus en plus en difficulté. Cependant, les personnes âgées ont le plus besoin de cuivre pour maintenir l’équilibre du système nerveux et de la pigmentation. 

 

Les cheveux qui blanchissent, le métabolisme et la capacité motrice qui ralentissent, ce sont des signes de carence en cuivre. 

 

Par ailleurs, un déficit en cuivre signifie une diminution du taux de globules rouges dans le sang, c’est l’anémie. Ce qui va entraîner sans doute un défaut d’oxygénation dans les organes. D’où l’arythmie cardiaque. Le cœur est obligé de booster l’oxygénation en activant plus les hématies présentes dans le sang. Cette action va engendrer une arythmie cardiaque. À la longue, des accidents cardiovasculaires peuvent survenir, sans parler de l’hypertension artérielle. 

 

En tant que protecteur des os, le cuivre est donc un incontournable de la prévention de toute forme d’altération de la masse osseuse. Il est également un élément indispensable au bon fonctionnement des articulations, via le cartilage et au maintien de celles-ci en bonne santé. Un déficit en cuivre serait donc un facteur de risque de rhumatisme. L’altération du cartilage peut être provoquée par l’insuffisance de cuivre à ce niveau. Il en est autant pour les douleurs articulaires causées par de tels troubles, car il y a insuffisance d’hormones anti-inflammatoires. 

 

En manque de cuivre, le corps ne peut pas se débarrasser du mauvais cholestérol. C’est donc un effet inverse qui se produit, une élimination du bon cholestérol. Or, un excès de mauvais cholestérol est dangereux pour la santé, surtout au niveau des vaisseaux sanguins. Les accidents vasculaires cérébraux sont en général les conséquences directes d’une accumulation de mauvais cholestérol dans le sang. 

 

Étant un anticoagulant, le cuivre permet d’éviter la formation des caillots sanguins. Les caillots sont aussi responsables des accidents vasculaires cérébraux. 

 

Et si le cuivre est en excès dans le corps ?

 

Les conséquences liées à l’excès de cuivre dans l’organisme

Le comité d’experts de l’OMS a établi que la dose toxique de cuivre s’élève à 0,5 mg par jour par kilo de poids corporel. Au-delà de cette dose, la quantité de cuivre absorbée est jugée excédentaire. Les effets sont palpables à long terme, mais sont plutôt rares.

Un excès en cuivre se manifeste en plus par des nausées et des douleurs musculaires. C’est une sensation de fatigue à longueur de journée. 

 

À long terme, un déficit en cuivre entraîne hépatite qui peut se révéler mortelle. La forte teneur en cuivre dans le foie explique ce phénomène. 

 

Puisque le déficit en cuivre peut provoquer tant de troubles, il est alors nécessaire de garder un apport suffisant en cet oligoélément. 

 

Les aliments qui contiennent du cuivre

Une alimentation saine doit apporter la dose journalière appropriée en cuivre. Néanmoins, il y a des aliments qui en comportent plus que d’autres. Le foie, les fruits de mer, les noix et noisettes, les légumes secs et les céréales complètes sont des aliments sources de cuivre. Quant aux boissons, l’eau minérale et certains vins rouges apportent également du cuivre. La liste suivante peut servir de référence pour connaître la dose journalière de cuivre absorbée.

Le foie est le morceau le plus riche en cuivre dans le règne animal. Ainsi :

  • 100 g de foie de veau contiennent 20 mg de cuivre.
  • 100 g de foie d’agneau contiennent 8,5 mg de cuivre.

Les noix sont aussi enrichies en cuivre. C’est le cas de la noix de cajou du Brésil et du cacao :

  • 100 g de cacao contiennent 2,7 mg de cuivre.
  • 100 g de noix de cajou contiennent 2 mg de cuivre.
  • 100 g de noix du Brésil contiennent 1,75 mg de cuivre.

Même à basse quantité, les fruits de mer apportent autant de cuivre pour satisfaire le besoin journalier selon la quantité absorbée :

  • 100 g de bigorneaux contiennent 1,7 mg de cuivre.
  • 100 g d’huître contiennent 1,5 mg de cuivre.
  • 100 g de bulots contiennent 0,8 mg de cuivre.
  • 100 g de crevettes contiennent 0,8 mg de cuivre.

Les légumes et légumineuses sont en effet moins enrichis en cuivre. De la sorte, les végétaliens et végétariens sont plus exposés à la carence en cuivre étant donné que leur régime est dépourvu de viande et de fruits de mer.

