Principales indications de l’Ignatia Amara

  • La dystonie neurovégétative

Appelée aussi neurotonie, l’origine de cette maladie est le stress causé par une pression externe (comme la vie sociale). Elle correspond à un dysfonctionnement mineur du système nerveux autonome (ou végétatif). Selon l’intensité de la neurotonie, les symptômes peuvent être : des douleurs ou trouble cardiaque, une tension musculaire, une hypersensibilité émotionnelle, une hyperagitation, une tendance dépressive, des maux d’estomac, une fatigue, des céphalées, du vertige, un malaise aux changements de position, une transpiration à froid, des fourmillements au niveau des doigts, des troubles respiratoires, des troubles digestifs causant la diarrhée ou la constipation, des tremblements, une hypoglycémie, une déshydratation buccale, des troubles de la libido, une augmentation des réflexes ostéotendineux, etc.

  • Les pathologies causées par le stress

Le stress est une réaction normale de l’organisme dont la cause principale est l’inconnu. Le stress peut se manifester différemment chez l’individu. Selon son intensité, il peut être à l’origine de plusieurs pathologies ou aggraver leurs symptômes comme les troubles digestifs, les troubles cardio-vasculaires, l’hyperthyroïdie, les infections virales chroniques, les infections cutanées et les troubles gynécologiques. Bien évidemment, le stress n’est pas la cause principale de ces problèmes. Le stress va juste favoriser leur développement.

  • Le trac, l’angoisse et l’anxiété

Le trac, l’angoisse et l’anxiété sont des réactions de l’organisme pour attirer notre attention face à une situation stressante, mais peuvent aussi être un trouble post-traumatique. Ces troubles sont liés à une baisse de sérotonines dans l’organisme. Parler en public, passer un examen, changer d’environnement… les causes peut varier d’une personne à une autre. Selon leur intensité, ils peuvent être passagers (durant quelques minutes), mais aussi chroniques. Les symptômes peuvent être la transpiration, la palpitation, la déshydratation, l’envie d’uriner… et peuvent se transformer en insomnie, troubles de la respiration, hyperactivité, hypertension artérielle et irritabilité. La prise d’anxiolytique est indiquée pour traiter ces problèmes, mais le risque de dépendance est élevé. 

  • La spasmophilie

La spasmophilie est reliée directement aux émotions de la personne. Cette dernière va ainsi réagir différemment face à une situation par rapport à une personne normale. Ce trouble de la santé mentale n’est pas encore reconnu comme étant une maladie chronique en France. Elle peut se manifester comme une grave crise d’angoisse pouvant causer des difficultés respiratoires (étouffement, hyperventilation…) et de la tétanie musculaire.

 

Ces symptômes sont liés à un état anormal d’hyperexcitabilité musculaire et nerveuse. Le patient peut aussi être victime du spasme de sanglot. Ce trouble se manifeste par une exagération des émotions comme les excès de colère, la peur paralysante… et peut causer l’évanouissement. La spasmophilie ne présente pas encore de traitements médicaux sur-mesure, et l’utilisation des souches homéopathiques est le seul traitement valide.

  • Trouble du sommeil

Insomnie, réveil nocturne ou sommeil non réparateur, les troubles du sommeil peuvent varier selon la personne. Touchant aussi bien les enfants que les adultes, les troubles du sommeil peuvent être accompagnés de boule de gorge, nœud ou crampe à l’estomac. Ces symptômes peuvent aussi être accompagnés de transpiration et de bouffée de chaleur. L’inconfort et l’agitation peuvent aussi survenir pendant cette période. La personne va ainsi bâiller, ressentir de la fatigue et même l’envie de dormir sans pour autant trouver le sommeil. L’utilisation des somnifères est parfois déconseillée, surtout quand la personne présente des risques de dépendance ou qu’elle soit trop jeune.

  • La dépression réactionnelle

Cette dépression est liée à un choc émotionnel, la perte d’un être cher ou un syndrome post-traumatique. Elle n’est pas à prendre à la légère, car certains dépressifs peuvent avoir des tendances suicidaires. Elle peut être passagère, mais dans certains cas, la dépression peut devenir chronique.

 

La dépression touche beaucoup de personnes. Maintenant que c’est considéré comme une maladie, l’utilisation des antidépresseurs exige une consultation médicale et un suivi de près. En effet, les antidépresseurs peuvent causer une dépendance et certaines personnes peuvent avoir des hallucinations pendant le traitement. 

