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Quelles sont les sources d’iode ?

Afin de faire le plein, il est recommandé d’opter pour l’iode sous sa forme organique. La principale réserve naturelle de cet oligo-élément est le produit de la mer. Les poissons, les crustacés dont le homard, la crevette et la langouste, entre autres, comptent parmi les aliments contenant une grande quantité d’iode. Les algues, notamment les algues brunes et les laminaires, font aussi partie des produits venant de la mer, très concentrés en iode. Il faut tout de même limiter la consommation de ces algues pour ne pas dépasser la dose journalière recommandée en iode.

 

Outre les produits de la mer, pensez également à consommer des œufs et des produits laitiers comme le fromage pour compléter le besoin quotidien d’iode.

 

D’après l’ANSES (agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), il est important de consommer le sel iodé afin de prévenir toute déficience.

 

Le pain complet présente une quantité peu élevée en iode. Il faut le compléter avec du yaourt en guise de petit déjeuner pour se procurer une alimentation riche en cet oligo-élément.

 

Il faut dire que les végétaux ne représentent pas réellement une plus grande concentration d’iode. Par contre, vous en trouverez dans les épinards, le chou, le haricot vert et l’oignon entre autres. Le soja, le seigle et l’avoine peuvent aussi contenir une quantité suffisante en iode.

Les références nutritionnelles

La référence nutritionnelle quotidienne en iode varie selon l’âge du sujet. Pour les enfants de 6 mois à 6 ans, le besoin journalier en cet oligo-élément est de 90 microgrammes. Entre 7 et 10 ans, l’enfant doit avoir un apport en iode de 120 microgrammes par jour pour éviter les éventuelles déficiences. Les adolescents et les adultes ont la même quantité d’apports en iode, qui est de 150 microgrammes par jour.

 

En cas de grossesse ou d’allaitement, le besoin en iode s’accroît. Il faut en effet consommer environ 200 microgrammes par jour. Si vous pratiquez du sport, vous devez ajouter 50 microgrammes d’apport en iode.

À noter que le besoin en iode augmente si vous êtes fumeur, étant donné que les composés présents dans la fumée diminuent largement la captation d’iode par la thyroïde.

 

Utilisation

  • Dans le domaine médical et pharmaceutique

La médecine traditionnelle chinoise utilisait l’iode sous forme de poudre provenant de l’éponge marine brûlée dans le but de lutter contre les goitres. Cette pratique chinoise existait avant même que l’Europe ait pu démontrer cet effet universellement connu de l’iode.

 

Après cette grande découverte, la consommation immodérée de l’iode avait déclenché une série d’intoxications. Cette dernière avait frappé pas mal de gens qu’il en est difficile de discréditer au point de renoncer à la prophylaxie à l’iodure durant de nombreuses décennies.

 

L’industrie pharmaceutique se sert de l’iode pour fabriquer des médicaments pour le traitement du goitre. D’autres formules médicales permettent de prévenir l’accumulation d’iode radioactive dans la glande thyroïde. Certains troubles du rythme cardiaque grave peuvent être traités avec l’iode sous sa forme injectable ou en comprimé. Ce traitement se fait uniquement dans le milieu hospitalier spécialisé et sous surveillance continue.

 

Il existe des compléments alimentaires à base d’iode pour corriger une éventuelle carence. Il convient de vous informer auprès de votre pharmacien avant de vous procurer un quelconque supplément. Lui seul peut vous aider à faire un choix judicieux correspondant parfaitement à votre état de santé ainsi qu’aux médicaments que vous prenez.

 

La teinture d’iode est utilisée en médecine en tant qu’antiseptique et antifongique. Il s’agit d’une solution aqueuse d’iode dissoute dans l’éthanol. Cette formule est même présente dans les produits désinfectants pour la peau ainsi que dans le kit médical de survie.

 

L’utilisation de l’iode dans le domaine médical ne se réduit pas à la fabrication de médicaments. Cet élément a aussi pour fonction d’opacifier les organes (cerveau, rein, veines, artères…) en imagerie médicale lors d’un examen aux rayons X. Sous forme injectable, l’iode sert d’agent de contraste en raison de sa forte opacité aux rayons X.

 

Cette substance chimique est aussi utilisée en scintigraphie, une méthode d’imagerie médicale de médecine nucléaire. Certains isotopes radioactifs de l’iode permettent de tracer le corps humain lors des examens médicaux.

 

En radiothérapie, l’isotope de l’iode est utilisé dans le traitement contre le cancer de la glande thyroïde. Le radioactif de l’iode se fixe au niveau de la thyroïde atteinte de cancer ainsi que des cellules métastatiques pour la destruction de la maladie. Cette technique a été remise en cause pour le traitement des cancers de petite taille vu qu’elle risque de développer un nouveau cancer.

