Dans quel cadre utilise-t-on le sodium ?

Biologiquement, le sodium intervient dans l’organisme en tant qu’élément minéral. Il s’y engage dans plusieurs niveaux. Son rôle le plus important consiste à assurer la répartition de l’eau, plus exactement, l’hydratation. Il s’élargit également sur le maintien de l’homéostasie, sur la régularisation de la pression artérielle, sur le fonctionnement du système nerveux et sur la stimulation de la contraction musculaire. La présence de cet actif permet aussi d’équilibrer la concentration acido-basique.

En dehors de la biologie, le sodium peut être utilisé dans la fabrication de savons, de lessives et d’autres détergents plus ou moins agressifs. Pour cela, il faut le solliciter sous sa forme solide, connue sous le nom de soude caustique. 

 

La cuisine moderne comme la cuisine traditionnelle atteste que le sodium participe à la conservation des aliments. Le sel est un agent conservateur naturel très efficace pour garder les aliments intacts. Il s’engage aussi dans la macération des produits tels que la viande et les légumes. 

Sous sa forme métallique, le sodium peut être façonné et travaillé pour obtenir différents produits. Il contribue dans le secteur pharmaceutique, cosmétique et pesticide. Pour cela, il participe à la fabrication des esters. Pendant longtemps, cet actif a été utilisé avec le plomb sous forme d’alliage. L’association de ces deux éléments permet de produire le plomb tétraéthyle, qui est un additif antidétonant pour le carburant. 

Le sodium dans l’alimentation

Le sodium se trouve en grande quantité dans le chlorure de sodium ou le sel de table. Celui-ci est souvent utilisé pendant la préparation des repas. Il s’invite dans les plats comme étant un ingrédient indispensable. Cet élément minéral est aussi présent dans les aliments transformés comme les fromages, les charcuteries, les pizzas, les sauces et les soupes.

 

Parmi les produits qui contiennent du sodium, le miso, un produit fermenté, demeure le plus enrichi. Une portion de 175 ml, soit ¾ de tasse, comporte donc 7583 mg de sodium. Après cela, il existe le bœuf salé déshydraté. Dans une portion de 100 g, ce produit en comporte 2790 mg. Après cela, le bacon grillé est aussi chargé en sodium. Pour 100 g, soit 4 tranches, la teneur pour cet actif est de 2310 mg. La liste des aliments très riches en sodium s’allonge également avec le jambon régulier, la sauce de poisson prête à servir, le bicarbonate de sodium, la sauce soya, la plupart des aliments en conserve et le Hareng de l’Atlantique. D’autres produits comme le saumon fumé, le cornichon à l’aneth et les fromages peuvent aussi en contenir en grande quantité. En France, le sel ajouté à table ou en cuisine ne présente que 20 % de la consommation quotidienne en sodium. La majorité de l’apport provient des aliments salés au préalable, soit à leur fabrication ou leur préparation. 

 

À travers le sel de table, le sodium est devenu un ingrédient incontournable de l’industrie alimentaire. Tous les plats salés n’ont pas de sens et de goût sans ce produit. La consommation de sel augmente tous les jours, et ce, à travers le monde. La plupart des gens sont conscients des recommandations nutritionnelles, mais continuent d’en consommer. 

 

Outre les aliments, certaines boissons gazeuses comportent également beaucoup de sodium, souvent exprimés en bicarbonate de sodium. C’est le cas du Rozana avec une teneur avoisinant 493 mg par litre, du Vichy Célestin comportant 1172 mg de sodium par litre ou du Saint Yorre contenant 1708 mg de sodium par litre.

 

Quels sont les bienfaits du sodium ? 

En général, le sodium assure l’équilibre hydrique dans l’organisme. L’apport normal permet en effet de régulariser la répartition de l’eau à travers les compartiments intracellulaires et extracellulaires. Cela permet donc de contrôler la quantité d’eau présente dans les cellules.

