Onagre

Huile d'onagre Super Diet - 200 capsules
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Les parties utilisées de la plante

La phytothérapie utilise l’huile d’onagre qui est extraite des graines de la plante. Les compléments alimentaires naturels sont également à base de ces graines.

 

Cependant, toutes les autres parties, telles que l’écorce, la tige, les feuilles et les fleurs de l’onagre sont comestibles. À titre d’exemple, les feuilles basilaires et les racines peuvent être mangées après avoir été bouillies. La racine de l’onagre est communément appelée « jambon du jardinier », car lorsqu’elle est cuite, elle ressemble beaucoup au jambon.

 

Les atouts nutritionnels de l’huile d’onagre

Extraite à partir des graines contenues dans les fruits de la plante, l’huile d’onagre figure parmi les huiles végétales ayant les plus fortes teneurs en acides gras essentiels. Elle est particulièrement riche en acide gamma linolénique (AGL) appartenant à la famille des omégas 6. Elle tient ses propriétés anti-inflammatoires de l’action des acides gras sur les prostaglandines de type1.

 

Sur le plan nutritionnel, l’huile d’onagre détient tout son intérêt grâce à la présence de nombreuses substances bénéfiques à l’organisme dans sa composition. Citons, entre autres, la vitamine E qui possède des vertus antioxydantes, les phytostérols qui contribuent à faire baisser le taux de mauvais cholestérol, les acides triterpéniques et l’acide oléique (oméga 9).

 

Propriétés médicinales et indications thérapeutiques de l’onagre

  • Des vertus hypocholestérolémiantes et cardioprotectrices

L’huile d’onagre doit ces propriétés aux acides gras insaturés et aux phytostérols. Elle permet de limiter l’athérosclérose qui se manifeste par la formation de plaque d’athérome au niveau des artères. Cette dernière peut engendrer des maladies coronariennes et être à l’origine d’un AVC (accident vasculaire cérébral).

  • Des propriétés anti-inflammatoires

Grâce à sa forte teneur en acide gamma-linolénique, l’huile d’onagre limite les actions des mécanismes responsables de l’inflammation. Elle aide ainsi à calmer les inflammations liées au prurit, au psoriasis, à l’acné et à l’eczéma. Utilisée en cataplasme, cette huile végétale amenuise les douleurs rhumatismales.

  • Des activités antioxydantes

De nombreuses études ont confirmé les vertus antioxydantes de l’huile d’onagre qui protègent les cellules contre les altérations engendrées par les radicaux libres. Les effets « anti-âge » de l’huile d’onagre ont aussi été démontrés par plusieurs études. Ce produit s’avère particulièrement performant pour combattre le vieillissement cutané prématuré et pour limiter l’apparition de rides grâce à sa richesse en vitamine E et en acides triterpéniques.

  • Des effets cardioprotecteurs

Les activités antioxydantes de l’huile d’onagre ne se cantonnent pas au niveau de la peau. Elle contribue également à la défense des cellules du système cardiovasculaire. Les effets cardioprotecteurs des antioxydants sont renforcés par les propriétés des autres principes actifs de l’huile végétale. Il en résulte que celle-ci aide à réduire la pression artérielle, l’agrégation plaquettaire et le taux de cholestérol.

 

Les vertus anticoagulantes de l’huile d’onagre présentent tout leur intérêt dans le cadre de la prévention de plusieurs pathologies, comme les thromboses, l’hypertension artérielle, les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux et les accidents cardio-vasculaires.

  • Des vertus hydratantes

Les acides gras et les vitamines qui intègrent sa composition confèrent à l’huile d’onagre des propriétés hautement hydratantes permettant de restaurer le film lipidique qui protège la peau. Par ailleurs, l’EMA (Agence européenne du médicament) reconnaît les performances de l’huile d’onagre pour atténuer les démangeaisons chroniques et aiguës des peaux sèches.

 

En usage externe, l’huile d’onagre exerce également une action protectrice sur le cuir chevelu et la peau des ongles.