  • Pour déclencher la pluie

L’iode, en tant que composé inorganique (iodure d’argent), sert à favoriser une pluie artificielle et à l’encensement des nuages. La sècheresse estivale de 1949 avait suscité l’utilisation de cette technique d’encensement. Il faut dire que le déclenchement des pluies artificielles présente de nombreux avantages pour l’agriculture et pour le climat.

  • En élevage du bétail

Pour la prévention de toute carence en iode chez les animaux, un complément alimentaire en diiodure d’éthylènediammonium a été conçu spécifiquement pour le bétail aussi bien que pour les animaux domestiques.

Les rôles de l’iode dans l’organisme

L’iode constitue un élément essentiel à la glande thyroïde. Il favorise la production des hormones thyroïdiennes : tri-iodothyronie et tetra iodothyronie indispensables à la croissance, à la régulation du métabolisme de base et aux diverses fonctions vitales. Ces dernières concernent principalement le rythme cardiaque, la consommation de l’énergie et aussi la régulation de la thermogenèse.

 

Les hormones thyroïdiennes synthétisées par l’iode jouent un rôle important dans le développement cérébral. À cet effet, elles interviennent dans toutes capacités cognitives et à l’acquisition de l’intelligence. Ces diverses actions s’étendent dès la vie fœtale jusqu’à l’âge de la puberté, voire tout au long de notre vie. En partant de cette idée, l’iode constitue un élément vital dans le processus de la croissance et de la maturation des cellules. Pendant la grossesse et durant l’allaitement, une mère a besoin d’un apport suffisant en iode afin que l’enfant ne subisse pas de retards au niveau cérébral ni de trouble de l’audition.

Autres propriétés de l’iode

Les hormones thyroïdiennes fabriquées à partir de la consommation de l’iode stimulent aussi le bon fonctionnement de la digestion, de la concentration et des tissus cutanés et osseux. Il est dit que la production de ces hormones permet d’équilibrer l’émotion tout en favorisant l’endormissement. L’iode aide en effet à avoir un sommeil réparateur et de se tenir à l’écart des troubles émotionnels.

 

L’iode agit aussi dans le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides dans l’organisme. Cet oligo-élément a pour rôle d’accroître la fertilité et d’apporter du tonus musculaire et de maintenir la masse osseuse chez l’adulte. Il faut par ailleurs noter que l’iode permet de combattre les risques d’hypertension artérielle.

Pour avoir une belle peau, la consommation d’iode d’une manière modérée doit être incluse dans la nutrition au quotidien. L’iode, une fois assimilé par l’organisme, principalement la glande thyroïde, stimule le fonctionnement de tout organe en favorisant une peau radieuse et fraîche.

 

La teinture d’iode, qui n’est autre que de puissant composé d’iode, possède des propriétés antifongiques et antiseptiques. Elle a pour fonction de réduire ou même de tuer les bactéries et les microbes situés à la surface de la peau. L’iode est également présent dans les produits désinfectants de la peau et des matériels.

Dans quels cas utiliser l’iode ?

La consommation d’aliment ou de complément alimentaire concentrés en iode est préconisée dans la correction d’une déficience avec cet oligo-élément. En complétant ce manque, le sujet en question pourrait restaurer le fonctionnement de la glande thyroïde.

 

Durant le premier trimestre de grossesse, la mère doit consommer un apport nutritionnel riche en iode pour former les hormones thyroïdiennes au fœtus. L’administration d’un supplément en iode est toujours recommandée chez une femme enceinte pour la croissance optimale de l’enfant tant au niveau cérébral qu’au niveau du corps. Toutefois, il ne faut pas dépasser la dose prescrite qui est entre 200 à 300 microgrammes par jour pour les femmes enceintes et allaitantes. Au stade fœtal, le bébé dépend entièrement des hormones thyroïdiennes de sa mère, c’est pourquoi il est essentiel durant la grossesse de se procurer un apport en iode.

 

Des médicaments à base d’iode sont disponibles en pharmacie pour la prévention et le traitement du goitre. Il est toutefois important de prévenir votre médecin avant de suivre un quelconque traitement. Lui seul pourrait vous prescrire le médicament adéquat à votre état de santé.

 

En cas de maladie fibrokystique de sein, il est aussi recommandé d’administrer un complément alimentaire en iode. D’après des essais cliniques, les nodules et les douleurs liées à cette maladie vont disparaître, ou du moins diminuer, en consommant un apport suffisant en iode.

Absorption et précaution d’emploi

L’organisme absorbe l’iode à travers l’intestin. Par la suite, les cellules thyroïdiennes nommées thyrocytes, captent cet oligo-élément.

 

Puisque l’iode est un oligo-élément thyroïdien en activité à très faible dose, une intoxication causée par l’iode est suffisante pour proscrire tout usage de désinfectant contenant de l’iode.