Grâce à l’action du sodium, l’influx nerveux se transmet facilement vers les neurones dans le cerveau. Cet actif stimule ainsi les phénomènes de polarisation, un mécanisme qui assure cette transmission.  

Les études cliniques révèlent que le sodium agit sur la contraction musculaire. Pour favoriser ce mécanisme, il faut un apport suffisant. 

 

Dans la sphère thérapeutique, le sodium est très connu pour son action sur la pression artérielle. Il influence l’équilibre de ce processus naturel. Pour cela, il faut diminuer sa concentration dans l’organisme dans le cas d’une hypertension artérielle ou l’augmenter en cas d’hypotension artérielle. 

 

Pourquoi prendre un supplément en sodium ?

En général, les professionnels de santé prescrivent le supplément en sodium justement pour corriger l’état de manque d’une personne. L’apport consiste dans ce cadre à combler la carence en sodium dans le sang. Le supplément peut être utilisé pour le cas d’une hyperkaliémie ou d’une accumulation excessive de potassium dans le sang. Cela s’applique également pour une acidose métabolique ou un excès d’acide dans l’organisme. Cet élément chimique intervient pour prévenir l’intoxication rénale souvent occasionnée par la consommation de certains médicaments comme l’amphotéricine B. Les agents de contraste utilisés lors des examens d’imagerie pourraient également provoquer ce risque néfaste pour les reins. Son administration permet d’empêcher le phénomène de gonflement du cerveau qui provoque parfois la pression crânienne. Sous certaines formes, le supplément en sodium est recommandé pour soigner la conjonctivite, le syndrome de l’œil sec, les plaies buccales, la congestion nasale, les maux de gorge et la sinusite. 

L’apport en sodium

En excès ou en insuffisance, la présence du sodium dans l’organisme suivant ces deux conditions provoque des déséquilibres fonctionnels. C’est pourquoi la consommation de ce minéral doit être contrôlée. Les recommandations actuelles des autorités internationales de la santé se concentrent donc sur cela. Elles comportent des indications sur l’apport suffisant (AS) et l’apport maximal tolérable (AMT). Pour les enfants entre 1 à 8 ans, elles préconisent donc un apport AS compris entre 1000 mg à 1200 mg et un apport AMT compris entre 1500 mg à 2200 mg. À partir de 9 ans, la valeur AS est de 1500 mg et celle de l’AMT est de 2300 mg. Afin de respecter ces indications, la consommation de sel de table doit être limitée. Pour cela, les femmes et les enfants ne doivent pas dépasser une teneur en sel au-dessus de 6.5 g par jour. Pour les hommes, l’apport idéal est de 8 g de sel par jour. 

La carence et l’excès en sodium 

Connu sous le terme hyponatrémie, l’état de manque en sodium survient très rarement et survient de manière exceptionnelle. Cela s’explique par le fait que cet actif est présent dans presque tous nos aliments au quotidien. De manière naturelle, l’organisme arrive toujours à s’adapter lorsque l’apport est faible. Il procède dans ce cas à la réduction des pertes à travers l’urine et la transpiration. La carence se manifeste seulement dans le cadre d’un vomissement répété, d’une diarrhée prolongée, d’un régime hyposodé strict ou d’une transpiration excessive. La déficience en sodium apparaît lorsque l’apport quotidien descend jusqu’à 3 g par jour. Pour traiter la carence en sodium, les médecins prescrivent dans la plupart des cas le Tolvaptan. Il s’agit d’un inhibiteur de l’arginine vasopressine qui consiste à augmenter la natrémie des personnes non déshydratées.  