  • Une huile bénéfique pour les femmes

L’huile d’onagre est connue pour ses propriétés bénéfiques au bien-être féminin. Plusieurs études ont démontré que cette huile contribue à :

– Améliorer les symptômes du syndrome prémenstruel : en fournissant un apport supplémentaire d’AGL (acides gras linoléniques) dont la carence favorise la survenue de ces symptômes.

– Atténuer les manifestations caractérisant les règles, telles que les maux de tête, les douleurs utérines, le gonflement mammaire, la rétention d’eau.

 

L’onagre, sous forme d’huile végétale ou de complément alimentaire amenuise les symptômes de la ménopause, comme les bouffées de chaleur, les douleurs abdominales et l’irritabilité. Par ailleurs, cette plante s’avère particulièrement performante pour assouplir et repulper la peau altérée par la ménopause.

  • Une aide précieuse pour combattre l’ostéoporose

Une étude réalisée en 1998 par des scientifiques sud-africains a révélé que la combinaison de l’huile d’onagre avec des huiles de poisson et du calcium accroît sensiblement la densité minérale osseuse des personnes âgées et aide celles-ci à lutter contre l’ostéoporose.

 

D’autres utilisations de l’huile d’onagre en phytothérapie

Cette huile végétale intervient efficacement sur de nombreux plans.

 

– Intoxication alcoolique : elle inhibe les effets d’une telle intoxication et favorise la régénération du foie au cas où cet organe a été endommagé par la surconsommation d’alcool. L’huile d’onagre s’avère également d’une aide précieuse dans le cadre d’un sevrage alcoolique. Elle contribue à la lutte contre la dépression alcoolique.

 

– Circulation sanguine : cette huile végétale amoindrit l’hypertension artérielle. Elle élimine le mauvais cholestérol et permet de se prémunir contre les affections coronariennes et la formation de caillots dans le sang.

 

– Sur le plan mental et émotionnel : l’onagre est réputée être un sédatif léger. Elle intervient ainsi favorablement en cas d’indigestion nerveuse, de coliques dues au stress ou d’hyperactivité chez un enfant. Cette huile est aussi connue pour ses propriétés à combattre la sclérose en plaques.

 

– Sur le système immunitaire : les acides gras présents dans l’huile d’onagre s’avèrent particulièrement utiles pour traiter différentes pathologies, comme l’eczéma, la migraine, le diabète, l’hypercholestérolémie, l’arthrite et les infections virales. Ces substances permettent également de soigner les troubles déficitaires de l’attention, les troubles métaboliques ainsi que les infections virales. Comme l’acide gamma-linoléique contenue dans cette huile végétale diminue la prostaglandine E et réduit par conséquent l’inflammation, elle est capable de freiner la croissance de tumeurs.

– Sur le système respiratoire : l’huile d’onagre détient des vertus antispasmodiques. Elle aide à atténuer les quintes de toux en cas de coqueluche et les symptômes de l’asthme.

 

– Sur le système reproducteur : les acides gras insaturés contribuent à l’entretien de l’équilibre hormonal. L’huile d’onagre ou les compléments alimentaires à base de cette plante sont ainsi indiqués pour soigner les irrégularités menstruelles, les troubles de la ménopause et les problèmes mammaires. En outre, l’onagre est bénéfique aux femmes allaitantes, car elle augmente le pourcentage de graisse contenue dans le lait maternel.

 

Utilisations et posologie

  • Utilisations

 L’onagre peut aussi bien être utilisée en interne qu’en externe.

– Par voie orale

En usage interne, par voie orale, l’huile d’onagre exerce des effets bénéfiques sur le cholestérol, l’athérosclérose, l’arthrite rhumatoïde en réduisant le processus inflammatoire, les maladies cardio-vasculaires, les troubles digestifs, l’asthme, l’eczéma, les troubles intestinaux, les ulcérations gastriques.

L’ingestion de cette huile végétale est préconisée pour traiter les troubles prémenstruels et les désagréments de la ménopause.

Les feuilles et les tiges d’onagre peuvent également être utilisées en infusion pour soigner les troubles gastriques ou le rhume : les hacher finement et les sécher. Laisser ensuite infuser dans 250 ml d’eau bouillante.