 

Pour finir, l’apport en cuivre peut être apporté par les boissons. L’eau minérale contient du cuivre. Il faut alors boire suffisamment d’eau pendant la journée. 1,5 litre d’eau est préconisé pour maintenir le corps en bonne santé.

Le cuivre est un oligoélément essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Le cuivre appartient à la famille des métaux, comme l’or et l’argent. Dans le tableau périodique des éléments, il possède le numéro atomique 29 et est connu sous le symbole Cu. Le corps humain en bonne santé contient aux environs de 100 mg à 150 mg de cuivre. Le cuivre se situe au niveau des noyaux cellulaires, du cytoplasme ainsi qu’au niveau des mitochondries. Il assure plusieurs rôles bienfaisants dans l’organisme, en l’occurrence le bon fonctionnement du système nerveux et la formation des globules rouges. 

 

Le cuivre a déjà été utilisé pendant l’Antiquité pour guérir certaines infections. Ce sont les Grecs, les Égyptiens ainsi que les Aztèques qui ont opté pour ce type de remède. Les maux de gorge et les éruptions cutanées étaient alors traités par une préparation à base de cuivre. La propriété bactérienne du cuivre n’a intéressé les scientifiques qu’à partir du XIXe siècle, époque où les relations entre agents pathogènes et maladies ont été mises en évidence.

 

Mais ce n’est que très récemment que cette propriété antibactérienne a été homologuée. L’Agence Américaine de Protection de l’Environnement (EPA) par exemple, a homologué le cuivre en tant que remède contre la prolifération de certaines bactéries nocives pour la santé.

 

Étant donnée sa quantité en traces dans le corps, le cuivre peut s’avérer potentiellement toxique en excédant la quantité utile. La dose toxique de cuivre dans le corps est estimée à 0,5 mg par kilogramme de poids chez l’adulte. Cette dose a été établie par le comité scientifique de la FAO/OMS. L’apport journalier en cuivre, dont 1 mg par jour pour les femmes et 1,5 mg par jour pour les hommes, est suffisamment apporté par les aliments. La préparation ou la conservation des aliments dans un récipient en cuivre est ainsi déconseillée au risque d’excès. 

 

Le cuivre, en tant qu’oligoélément essentiel pour l’organisme, présente de ce fait bon nombre de rôles bienfaisants. Ses vertus sur le corps méritent alors d’être détaillées.

 

Bienfaits et vertus du cuivre sur l’organisme

Le cuivre intervient pour le bon fonctionnement du corps. Il agit activement dans le métabolisme des lipides, des glucides et du fer. Cette action se fait par le biais des enzymes et des protéines. De la sorte, le cuivre permet d’augmenter le taux de bon cholestérol (HDL) au détriment du mauvais cholestérol (LDL). 

 

Le cuivre intervient également dans la formation des hémoglobines. Les hémoglobines étant les transporteurs d’oxygène vers tous les tissus et les organes du corps, le cuivre assure donc de façon indirecte l’oxygénation de toutes les parties du corps. 

Cet oligoélément est aussi connu pour sa vertu protectrice du système immunitaire. Antibactérien efficace, il permet de lutter contre les bactéries nocives, même celles potentiellement mortelles. 

 

Le cuivre est aussi un élément essentiel à la production de la mélanine. La mélanine n’est autre que l’acide aminé responsable de la pigmentation, c’est-à-dire la coloration des téguments de la peau, des cheveux ainsi que des yeux. Fortement présent au niveau de ces organes, le cuivre assure la pigmentation de ces derniers.

 

En outre, le cuivre assure la bonne croissance et le maintien de la masse osseuse et cartilagineuse. Il est aussi un excellent anti-inflammatoire pour les inflammations articulaires. C’est ainsi un bon remède contre les douleurs rhumatismales et l’arthrose.

 

Sa vertu antioxydante lui offre également le pouvoir d’éviter le vieillissement prématuré des cellules. Le cuivre agit directement sur les radicaux libres afin de diminuer leur volume dans le corps. Un taux élevé de radicaux libres entraîne un vieillissement prématuré des cellules. Ce qui peut parfois être à l’origine de certains cancers. 

 

Le cuivre permet aussi de soigner les états fébriles et grippaux. C’est d’ailleurs son rôle le plus ancien. 

 

Si tels sont les bienfaits du cuivre dans le corps, allons plus loin en nous focalisant sur ses rôles dans l’oligothérapie