 

Par rapport à la carence, l’hypernatrémie ou accumulation du sodium dans l’organisme, est fréquente dans le quotidien. Sans faire réellement attention, les gens consomment beaucoup de sodium à travers les aliments de tous les jours. Cela augmente facilement la concentration dans l’organisme. Selon les études cliniques, le surdosage en sodium apparaît lorsque l’apport quotidien dépasse 12 g par jour. Ce trouble se manifeste très souvent par une sensation de grande soif ou une faiblesse aiguë des muscles. Cliniquement, les signes révélateurs comprennent l’augmentation du tonus musculaire, les réflexes ostéotendineux, les céphalées, la confusion, l’agitation et parfois les convulsions. Pour les Français, la consommation moyenne avoisine 2000 à 4800 mg par jour, une teneur moyennement acceptable par rapport aux recommandations. 

 

Comment utiliser le supplément en sodium ?

Le supplément en sodium est, pour la plupart des cas, introduit dans l’organisme à travers le chlorure de sodium. De cette façon, il existe différentes manières d’apporter la teneur indiquée. La posologie d’usage varie selon le mode d’administration et l’affection traitée. 

 

Pour un usage oral, l’apport adéquat se situe entre 1,5 g et 2,3 g par jour pour les adultes. Cette pratique vise à prévenir la toxicité rénale provoquée par la prise d’amphotéricine B. Elle engage donc 150 mEq de chlorure de sodium et doit être effectuée tous les jours durant le traitement avec ce médicament.

 

Uniquement en faible dose de sodium, le traitement par voie intraveineuse est également utilisé pour réduire l’effet de l’amphotéricine B sur les reins. Pour ce cadre, il engage 100 à 150 ml de solution liquide comportant 3 % de chlorure de sodium. L’injection doit être administrée pendant environ 20 minutes et répétée jusqu’à l’augmentation du taux de sodium dans le sang. Il faut atteindre le seuil de 4 à 6 mmol/L pour cette dose. Lorsque le taux arrive à 10 mmol/L, il faut diminuer la dose à 0,9 % et maintenir cela jusqu’à ce que la teneur atteigne le 130 mmol/L.

 

Par inhalation, l’utilisation de supplément de sodium vise à traiter la fibrose kystique. Pour ce cas, la préparation contient 10 ml de solution comprenant 3 à 7 % de chlorure de sodium. Il faut l’inhaler 2 fois par jour à l’aide d’un nébuliseur.

 

Afin de soigner les enflures des sinus avec le supplément de sodium, il convient de recourir à la méthode intranasale engageant les vaporisateurs nasaux. La solution pour cette pratique comporte une faible dose de sodium, puisque pour 100 à 500 ml, il faut ajouter 0,9 % à 3 % de chlorure de sodium.

 

Quels sont les médicaments qui comportent du sodium ?

Comme la carence en sodium survient de manière exceptionnelle, la consommation de sodium sous forme médicamenteuse n’est pas commune. Il n’existe pas beaucoup de dispositifs médicaux à base de ce minéral. Celui-ci intervient dans la plupart des médicaments en tant qu’excipient à effet notoire ou composant supplémentaire. 

 

Parmi les médicaments engageant comme principe actif le sodium, il existe donc l’ACTIPHOS, solution buvable. L’élément minéral s’associe ici au même titre avec d’autres composants comme l’acide phosphorique, le carbonate de calcium, le magnésium, le manganèse, le fer ou le carbonate de lithium. Dans ce cadre, il a pour mission de traiter l’asthénie fonctionnelle.

 

Pour la rééquilibration hydroélectrolytique des malades en nutrition parentérale, les médecins prescrivent souvent l’IONITAN, solution à diluer pour perfusion. Ce médicament est disponible sous flacon en verre de 40 ml à diluer dans un liquide de perfusion. Il contient la même quantité de sodium, de potassium, de calcium élément, de magnésium élément, de chlorures, d’acétates, de sulfates, de lactates et de phosphates.

 

L’ISOPEDIA, solution pour perfusion, figure également dans la liste des médicaments comprenant comme principe actif le sodium. Bien évidemment, d’autres éléments comme le potassium, le magnésium et le glucose monohydraté s’y trouvent également. Son utilisation est souvent indiquée dans le cas du dérèglement de l’équilibre des fluides et des électrolytes, de la diminution du volume intravasculaire et de la déshydratation. Ce dispositif médical se présente sous forme de solution pour perfusion et est disponible dans un flacon de polyéthylène basse densité. C’est pourquoi son utilisation convient très bien aux enfants, y compris les nouveau-nés. 