L’écorce de la tige, les fleurs et les feuilles de cette plante peuvent aussi être employées pour traiter la coqueluche. Procéder de la même manière que pour la précédente infusion.

– En usage externe

L’application en externe de l’huile d’onagre permet de profiter de ses actions protectrices, antirides et hydratantes. Elle convient à la peau, aux ongles et aux cheveux. Elle peut aussi être utilisée en externe pour soigner les affections cutanées.

L’application de l’huile d’onagre sous forme de crème calme les inflammations liées à l’eczéma ou au psoriasis.

L’extrait de fleurs d’onagre détient des propriétés astringentes. Pour traiter un cuir chevelu gras, cet extrait peut être mélangé à l’eau de rinçage après le shampooing.

En cataplasme, cette huile amenuise les douleurs rhumatismales.

  • Posologie

– Par voie orale : En phytothérapie, en usage interne, la posologie journalière recommandée est de 3 g à 6 g d’huile d’onagre, à prendre en 2 ou 3 fois avant les repas.

Sous forme de gélules, ce dosage correspond à 1 à 3 capsules par jour.

Pour traiter les troubles liés au syndrome prémenstruel, la posologie conseillée est de 3 capsules par jour, à prendre durant les 10 derniers jours du cycle.

En cas de problèmes de sécheresse cutanée, opter pour une cure de 6 semaines renouvelable à raison de 2 gélules par jour.

– En application cutanée : Masser tous les soirs le corps et le visage avec 10 gouttes d’huile d’onagre.

Pour atténuer les douleurs rhumatismales, appliquer l’huile d’onagre sous forme de cataplasme sur la zone affectée.

 

Associations suggérées

Pour optimiser la performance d’un traitement, l’huile ou les gélules d’onagre peuvent être combinées avec :

– De la vitamine E : pour accroître les vertus antioxydantes

– De la bourrache : pour mieux combattre le vieillissement cutané

– De la sauge ou du yan : pour pallier aux désagréments de la ménopause.

 

Précautions d’usage de l’onagre

Aucune toxicité n’est connue jusqu’ici si l’onagre, sous forme d’huile ou de gélules, est prise dans le respect des dosages classiques. En cas de doute quant à la posologie à adopter, il est conseillé de consulter un médecin, un pharmacien ou un phytothérapeute.

La chaleur détruit les principes actifs de l’huile d’onagre. Aussi, il faut privilégier un produit obtenu par pression à froid des graines de la plante. Bien vérifier les mentions sur l’étiquette pour le reconnaître.

La prise par voie orale de l’huile végétale d’onagre pure expose à des risques d’irritations de la gorge. Il est recommandé de l’ingérer avec d’autres aliments.

L’utilisation de l’onagre requiert de la vigilance afin de préserver l’équilibre entre les apports en acides gras oméga 3 et oméga 6. Les scientifiques préconisent une ration 1 : 5 entre les omégas 3 et omégas 6. Pour éviter tout éventuel déséquilibre lors d’une cure réalisée avec de l’huile d’onagre, il est préférable de diminuer la consommation d’autres produits contenant une forte teneur en oméga 6, l’huile de tournesol par exemple.

À noter : l’huile d’onagre détient de nombreuses vertus bénéfiques pour la santé. Cependant, elle doit être considérée comme une approche complémentaire à un traitement prescrit par un médecin. Elle contribue aux soins d’une pathologie, mais ne peut pas entièrement remplacer un traitement.

Avant d’entamer une cure ou d’opter pour une supplémentation, il est recommandé de demander l’avis d’un professionnel de la santé (médecin ou phytothérapeute).

 

Contre-indications 

La consommation de produits à base d’onagre (huile végétale, gélules de compléments alimentaires, infusion de tiges, de feuilles...) est déconseillée :

– Aux femmes enceintes et allaitantes

– Aux enfants âgés de moins de 12 ans

– Aux personnes sujettes à l’épilepsie.

– Comme l’onagre exerce une action légèrement anticoagulante, elle peut accentuer les effets de certains médicaments. Un traitement par anticoagulants ne doit donc pas être combiné avec une cure d’huile d’onagre.

