Pollen

Manhaé Ménopause Vitavea - pot de 60 gummies
Victime de son succès
19.20 €
Pollen en pelotes Herbesan - Pot de 225 g
Produit en stock
27.25 €

Le pollen est très apprécié dans l’univers de la phytothérapie, et à raison. Certes, ses bienfaits n’ont pas encore tous été étudiés. Toutefois, il connaît un certain succès dans le domaine de la santé pour ses vertus pour l’organisme. En effet, quelques recherches ont permis de mettre à jour un certain nombre de propriétés médicinales et thérapeutiques du pollen, dont celles du pollen d’abeilles et du pollen des fleurs. D’ailleurs, il a conquis la médecine traditionnelle chinoise depuis des lustres. Si l’on se réfère aux produits de la ruche, le pollen se récolte après son extraction par les insectes pollinisateurs.

 

Définition

Chez les plantes à graines, le pollen désigne l’élément mobile mâle qui est produit par la fleur. Il s’agit de grains minuscules mesurant entre 20 à 55 μm de diamètre, qui ont une forme plus ou moins ovoïde. Avant leur extraction par les insectes, ils sont enfermés dans l’anthère à l’extrémité des étamines.

 

Le grain de pollen est la partie du végétal, son rôle est de produire les gamètes mâles haploïdes, de les contenir et de permettre leur déplacement. Après avoir observé certaines plantes, il a été constaté que la germination du grain de pollen débute avant même que celui-ci ne quitte le microsporangium, avec la cellule générative qui forme les deux cellules spermatiques.

 

À maturité, le grain de pollen est constitué de deux ou même trois cellules qui ne sont pas cloisonnées. Il comporte également deux noyaux haploïdes dont le plus volumineux est le noyau végétatif. L’autre est un noyau génératif ou dans le langage simple, le noyau reproducteur. La cellule végétative est formée par un noyau, des organites, des vacuoles minuscules déshydratées, des réserves comme l’amidon et des gouttelettes lipidiques. La fonction principale de la cellule végétative est de veiller à la survie du grain de pollen. Toutefois, elle assure aussi la fabrication du tube pollinique. La cellule reproductrice est plutôt petite. Elle est plus ou moins excentrée et entourée par la cellule végétative. Son noyau est condensé et bloqué en prophase. Il est doté une double enveloppe externe chez la plupart des plantes, sauf pour les plantes aquatiques qui sont habituellement submergées.

 

La double enveloppe en question est constituée d’une couche externe très consistante qui est l’exine, un genre d’exospore. L’exine est formé par du sporopollenine. La couche externe présente, entre autres, des apertures qui sont des points de résistance assez fragile, permettant l’émission du tube pollinique qui va féconder l’ovule. Quant à l’exine, elle est fortement cuticularisée et a été naturellement préparée pour résister à la majorité des dégradations biologiques et chimiques. Cette particularité de l’exine permet au pollen d’être éparpillé dans l’environnement sans se détériorer, même si certains pollens meurent assez rapidement. L’autre couche est formée l’ectexine qui a une allure plus alvéolaire par rapport aux autres. Elle peut aussi avoir un aspect lisse ou ornementé.

 

Les ornements de l’exine sont généralement en forme d’épines, de creux ou de verrues, mais peuvent aussi présenter l’allure de crochets ou de motifs particuliers. Ils sont spécifiques à chaque espèce ce qui permet l’identification des genres, des espèces ou également du cultivar.

 

La couche externe peut renfermer une pellicule plus ou moins adhésive d’origine lipidique, dont le rôle consiste à protéger le grain de pollen contre la déshydratation. Cette pellicule sert aussi de réserve au moment de la réhydratation du pollen et intervient dans l’activation de la stigmatisation. La couche interne forme l’intine qui constitue l’endospore. Elle est assez mince et fragile. Elle est constituée par une cellulose non modifiée et éventuellement d’autres polysaccharides. Le pollen peut aussi être composé d’un grain isolé. Il s’agit principalement d’une monade inaperturée, porée, colpée ou colporée, mais peut parfois se présenter sous forme de grains multiples comme la dyade, la tétrade ou la polyade.

 

En ce qui concerne la taille, il s’avère que les pollens les plus petits sont ceux du myosotis (environ 7 µm), tandis que les plus gros sont ceux de la courge. Ces derniers peuvent mesurer jusqu’à 150 µm. D’après les études, les pollens qui mesurent moins de 10 µm sont les plus allergisants. C’est le cas notamment de ceux du bouleau, de l’aulne, du charme, du noisetier, du châtaignier, du chêne, du cyprès, du frêne, de l’olivier, du peuplier et du platane.