 

Pour terminer, le XIMEPEG, poudre pour solution buvable s’avère également être un médicament à base de sodium. Il contient aussi d’autres composants tels que le sulfate, le potassium et le citrate. Il s’agit d’un laxatif osmotique qui permet de retenir l’eau dans le côlon afin d’accroître le transit fécal solide. C’est donc une préparation intestinale à moindre volume présenté sous forme de poudre pour solution buvable de couleur blanchâtre, conditionnée dans du sachet en papier, en polyéthylène ou en aluminium. Ce médicament est, dans la plupart des cas, indiqué dans le cadre d’un lavage intestinal qui précède les examens de l’intestin comme le processus de l’exploration endoscopique ou radiologique. 

 

Quelles sont les précautions à prendre en compte ? 

Naturellement, le sodium ne comporte aucun risque néfaste pour l’organisme. Les effets indésirables pour sa consommation sont seulement liés à un état de manque ou à une concentration trop élevée dans le sang. La carence en sodium provoque donc des affections comme les crampes musculaires, la perte d’appétit, la déshydratation, la chute de pression artérielle et la confusion des idées. Quant à la consommation excessive, elle occasionne des maladies cardiaques et des troubles rénaux. Les personnes présentant une hypertension, un diabète ou une maladie rénale chronique demeurent les plus sensibles à ces effets indésirables.

 

Pour le cas d’une intolérance à l’excès de sel, le sodium dans l’organisme pourrait entraîner une hypertension artérielle. Sa présence en grande quantité augmente en effet le volume sanguin, l’un des facteurs déclencheurs des troubles artériels. 

 

Les enfants, surtout ceux qui se trouvent en dessous de 3 ans, possèdent encore des reins fragiles et immatures. Pour préserver leur santé, leur alimentation ne doit pas contenir beaucoup de sel. 

En raison de la transpiration excessive, les sportifs perdent beaucoup de sodium durant les entraînements et les compétitions. Pendant 1 à 3 heures d’efforts physiques, la sueur peut contenir jusqu’à plus de 6 g de sel. C’est pourquoi leur besoin est nettement plus élevé que celui d’une personne ordinaire. Pour ces adeptes du sport, il faut boire des boissons comportant au moins 480 mg de sodium par litre puisque l’apport alimentaire ne suffit pas à combler le manque. 

 

Pour l’Institut national du cancer français (Inca), la consommation excessive de sel pourrait se conduire à l’apparition d’un cancer de l’estomac. Elle fragilise également la muqueuse gastrique et favorise l’élimination urinaire du calcium ainsi que la formation des calculs rénaux.

 

L’interaction du sodium avec le glucose et les acides aminés permet d’accélérer son assimilation. 

Le sodium est le 5ème élément le plus abondant dans l’univers. Biologiquement, il fait partie des minéraux les plus présents dans l’organisme. C’est aussi le composant le plus utilisé au quotidien. Incorporé naturellement dans le sel de table, sa place dans la sphère de l’alimentation est ainsi incontournable. Les plats salés et même certains plats sucrés ne sortent pas de la cuisine sans cet ingrédient.

 

Dans le domaine de la médecine, le sodium assure également un rôle clé durant le traitement de certaines maladies. C’est grâce à ces raisons que ce guide s’intéresse à cet élément. À travers une série de questions, il dévoile ses différentes facettes, notamment son origine, ses bienfaits, son utilité, ses caractéristiques et autres. Il dessine ainsi le portrait complet de ce principe actif. 

 

Qu’est-ce que le sodium ?