  • Troubles de santé manifestés par des symptômes contradictoires

L’Ignatia Amara peut être indiqué pour traiter des troubles de santé dont les symptômes sont contradictoires. En effet, la personne peut par exemple avoir des nausées, mais celle-ci va disparaitre en grignotant. Il se peut aussi qu’elle ait des crises d’hémorroïde, mais les douleurs vont disparaitre après quelques mouvements ou une douleur anale soulagée par le fait d’aller à la selle. 

 

Les sensations de douleurs sont souvent imaginaires. La personne pense avoir une angine alors qu’elle va juste ressentir les douleurs. Les causes de ces douleurs peuvent varier d’une personne à une autre. On peut par exemple prendre en compte un trouble psychologique, mais un changement d’environnement, le stress, l’anxiété ou la dépression sont les causes les plus courantes. Ces troubles peuvent être traités par la médication grâce à l’effet placebo. Pourtant, la prise des médicaments pour des pseudo-maladies peut avoir des effets néfastes sur un organisme en bonne santé.

  • Autres indications

L’ignatia amara peut aussi être indiqué pour traiter :

  • Une zone douloureuse bien précise comme un point douloureux,
  • Une zone douloureuse superficielle, mais que la zone douloureuse change souvent,
  • Un maux de tête pariétaux et qui peut conduire à une pronation exagérée. La personne risque même une déshydratation.
  • Une douleur sur un point appendiculaire sans pour autant être une appendicite,
  • Un « hoquet » qui persiste causé par une sensation de boule à la gorge.
  • Les circonstances déclenchant ces troubles et maladies
  • Les circonstances déclenchant ces troubles et ces maladies peuvent aussi varier selon l’état de santé psychologique et émotionnel du patient. Les plus courants sont :
  • Le matin vers 11 heures ou l’après-midi vers 17 heures : le passage du matin vers midi peut déclencher ses troubles. Les scientifiques n’ont pas encore trouvé le rapport exact entre l’heure et le déclenchement des symptômes. On parle de l’éveil de la personne après une insomnie, ce qui va causer une fatigue ; ou la fatigue en fin de journée.
  • Les émotions : dans la joie ou la tristesse, les chocs émotionnels peuvent déclencher les symptômes cités précédemment. Ainsi, la personne peut avoir des insomnies ou tomber dans la dépression après l’annonce d’une nouvelle bouleversante.
  • L’excitation : peut aussi déclencher les symptômes chez le patient. Cette excitation peut être liée à un changement d’environnement ou un changement d’habitudes. L’insomnie avant la rentrée scolaire est courante par exemple chez les enfants.
  • La consolation : une personne dépressive qui va recevoir la consolation de ses proches peut voir ces symptômes s’aggraver. En effet, le traitement de la dépression est très délicat et les manifestations peuvent changer selon le patient. Certains recherchent beaucoup d’attention alors que d’autres réclament la solitude.
  • Les odeurs fortes : l’odeur du tabac, du café ou autres odeurs fortes peuvent déclencher les symptômes. 

 

Les modalités d’amélioration de l’état du patient

Selon l’état général du patient, les modalités d’amélioration peuvent être :

  • La distraction : c’est en effet la modalité d’amélioration principale. En effet, il suffit d’une simple distraction pour calmer les symptômes. Le patient est donc encouragé à pratiquer des activités le passionnant.
  • La chaleur : celle-ci participe beaucoup à calmer les crises. Une exposition au soleil, une boisson chaude et un environnement chaleureux peuvent apaiser le patient.

Si vous remarquez que le patient est touché par les modalités d’aggravation (circonstances déclenchantes) ou les modalités d’amélioration, une cure à base d’Ignatia Amara est fortement conseillée.

 

Les patients bons répondeurs au traitement à base d’Ignatia Amara

Selon les troubles et l’intensité des symptômes, la réponse du patient après le traitement peut varier. Certaines personnes peuvent par exemple répondre favorablement à une dilution basse, alors que d’autres ne sont pas du tout de bons répondeurs même après une dilution de 30 CH. Sur le plan comportemental, le patient bon répondeur peut avoir des sauts d’humeur et des tendances bipolaires. L’exagération des réactions comme le rire ou les pleurs à haute voix est un comportement courant.  