 

Des personnes peuvent notamment présenter une allergie à des produits basés sur l’iode. À titre d’exemple, on retrouve le produit utilisé comme contrastant lors des examens de radiologie. En réalité, il est impossible d’être allergique à l’iode, car celui-ci fait partie de la composition de certaines hormones de la thyroïde. D’autres substances contenues dans les produits déclenchent ainsi une réaction allergique, mais pas l’iode en soi. Les produits susceptibles de provoquer une telle allergie contiennent évidemment de l’iode, mais ce sont les substances qui l’accompagnent qui sont les premiers responsables. Dans le cas de la bétadine, la povidone iodée en est responsable. Actuellement, aucune réaction n’a été découverte avec l’utilisation d’une solution alcoolique d’iode. Aucune réaction ni aucun facteur de risque ne pourrait déclencher une telle allergie.

Quels sont les risques de la carence en iode ?

Dépendant de plusieurs paramètres, le taux d’iode d’une population se traduit généralement par la géologie et la présence d’iode dans l’environnement. Quel que soit l’emplacement géographique, les zones à climat montagneux présentent la population la plus touchée par le déficit en iode.

 

Une carence importante en iode provoque le crétinisme ou des troubles mentaux. Il faut dire que le retard mental causé par une éventuelle déficience en iode demeure irréversible. Les sujets présentant une carence en iode ont un goitre.

 

Pour le cas des pays développés, une carence en iode dans l’organisme à long terme peut être responsable d’un problème de fertilité. Faisant suite à ce problème, une hypothyroïdie ou plus communément une insuffisance d’hormones thyroïdiennes pourrait survenir. Tout cela se montre par les symptômes suivants : une frilosité et une augmentation de la masse corporelle, des douleurs articulaires et une fatigue accompagnée d’une dépression.

 

Concernant principalement la femme enceinte, la carence en iode présente des conséquences plus graves. Un risque de naissance prématurée peut être noté chez la femme enceinte. Dans un contexte plus grave, une mortalité néo-natale fait partie des risques encourus suite à un déficit en iode.

 

Pour le pays où la carence est moyenne chez les individus, la capacité de fixation thyroïdienne de l’iode est plus élevée : il est à noter que l’iode radioactif est précisé dans ce cas.

Qu’arrive-t-il en cas de surconsommation d’iode ?

Un apport excessif en iode peut être toxique pour l’organisme. C’est pourquoi il convient de ne consommer que la dose référentielle recommandée chaque jour. La surconsommation en cet oligo-élément peut provoquer une hyperthyroïdie. Il s’agit d’une production élevée des hormones thyroïdiennes dans le sang. Cela se caractérise par des symptômes d’amaigrissement, de déminéralisation des os et aussi de l’accélération du rythme cardiaque. L’hyperthyroïdie peut même déclencher chez le patient certains cancers de la glande thyroïde. 

 

Un apport élevé en iode est susceptible d’aggraver les maladies auto-immunes qui produisent une inflammation au niveau de la glande thyroïdienne.

 

À noter que la surconsommation d’iode peut provoquer une anomalie congénitale et un retard de développement du bébé.

 

Dans certains cas, la consommation à forte de dose de cet oligo-élément perturbe le cycle menstruel, provoque des troubles du sommeil tout en favorisant la surdité et l’immaturité sexuelle. Toutefois, ces cas sont rares et dans la majorité, ces effets nocifs sont dus à un traitement médical et non à cause de l’alimentation.  

 

Quelles sont les interactions avec l’iode ?

Dans la grande liste de l’alimentation humaine, plusieurs composants peuvent avoir un effet goitrigène. La goitrigène est l’empêchement de la captation de l’iode par la glande thyroïde. Un blocage de la formation des hormones produites par la thyroïde est également à noter. Les composants responsables de ces effets sont les cyanoglucosides qui sont retrouvés dans le maïs, le manioc et la patate douce ; les thioglucosides provenant des crucifères ; les disulfites présents dans l’ail et l’oignon ; les flavonoïdes du sorgho et du millet. Toutefois, une consommation saine et équilibrée n’affectera pas le taux d’iode présent dans le corps. En effet, la cuisson joue un rôle important, car elle est responsable de la diminution de divers composants ayant une interaction avec l’iode.

 

En cas d’hypothyroïdie, la consommation d’aliments à base de soja est fortement déconseillée. La présence de phyto-œstrogène dans la composition du soja possède un impact sur l’efficacité du traitement suivi. Dans le même cas de l’hypothyroïdie, un apport en iode non régulé possède un impact sur l’efficacité du thiamazole : il s’agit d’un médicament prescrit durant le traitement.

 

Pour un traitement basé sur le lithium, l’augmentation du besoin d’iode dans l’organisme est nécessaire, car la libération des hormones T3 et T4 de la thyroïde est altérée.