Le sodium se définit en tant que minéral présent dans le sang et dans le liquide interstitiel ou extracellulaire. Il fait partie des sels minéraux les plus présents dans l’organisme, au même titre que le potassium, le chlore et le calcium. L’organisme adulte compte 100 g de sodium dont la plus grande quantité se concentre surtout dans les milieux extracellulaires. Les hormones comme l’aldostérone et l’hormone antidiurétique régularisent sa concentration dans le sang. 

 

Le sodium a été séparé de l’hydroxyde de soude vers 1807. Cette pratique a été réalisée pour la première fois par un physicien et chimiste anglais appelé Humphry Davy. Il effectuait cela durant l’électrolyse de la soude caustique. Après cela, cet actif entrait déjà en interaction avec d’autres composants afin de traiter les maux de tête. Jusqu’aujourd’hui, les médicaments effervescents en contiennent toujours. 

Caractéristiques chimiques

Scientifiquement, le sodium est connu à travers le symbole Na, le numéro atomique 11 et la masse atomique 22,98976928 u. À l’état naturel, il se présente sous forme d’un métal alcalin mou avec une couleur argentée. À l’état solide, il est nommé hydroxyde de sodium ou soude caustique. Pour cela, il a comme formule chimique NaOH. 

 

Le sodium est facilement soluble dans l’eau, la neige et la glace. Cette réaction donne naissance à l’hydroxyde de sodium ou de l’hydrogène. Cependant, l’azote, même à forte température, n’apporte aucun effet sur son apparence. 

 

Le chlorure de sodium ou sel de table et le sodium sont 2 substances différentes. La première est obtenue à partir de la composition de chlore et de sodium, d’où sa nomination. Quant à la deuxième, il s’agit d’un actif solitaire qui forme la première. Dans 1 g de sel, on trouve à cet effet 400 mg de sodium et 600 mg de chlore.

 

Comment obtenir du sodium ? 

Le sodium est extrait à partir du sel marin fondu ou le chlorure de sodium. La mer demeure donc la première source de cet élément minéral puisque dans 1 litre, elle en contient environ 30 g. D’autres sources comme les mines de sel peuvent être son origine. Ces derniers sont des anciennes mers desséchées recouvertes de sédiments plus récents. 

 

Cet actif se trouve dans les aliments que l’on consomme au quotidien. Il intervient soit à travers le chlorure de sodium, soit en tant qu’additif. Pour ces derniers, il existe le glutamate monosodique, le benzoate de sodium, le nitrite de sodium, le pyrophosphate disodique, etc. Dans certains cas, l’organisme puise son besoin en sodium à travers les dispositifs médicaux de types antiacides. Ceux-ci comportent en effet du bicarbonate de sodium et du citrate de sodium. 

Le sodium sous toutes ses formes

Naturellement, le sodium se présente uniquement en tant que métal solide. Toutefois, il existe sous d’autres formes lorsqu’il s’associe avec d’autres produits. Il est donc disponible sous forme de grains cristallisés avec le sel de table. C’est d’ailleurs la forme de présentation la plus courante du sodium. En médecine, le sodium est souvent réduit à l’état liquide et très rarement en vapeur. Pour cela, il est possible de l’injecter, de l’administrer par voie orale, de l’inhaler ou de l’injecter. 

 

Le sodium se forme à partir d’un ion sodium connu sous le symbole Na+. Cet élément chimique s’associe à d’autres éléments et donne naissance à d’autres composants chimiques. C’est donc l’actif principal du chlorure de sodium en l’associant avec le chlore. Sous la formule Na+ + OH —, la soude provient de la combinaison de l’hydroxyde et du sodium. L’hydroxyde de sodium (NaOH) provient aussi du sodium. L’eau de Javel est obtenue à partir du chlorure de sodium et de l’hypochlorite de sodium. Il existe également d’autres dérivés comme le lactate de sodium, le citrate de sodium, le benzoate de sodium, le natrium et l’acétate de sodium. Dans le sel, il est présent dans le sel marin et le sel de table.