 

Posologie de l’Ignatia Amara

Comme tous les traitements homéopathiques, le traitement à base d’Ignatia Amara doit être approuvé par un spécialiste.  En effet, la posologie usuelle dépendra de l’intensité des symptômes ainsi que de la réponse du patient. Les dilutions commercialisées vont varier de 4 CH à 30 CH.

  • La dilution basse de 4 CH et 5 CH (8 DH et 10 DH) : cette dilution est destinée pour des cas aigus et ponctuels. 
  • La dilution moyenne de 7 CH et 9 CH (14 DH et 18 DH) : cette dilution est destinée pour les cas courants.
  • La dilution forte de 10 CH, 15 CH et 30 CH (20 DH, 30 DH et 60 DH) : cette dilution est destinée pour les cas extrêmes.

Utilisation de l’Ignatia Amara

  • Pour les cas de dystonie neurovégétative

La dilution basse est conseillée pour les cas de dystonie neurovégétative, mais certains spécialistes peuvent conseiller la prise de dilution moyenne. La posologie usuelle est de prendre une dose globule 2 à 3 fois par jour. Il est aussi possible de prendre 3 granules le matin et répéter la prise autant de fois dans la journée. Le traitement ne doit pas dépasser les 30 jours.

  • Pour les cas de pathologies liées au stress

Selon l’intensité des symptômes, la fréquence de répétition et l’état de santé générale de la personne, le spécialiste peut conseiller aussi bien une dilution basse qu’une dilution forte. La répétition des prises va aussi dépendre des symptômes. Une consultation est donc exigée pour adapter le traitement adéquat au traitement de chaque cas de pathologie liée au stress.

  • Pour les cas de trac, d’angoisse et d’anxiété

La posologie pour ces cas est de prendre une dilution moyenne d’Ignatia Amara de 7 CH ou 9 CH. Selon l’origine de la crise, la durée du traitement peut se prolonger. Pour un événement ponctuel, il est conseillé de prendre une dose par jour pendant une semaine dont le 7e jour sera le jour de l’événement. Pour un cas chronique, il est conseillé de prendre 3 granules (ou doses globales) par jour pendant plusieurs semaines (selon prescription d’un spécialiste).

  • Pour les cas de spasmophilies

La spasmophilie (ou spasme du sanglot) peut survenir comme une crise. Ainsi, le traitement doit être commencé dès la survenue d’une crise. La posologie est de prendre de l’Ignatia Amara en dilution moyenne de 7 CH - 9 CH ou une dilution forte de 15 CH - 30 CH. Le spécialiste peut aussi prescrire une autre posologie selon la fréquence des crises et leur intensité.

  • Pour les cas de troubles du sommeil

Pour les troubles du sommeil, la posologie usuelle est de prendre de l’Ignatia Amara en dilution moyenne de 7 CH – 9 CH. La dose est de 5 granules ou doses globules avant d’aller se coucher. Il est aussi conseillé de prendre un verre de lait avant d’aller se coucher pour optimiser le résultat. Cette posologie peut s’adapter aussi bien aux adultes qu’aux enfants.

  • Pour les cas de dépression réactionnelle

Pour traiter la dépression réactionnelle, la posologie usuelle est de prendre l’Ignatia Amara en dilution forte de 15 CH - 30 CH vers 11 h et 17 h. Le patient peut aussi en prendre s’il pense qu’il en a besoin. La cure de la dépression doit aussi être accompagnée d’une thérapie chez un spécialiste.

  • Pour les cas de Troubles de santé manifestés par des symptômes contradictoires

Pour ces troubles, il est possible de prendre 1 dose d’Ignatia Amara 9 CH le premier jour, 1 dose en 12 CH le 2e jour, 1 dose en 15 CH le 3e jour et 1 dose en 30 CH le 4e jour.

  • Pour les autres indications

Pour les autres indications citées ci-dessus, il est possible de prendre de l’Ignatia amara 9 CH ou 18 DH à raison de 3 granules par jour pendant les 3 premiers mois, puis 3 granules 5 CH ou 10 DH durant les mois suivants. Pour les problèmes de grignotage, prendre 2 granules en 7 CH ou 14 DH 3 fois par jour.