 

Effets indésirables de l'onagre

Un surdosage est susceptible de provoquer des nausées, des troubles gastro-intestinaux, une diarrhée ou des maux de tête. Il suffit de réduire les quantités ingérées pour éliminer ces effets indésirables.

En tout cas, il importe de respecter les dosages mentionnés sur l’emballage du produit ou ceux qui sont prescrits par un professionnel de la santé.

 

Mode de conservation de l’huile d’onagre

Cette huile végétale s’altère au contact de la chaleur et perd ses propriétés bienfaisantes. Elle doit être conservée dans un endroit frais, à l’abri de la lumière, de la chaleur et de l’air.

 

Interactions avec des médicaments

Pour éviter une interaction susceptible d’être néfaste pour la santé, les personnes sous traitement anticoagulant ou prenant des médicaments contre la schizophrénie doivent s’abstenir de consommer de l’onagre (huile, gélules ou infusion).

 

La recherche sur l’onagre

Un traitement préventif expérimenté sur des rats diabétiques ont permis à certains chercheurs de démontrer qu’un apport par voie orale d’huile d’onagre permet de se prémunir de la neuropathie, de l’athérosclérose et de la rétinopathie diabétique. D’autres scientifiques se sont penchés sur une étude portant sur le traitement de la sclérose en plaques avec de l’huile d’onagre. Les résultats obtenus sont jusqu’ici encourageants.

 

Huile d’onagre : quelques informations complémentaires

Comme la demande en huile d’onagre ne cesse de croître, la vigilance est de mise face au panel d’offres proposées sur le marché. Il est recommandé de bien vérifier l’origine et la qualité du produit sur les étiquettes. Il importe également de connaître les mécanismes de production de l’huile végétale (pression à froid) et de s’assurer qu’elle ne contient pas d’OGM.

 

Vous êtes maintenant mieux informé sur l’onagre, une plante qui a été introduite au XVIIe siècle en Europe. L’huile végétale et les gélules de complément alimentaire extraites de l’onagre constituent d’excellentes sources d’acides gras oméga 6, des substances vitales pour le bon fonctionnement de nombreux systèmes au sein de l’organisme : immunitaire, hormonal et nerveux.

L’onagre est une plante originaire de l’Amérique du Nord. Elle est surtout appréciée pour ses graines qui servent à fabriquer l’huile d’onagre. Celle-ci présente un grand intérêt thérapeutique grâce à sa richesse en oméga-6, des acides gras qui aident à lutter contre de nombreux troubles de la santé. Découvrez à travers ce dossier tout ce qu’il faut connaître à propos de l’onagre : description botanique, historique, composition, principes actifs, bienfaits pour la santé, indications, posologie, précautions d’usage, contre-indications et effets indésirables.

 

Description botanique de l'Onagre

Plante herbacée velue au port érigé, l’onagre intègre la catégorie des plantes bisannuelles. Elle est dotée de feuilles lancéolées, poilues et ondulées.

 

Elle fleurit en été, de juin à septembre. Ses fleurs de couleur jaune vif se distinguent par leur corolle régulière et leurs capsules allongées. Chacune possède 4 pétales et 8 étamines courbées. Elles ont la particularité de s’ouvrir en fin de journée pour se refermer le lendemain matin au lever du soleil, d’où leur appellation de « primevères du soir » ou « belles-de-nuit ».

 

La tige comporte de petites taches rouges. Sa hauteur varie la plupart du temps entre 50 cm et 1,50 m, mais elle atteint parfois 2 m.

 

À maturité, le fruit de l’onagre renferme de petites graines noires dont est extraite l’huile réputée pour ses propriétés thérapeutiques.

 

La variété « Oenother biennis » qui est utilisée en phytothérapie est une plante bisannuelle. Au cours de sa première année de vie, elle ne produit que des rosettes de feuilles. Les fleurs apparaissent seulement au bout de la seconde année.

Dans certaines contrées, l’onagre pousse encore à l’état sauvage. Cependant, dans plusieurs régions du monde, cette plante est de plus en plus cultivée à des fins ornementales ou médicinales.