 

Description

Pour l’expliquer simplement, le pollen est la semence mâle d’une plante. Il est produit par les étamines des fleurs. Il est formé d’un nombre considérable d’éléments microscopiques : les grains de pollen. Ces derniers mesurent entre 20 à 40 microns chacun. Ces particules infimes forment une poussière qui est facilement emportée par le vent, leur permettant de migrer vers d’autres fleurs pour féconder leurs organes femelles, appelés communément pistils. En général, cette poussière est à l’origine de la rhinite allergique saisonnière. La majorité des espèces végétales supérieures qui fleurissent produisent du pollen, peu importe leur taille.

Les abeilles butinent les fleurs pour en extraire le nectar qu’elles transforment en miel. Au moment de l’extraction, elles récupèrent le pollen sur leurs pattes postérieures. Elles les accumulent en petites pelotes pour les rapporter dans leur ruche. Le pollen servira alors de nourriture à la colonie. Ces pelotes recèlent entre autres des enzymes. Celles-ci sont produites par les abeilles afin de dissoudre l’enveloppe consistante qui enferme les éléments nutritifs dans chaque minuscule grain de pollen.

 

Le pollen d’abeille est composé de 30 à 55 % environ de glucides (sucres), de 25 à 30 % de protides, essentiellement de protéines et des acides aminés libres, mais aussi de 1 à 20 % de lipides (gras). Il renferme également des vitamines, en majeure partie du groupe B, et des minéraux comme le calcium, le chlore, le cuivre, le fer, le magnésium, le manganèse, le phosphore, le potassium, le silicium et le souffre. Enfin, le pollen d’abeille contient quelques antioxydants et des substances immunostimulantes en quantité infime.

 

Depuis quelques décennies, les apiculteurs ont mis au point une stratégie plus innovante pour la cueillette du pollen. Dans cette démarche, ils installent des trappes à pollen qu’ils disposent sur les ruches, leur permettant de récolter 10 % environ du pollen recueilli sur les fleurs par les ouvrières de la ruche. Les pelotes obtenues sont ensuite séchées et proposées au marché à l’état brut ou après avoir été transformées en poudre. Cette dernière est généralement vendue en vrac, mise en capsule ou transformée en comprimés. Elle peut aussi être incorporée dans plusieurs préparations nutritionnelles ou thérapeutiques.

 

Grâce aux avancées technologiques, un certain nombre de producteurs proposent du pollen de fleurs qui est récolté à la machine directement sur les végétaux. Cette pratique présente un gros avantage, car le produit récolté ne renferme que le pollen provenant d’une espèce végétale particulière ou d’un groupe d’espèces spécifiques. En effet, le produit récolté par les abeilles inclut le pollen provenant de toutes les espèces qu’elles ont butinées.

 

Les producteurs de pollen de fleurs attestent de la provenance et la contenance de leur produit. Certains vont même jusqu’à affirmer que leur pollen ne cause pas de réactions allergiques qui sont couramment induites par le pollen d’abeilles. Cela s’expliquerait par le fait que le pollen n’a pas été en contact avec les insectes et qu’ils ne renferment donc pas les allergènes que l’on trouve habituellement dans une ruche. Dans tous les cas, il faut garder à l’esprit que le pollen lui-même est allergisant pour un pourcentage non négligeable de la population. Aussi, le risque de faire une mauvaise réaction demeure.

 

Les principes actifs du pollen

De par sa composition, le pollen d’abeilles peut varier d’une ruche à l’autre. Il diffère ainsi en fonction de la variété de plantes ou du mélange floral dont il provient. Néanmoins, on a constaté que certains composants sont communs aux pollens, quelles que soient leurs provenances. En général, on retrouve des glucides dont du glucose, du fructose et de saccharoses, ainsi que des fibres, des protéines, et des acides aminés essentiels tels que la valine ou la leucine. Le pollen contient également des lipides, comprenant des phytostérols, des acides gras essentiels comme l’acide linoléique, l’acide alpha-linoléique et les terpènes.

Le pollen renferme plusieurs vitamines, à savoir les tocophérols, le thiamine, la riboflavine, la niacine, l’acide pantothénique, la pyridoxine, la biotine, l’acide folique ou le bêta-carotène. De plus, il contient des minéraux tels que le potassium, le phosphore, le calcium et le magnésium. Il est aussi composé de quelques oligo-éléments comme le zinc, le manganèse, le fer, le cuivre et le sélénium. Par ailleurs, le pollen renferme des composés phénoliques. Pour la plupart, il s’agit de flavonoïdes comme le kaempférol, la quercétine, l’isorhamnétine, les leucotriènes et les catéchines. Enfin, il contient plusieurs acides phénoliques, dont l’acide chlorogénique.

 

Tous les constituants du pollen lui ont permis d’occuper une place importante dans l’univers de l’apithérapie, à savoir l’usage thérapeutique des produits qui proviennent de la ruche. À l’instar de la gelée royale, du miel et de la propolis, le pollen fait aujourd’hui partie des ingrédients utilisés dans ce type de traitement.