L’iode figure parmi les oligo-éléments indispensables à la vie humaine. Élément essentiel à la production des hormones thyroïdiennes, il est considéré comme une substance vitale pour le développement de l’embryon, du fœtus aussi bien que de l’enfant. On peut même dire que cet élément chimique est beaucoup plus important au cours du stade de croissance humaine tout au long de la vie.

 

Dans le domaine médical, l’iode est utilisé dans la fabrication des médicaments antiseptiques et antifongiques. Comme l’apport en iode se présente comme un indispensable pour la santé, il est impératif de se procurer des aliments riches en cet oligo-élément quotidiennement. Une déficience en iode peut occasionner des problèmes de santé et divers troubles mentaux. En revanche, s’il est administré à une dose élevée, il peut être toxique et susceptible d’engendrer de la nervosité. 

 

Histoire et origine

Les carences en iode ont été constatées depuis l’Antiquité chez les femmes enceintes. Ces dernières présentent un besoin accru de cet oligo-élément et en manquaient considérablement lors de cette époque. Ce manque énorme se traduit par une grossesse à la taille du cou. Diderot, un philosophe et encyclopédiste français des Lumières, fut le premier à consigner dans son ouvrage les « Crétins des Alpes » qui désignent toutes personnes ayant subi un atroce dysfonctionnement de la thyroïde à cause d’une déficience sévère en iode. Ces carences s’apparentent sous une difformité au niveau de la gorge indiquant le goitre. Cette forme de crétinisme endémique se dramatisait en France dans les années 50 principalement dans les régions montagneuses. Dès lors, les autorités sanitaires face aux éventuelles déficiences en iode ont pris en charge l’iodation systématique du sel de table afin de réduire significativement cette calamité.

 

La découverte de l’iode a eu lieu lorsque le chimiste Bernard Courtois cherchait comment fabriquer du salpêtre dans le but de réaliser de la poudre à canon. C’était en 1811 dans le recoin des cendres d’algues marines qu’il découvre qu’en versant de l’acide sulfurique sur un extrait d’algues se forme un gaz violet. Le fameux chimiste et physicien français Gay-Lussac, l’ami de Bernard Courtois le nommait « iode » du grec iodos, signifiant violet. Cette grande révélation a permis à Jean François Coindet, un médecin suisse, d’établir une évidence sur l’efficacité de cette substance pour soigner les goitres.

 

En 1940, une enquête de grande envergure rapporte que plus de 300 millions d’habitants en France souffrant de goitre en addition avec 120 000 « crétins » consommaient des aliments pauvres en iode. Cela s’explique par le fait que l’eau et les sols ne contiennent pas cet oligo-élément, notamment dans les régions montagneuses (Les Alpes). En raison de ces carences, les habitants se trouvent avec des cous enflés, à la physionomie déformée avec un esprit dépourvu de toutes leurs facultés.

 

Ce n’est qu’à partir du XXe siècle que l’on s’apprête finalement à résoudre le goitre endémique à travers une prophylaxie adaptée. Il s’agit, en effet, de la distribution du sel de cuisine iodé et des pastilles spécifiquement conçues pour les enfants. Cette initiative vient encore de la Suisse en 1922. Après quelques années, la réduction du crétinisme et des goitres s’avère être sidérante. Les crétins des Alpes disparaissaient et ne devenaient que des insultes et une histoire ancienne. 

 

Description et composition

L’iode est un oligo-élément qui se trouve en quantité infime dans l’organisme. Essentiel à la vie, il contribue au bon fonctionnement de la thyroïde. Cette glande située à la base du coup intervient dans la synthèse des hormones thyroïdiennes, indispensables pour réguler le métabolisme cellulaire et organique. Pour produire des hormones thyroïdiennes, l’iode se présente comme un élément vital. La carence en iode se manifeste par le dérèglement du métabolisme suscitant des conséquences fâcheuses sur le bien-être et l’organisme.

 

Selon la médecine, l’iode forme des compositions biologiques qui sont principalement la thyroxine et la triiodothyrine. Il s’agit des hormones thyroïdiennes qui s’opèrent dans la majorité des cellules du corps permettant d’augmenter le métabolisme de base aussi bien que la biosynthèse des protéines. Ces hormones favorisent aussi la croissance osseuse, le développement de la cellule nerveuse ainsi que la sensibilité aux catécholamines.

L’iode est faiblement hydrosoluble. Par contre, les iodures et les iodates (sels d’iode) sont davantage solubles. À noter que l’eau de mer affiche la plus grande concentration en iode que les roches.

L’iode, d’un point de vue inorganique, forme une substance chimique dont l’acide iodhydrique. Cette dernière s’avère être une solution aqueuse d’iodure d’hydrogène (gaz incolore), un réactif industriel qui est utilisé en tant que co-catalyseur pour la production d’acide acétique.