 

Onagre : Étymologie

Cette plante est appelée « onagre », car la forme de ses feuilles ressemble à des oreilles de l’âne sauvage éponyme. Lorsqu’elle est séchée, la racine de ce végétal exhale un arôme de vin, ce qui pourrait expliquer son étymologie latine « oenothera » qui dérive du grec « oïnos » signifiant « vin » et « théro » qui veut dire « conserver ».

 

L’onagre se décline en 80 espèces environ, la plus répandue étant celle bisannuelle dont toutes les parties sont comestibles et utilisées en phytothérapie, des racines aux graines en passant par la tige, les feuilles et les fruits.

 

Onagre : histoire de son utilisation en phytothérapie

Cette plante est originaire d’Amérique du Nord. Dès le XVIe siècle, elle était cultivée par les Amérindiens pour ses vertus nutritionnelles et médicales. Ils consommaient ses racines et l’utilisaient également en infusion pour soulager la toux ou atténuer les douleurs gastriques. En usage externe, ils broyaient les graines d’onagre et les appliquaient en cataplasme pour soigner diverses affections de la peau, telles que les éruptions cutanées, les abcès et les furoncles.

 

L’introduction de l’onagre en Europe date du XVIIe siècle. Elle est parvenue sur le Vieux Continent par le biais de la terre employée pour le lestage des bateaux qui contenait des graines. Celles-ci ont germé et se sont rapidement répandues. À son arrivée, elle était présentée sous l’appellation de « panacée du roi » et constituait une plante ornementale. Par la suite, elle était plébiscitée pour ses propriétés nutritionnelles et thérapeutiques et était devenue un remède populaire.

 

De nos jours, l’huile d’onagre qui est extraite des graines de la plante est très prisée en phytothérapie.

 

Répartition géographique

À l’état sauvage, l’onagre se retrouve généralement dans les régions tempérées. Depuis le XVIIe siècle, elle est présente sur le continent américain et sur les zones littorales européennes, notamment sur les côtes de la Mer Méditerranée et celles de l’Océan Atlantique. Cette plante est apte à se développer sur les terrains incultes, les sols rocailleux et sablonneux ainsi que sur les talus.

 

En Amérique ou en Europe, l’onagre bisannuelle représente l’espèce la plus répandue. D’ailleurs, c’est la seule variété qui détient des intérêts sur le plan thérapeutique.

 

Composants et principes actifs de l’onagre

Les graines d’onagre contiennent environ 20 % d’huile végétale à forte teneur en acides gras polyinsaturés (oméga 6) :

–          Plus de 65 % d’acide linoléique

–          De 7 % à 14 % d’acide gamma linolénique.

Ces acides exercent une action positive sur la production de prostaglandines E1. En réduisant les mécanismes déclencheurs de l’inflammation, ils contribuent au ralentissement du vieillissement des cellules cutanées.

L’huile d’onagre renferme aussi :

-      5 à 11 % d’acide oléique (acide gras mono insaturé de type oméga 9)

-      5 à 7 % d’acide palmitique et 2 à 3 % d’acide stéarique (des acides gras saturés)

En plus de ces acides gras essentiels, l’huile d’onagre est aussi composée de vitamines E et F — d’esters d’acides triterpéniques — de polyphénols — d’acide palmitique — de lignine — de minéraux — de mucilages — de tanins — de phytostérols — de composés flavoniques et de protéines.

Ces différents composants et principes actifs confèrent à cette huile végétale de multiples propriétés, notamment antioxydantes, hydratantes et anti-inflammatoires.

 

Onagre : fiche de synthèse

Noms communs : Onagre, onagre bisannuelle, primevère du soir, belle-de-nuit

Nom scientifique : Oenothera biennis

Classification botanique : famille des onagracées (Onagraceae)

Origine : Amérique du Nord

Partie utilisée en phytothérapie : les graines de la plante

Principaux actifs : acides gras poly insaturés (oméga 6), notamment l’acide gamma-linolénique

Propriétés : antioxydantes, effets anti-âge, actions cardioprotectrices, favorisent le confort féminin en aidant à lutter contre les troubles de la ménopause.

Formes et préparations : huiles, gélules, capsules, crèmes, cataplasmes.