 

Les formes possibles, présentes sur le marché actuel

Le pollen peut être consommé frais et sans aucune transformation après sa récolte dans la ruche. Cependant, il est conseillé de le maintenir au frais, car il est particulièrement fragile. Outre sa forme brute, il peut être utilisé sous forme de complément alimentaire. Le pollen peut être déshydraté pour faciliter sa conservation. En ce qui concerne son stockage, le pollen peut parfaitement être conservé au congélateur. De cette façon, vous pourrez prélever la quantité dont vous avez besoin et autant de fois qu’il est nécessaire, sans problème.

 

Qu’il soit frais ou sec, le pollen se présente généralement sous forme de pelote. Néanmoins, il est également possible d’en trouver sous forme de gélules.

 

Par ailleurs, le pollen peut être d’origine biologique. Cela dépend du mode de culture de la plante qui a été butinée par les abeilles de la ruche.

 

Les vertus du pollen

Dans l’organisme, les radicaux libres sont des constituants qui ont été oxydés et qui sont devenus très instables. L’oxydation peut provenir de plusieurs sources comme les rayons UV, le tabac, le stress, l’alimentation ou le vieillissement. Le stress oxydatif peut causer un certain nombre de pathologies telles que le cancer ou les maladies neurodégénératives. Il favorise également le développement du diabète ou de l’insuffisance rénale.

 

Il s’avère que le pollen est très riche en substances naturellement antioxydantes, dont ses vitamines et ses composés phénoliques. À l’intérieur de l’organisme, ces derniers se fixent aux radicaux libres, ce qui les stabilise et les rendre inoffensifs.

 

Quelques recherches in vitro ont été menées pour déterminer les bienfaits antioxydants des extraits de pollen. Des études in vivo ont ensuite été réalisées pour corroborer les conclusions des scientifiques. Ces tests ont été effectués sur des rongeurs. Ces études ont démontré que le pollen possédait un pouvoir antioxydant prometteur. Bien sûr, plusieurs autres études cliniques sont encore nécessaires pour déterminer avec précision le rôle thérapeutique qui joue chez l’Homme.

 

Le pollen possède également un effet anti-inflammatoire et une action positive sur l’immunité. Ces deux propriétés agiraient en simultanée. En effet, des études ont montré que le pollen pouvait intervenir sur la modulation de la réponse immunitaire par le biais des macrophages, des lymphocytes T, B et NK, des éosinophiles, les neurotrophines et des basophiles. Cette réponse immunitaire inclut un volet inflammatoire.

En outre, la présence de quercétine dans le pollen pourrait potentiellement faire baisser le taux de prostaglandines dans l’organisme. D’autres principes actifs sont aussi susceptibles d’agir sur les cytokines, à l’instar des TNF alpha. Cet effet anti-inflammatoire aide à mieux gérer la douleur et favorise la cicatrisation des blessures. Cela a été constaté sur des souris qui ont été utilisées comme cobaye.

 

Les recherches sur le cancer se sont concentrées, quant à elles, sur le pouvoir antimutagène du pollen. Les tests menés sur des souris ont démontré que le pollen avait la capacité d’empêcher la détérioration du matériel génétique. Or, ce sont souvent les mutations d’ADN qui sont responsables du développement de certaines formes de cancer. Elles peuvent aussi être à l’origine d’un stress oxydatif plus ou moins intense.

Les études menées sur le pollen ont également permis de démontrer que le pollen avait certains bienfaits contre le cancer de la prostate chez l’homme. En effet, une fraction préalablement modifiée de pollen serait probablement capable de stimuler l’apoptose des lignées cancéreuses de la prostate.

 

Le pollen a également montré une capacité à inhiber la prolifération cellulaire dans les lignées cancéreuses de la leucémie.

 

Le pollen s’avère aussi bénéfique en accompagnement de la chimiothérapie. Il semble agir sur plusieurs lignées cellulaires du cancer du sein, et contribue même à baisser la dose de médicaments nécessaire. Pour cela, le pollen a été proposé en complément thérapeutique aux patientes atteintes d’un cancer du sein. Sa consommation a entraîné une réduction significative des symptômes liés au traitement.

 

Des études conduites sur des animaux ont montré les vertus du pollen pour lutter contre les empoisonnements du foie. Elles se sont penchées particulièrement sur les effets néfastes de certains médicaments comme le paracétamol, mais aussi des poisons comme le trichloréthylène. Elles ont démontré que les antioxydants du pollen ont contribué à protéger le foie.

 

Les recherches ont aussi donné un résultat concluant concernant les bienfaits du pollen contre les empoisonnements aux métaux lourds et aux pesticides, chez les rats. Il semblerait également que le pollen stimule les réparations des dommages subis par le foie. Le pollen est donc un allié précieux pour protéger et réparer cet organe qui joue un rôle crucial dans la détoxification de l’organisme.

