Fluimucil expectorant 200 mg toux grasse Zambon — 18 sachets arôme orange se joint à la famille des médicaments mucolytiques. Il enclenche la fluidification des sécrétions bronchiques dans le but d’en faciliter l’expulsion par toux. Il est en outre indiqué dans le traitement des affections respiratoires récentes accompagnées de problèmes d’expectoration. Il est adapté aux adultes.
Ce médicament pour toux grasse est constitué d’une unique substance active dont l’acétylcystéine (200 mg pour 1 sachet de 1 g de Fluimucil expectorant). L’acétylcystéine a pour action de fluidifier et de doubler le volume des expectorations. La formulation de cet expectorant s’en vient avec deux excipients à effet notoire : aspartam et sorbitol. À cela s’ajoute un arôme orange (S289) constitué d’huile essentielle d’orange dispersée sur un support de dextrose.
Dosage du Fluimucil expectorant 200 mg toux grasse Zambon — 18 sachets arôme orange
À administrer par voie orale, les granulés Fluimucil expectorant se dissolvent dans un peu d’eau afin de former une solution buvable. Comme posologie, on préconise une dose de 600 mg de Fluimucil expectorant par jour. Ce qui fait 1 sachet de 200 mg à prendre 3 fois par jour.
La durée du traitement sans avis médical est arrêtée à 6 jours.
Une réédition du traitement est à appliquer si l’affection et/ou ses symptômes stagnent ou empirent. Il en va de même en cas d’apparition de fièvre ou de toux purulente. Vous devez stopper le traitement en cas de respiration sifflante ou difficile.
Mises en garde notoire pour Fluimucil expectorant 200 mg toux grasse Zambon — 18 sachets arôme orange
La prise de ce médicament doit se faire dans le respect des toux productives (élément indispensable à la défense broncho-pulmonaire).
L’administration de cet expectorant se fait avec précaution chez les patients ayant un ulcère du duodénum ou de l’estomac (antécédent ou non). Prudence également chez les patients présentant un asthme bronchique et une intolérance à l’histamine.
Si le sujet est inapte à expulser les sécrétions bronchiques fluidifiées, une broncho-aspiration et un drainage postural deviennent indispensables.
L’acétylcystéine contenue dans ce médicament peut altérer les résultats pour le dosage de salicylate et de cétonurie.
Sachez que ce médicament peut dégager de légers relents de soufre par la nature de sa substance active. Il se conserve à une température en dessous de 30 °C. Vous devez éviter de le dissoudre parallèlement avec un autre médicament.
Quand éviter de prendre Fluimucil expectorant 200 mg toux grasse Zambon — 18 sachets arôme orange ?
L’usage de Fluimucil expectorant 200 mg toux grasse Zambon est prohibé aux personnes ayant une hypersensibilité à sa substance active ou à ses divers excipients. Il en va de même chez la femme enceinte et allaitante. Comme ce médicament renferme de l’aspartam, son ingestion disconvient aux sujets présentant une phénylcétonurie. Ce médicament est également inadapté aux personnes intolérantes au fructose puisqu’il contient du sorbitol.
À noter que la combinaison de ce médicament mucolytique avec un antitussif ou un atropinique est un non-sens. Pour cause, un antitussif réduit le réflexe de toux et d’évacuation des sécrétions bronchiques. Évitez également de prendre cet expectorant avec des produits à base de charbon actif (pouvant diminuer l’efficacité de l’acétylcystéine). Il est aussi recommandé d’éviter la combinaison acétylcystéine et carbamazépine.
Idéalement, vous devez prendre vos antibiotiques à 2 heures d’intervalle de ce médicament expectorant. L’administration concomitante d’acétylcystéine et de dérivés nitrés exige une surveillance de l’état du patient afin de déceler une éventuelle céphalée, une hypotension sévère et une vasodilatation de l’artère temporale.
Effets indésirables
À faible fréquence, la prise de Fluimucil expectorant peut générer comme effets indésirables : réactions d’hypersensibilité, céphalées (maux de tête), acouphènes, tachycardie, troubles gastro-intestinaux (vomissement, nausées, diarrhée, stomatite, douleur abdominale), réactions cutanées (urticaire, angiœdème, prurit, éruption), fièvre et hypotension. Dans de rares cas, le patient encourt à des bronchospasmes, une dyspnée et une dyspepsie. Dans de très rares cas, il est exposé à un risque de choc et de réaction anaphylactiques, d’hémorragie, de réactions cutanéo-muqueuses et de réaction anaphylactoïde. Éventuellement, l’usage de cet expectorant peut provoquer un œdème du visage.