 

Par ailleurs, les scientifiques estiment que les propriétés antioxydantes du pollen permettent de protéger l’intestin. Ils ont constaté lors de recherches menées sur des souris que le pollen est capable de protéger l’intestin des colites. Il agirait en augmentant les antioxydants, en réduisant l’inflammation et en améliorant la composition naturelle de la flore intestinale. Des observations in vitro confirment ces suggestions. En effet, il a été conclu que le pollen protège les cellules intestinales contre un empoisonnement chimique et restaure la fonction barrière de l’intestin.

 

La ménopause est l’une des périodes les plus délicates que traversent les femmes. Elle s’accompagne souvent de symptômes plus ou moins gênants qui peuvent être difficiles à gérer au quotidien, dans certains. Parmi eux, on peut citer les bouffées de chaleur inopinées, les troubles de sommeil, de l’humeur ou de la sexualité. Pour mieux appréhender cette période, plusieurs études ont été menées sur les femmes en phase de ménopause. La majorité indique une diminution significative des symptômes. D’ailleurs, les résultats obtenus sont plutôt encourageants.

 

Grâce à son action sur le système cardiovasculaire, le pollen est susceptible de réduire les facteurs de risques des troubles qui touchent ce domaine. Par exemple, il a la capacité de réduire le taux de mauvais cholestérol et de triglycérides. Il aide également à fluidifier le sang, à diminuer l’agrégation de plaques d’athérome dans les vaisseaux et à augmenter la capacité fibrinolytique. Le pollen doit surtout ces actions aux acides gras essentiels et aux lipides actifs qu’il contient.

 

Dans un autre registre, le pollen est connu pour offrir une action contre la fertilité. Le pollen de palmier, entre autres, semble être une alternative probable pour écarter les troubles de la libido, mais également les problèmes de fertilité chez l’homme et chez la femme. En ce qui concerne les hommes en particulier, les extraits de pollen seraient capables d’améliorer la qualité du sperme, la rapidité et le nombre de spermatozoïdes.

 

Des études effectuées sur des rats portent sur les effets potentiels du pollen sur la neuro-inflammation liée à l’autisme. Toujours chez les rats, une autre étude a montré une réduction de la neurotoxicité.

 

Propriétés médicinales du pollen

À ce jour, on ne connaît aucune utilisation au pollen, quelle que soit sa forme de présentation. En revanche, il peut stimuler l’organisme en usage interne. Il s’avère être un euphorisant, un fortifiant, un reconstituant, un rééquilibrant fonctionnel, un antiallergique et un stimulant du transit. En outre, le pollen peut parfaitement aider à lutter contre la fatigue, qu’elle soit physique ou intellectuelle. Il est également apte à augmenter les performances de l’organisme et contribue à améliorer la mémoire, notamment chez les adultes. Le pollen est conseillé aux convalescents pour effet stimulant sur le système immunitaire. D’ailleurs, il se veut indispensable dans la prévention des infections. En outre, le pollen est connu pour aiguiser l’appétit et favoriser la prise de poids. Il est aussi très apprécié pour sa capacité à lutter contre la constipation. En cure préventive, le pollen aide à réduire les effets des allergies saisonnières.

 

Utilisation et posologie

En général, il est recommandé de recourir au pollen multicolore, car sa composition est plus variée. Les pelotes de pollen peuvent être mâchées directement ou diluées dans un jus de fruits le matin. Les doses habituelles varient entre 15 et 20 g par jour pour les adultes, et de 12 à 15 g par jour chez les adolescents entre 12 et 16 ans. Pour profiter des bienfaits du pollen, il est possible de réaliser deux cures annuelles, d’une durée de deux à trois mois.

 

Outre le jus de fruits, le pollen peut être mélangé au yaourt, au fromage blanc, à une salade de fruits ou à des céréales. Cependant, il est formellement déconseillé de chauffer ou de mélanger le pollen à une boisson ou de la nourriture chaude.

 

Précautions d’emploi

À condition de ne pas y être allergique, le pollen d’abeilles peut être consommé à tout âge.

 

Interactions avec des médicaments

En raison de son pouvoir immunostimulant, le pollen ne doit pas être utilisé en même temps que des médicaments immunosuppresseurs.

 

Contre-indications

Le pollen d’abeilles est formellement interdit aux personnes qui y sont allergiques. Sa consommation est également déconseillée aux personnes allergiques au pollen en général. En cas de doute, il est préférable de demander conseil à un médecin ou à un pharmacien.

 

Il faut savoir que les femmes enceintes et allaitantes peuvent en consommer, à condition d’en avoir déjà mangé et de n’avoir présenté aucun effet indésirable. Il est toujours plus sage de limiter les risques de réactions allergiques durant ces périodes délicates.