 

Associations de l’Ignatia Amara avec d’autres remèdes homéopathiques

Afin d’optimiser l’efficacité du traitement, il est possible d’utiliser d’autres remèdes homéopathiques à votre traitement. Pour les cas d’angoisse, d’anxiété et de stress, ainsi que les troubles du sommeil, l’utilisation du Gelsemium Semperviens est recommandée. Cette plante qu’on appelle aussi Jasmin jaune qui vient des Etas-Unis fait partie de la même famille que l’Ignatia Amara : la famille des Loganiaceae. Elle peut traiter le stress, l’angoisse, l’anxiété et l’insomnie. Pour suivre un traitement à base de ces deux plantes, il faut en parler avec un spécialiste pour mieux ajuster les doses que vous allez prendre. 

 

Précautions d’emploi de l’Ignatia Amara

  • Pour les femmes enceintes et allaitantes

Les remèdes homéopathiques n’ont pas de composants considérés comme toxique. Les femmes enceintes peuvent donc les utiliser sereinement. De plus, même si ces produits vont passer par le lait maternel, ces remèdes ne présentent aucun risque pour le bébé. D’ailleurs, on peut même utiliser l’Ignatia Amara pour traiter les troubles du sommeil d’un bébé. 

  • Précautions d’emploi sur les prises

Le traitement doit commencer au début des symptômes et des crises. La prise d’Ignatia Amara alors que le patient n’a plus manifesté de symptômes est déconseillée. De plus, la posologie et les doses devront être définies par un spécialiste. En effet, certaines personnes ne répondent pas de la même manière aux remèdes thérapeutiques. D’autres personnes peuvent avoir des symptômes légers, mais ne répondent qu’aux remèdes à dilution forte.

Les granules ne doivent pas non plus être touchés par la main. La transpiration et la saleté peuvent impacter les molécules qui composent le remède. Selon la marque que vous allez choisir, vous aurez déjà des moyens pour manipuler cette souche.

  • Précautions d’emplois sur les composants des souches homéopathiques

Les souches homéopathiques sont commercialisées sous forme de granules ou doses globales, de solutions liquides, de comprimés, de suppositoires ou de poudres orales. Il est donc conseillé de prendre en compte les autres composants de ces produits. Vous pouvez trouver les autres composants sur l’étiquette ou la notice du produit. En cas de doute, il est conseillé d’en discuter avec un spécialiste.

  • Les effets secondaires de l’Ignatia Amara

Cette souche homéopathique ne présente pas de composants potentiellement toxiques. Elle ne présente donc pas d’effets secondaires. Pourtant, les autres composants peuvent causer ces effets secondaires. Les personnes qui sont intolérantes au lactose ou au saccharose peuvent avoir des réactions allergiques. Des réactions cutanées, des maux de ventre et des troubles digestifs, un gonflement de l’œdème de Quincke peuvent survenir. Ces cas sont rares et leur probabilité d’apparition dépend principalement de la quantité de granules que le patient a ingéré pendant le traitement. Si vous ressentez des effets secondaires, il est conseillé de consulter un médecin. Il peut vous indiquer des médicaments antihistaminiques pour votre traitement.  

L’homéopathie a été découverte vers les années 1700 et il se présente comme l’utilisation des plantes pour traiter les troubles de la santé. Suivant le principe « soigner par les contraires, mais aussi par les semblables », l’homéopathie est utilisée pour soigner une maladie avec des substances qui peuvent causer cette maladie elle-même. Ne présentant pas d’effets secondaires, cette alternative aux médicaments pharmaceutiques n’a que très peu de contre-indications. L’ignatia amara ou le strychnos ignatii est une souche homéopathique pouvant traiter les troubles de comportement et les pathologies liées au stress. Zoom sur cette substance qui a fait ses preuves depuis plus de quatre siècles.

 

Origine et présentation de l’Ignatia Amara

Le Strychnos Ignatii, anciennement appelé Ignatia Amara, est un petit arbuste qu’on retrouve généralement en Asie du Sud, notamment aux Philippines. Comme classification, elle est comme suit :

  • Règne des Plantae,
  • Sous-règne des Tracheobionta,
  • Division des Magnoliophyta,
  • Classe des Magnoliopsyda,
  • Sous-classe des Asteridae,
  • Ordre des Gentianales (classification phylogénétique),
  • Famille des Loganiaceae (classification phylogénétique),
  • Genre des Strychnos.

La teinture mère de la souche homéopathique est obtenue après le traitement des graines sèches de l’arbuste. Ces graines contiennent deux alcaloïdes puissants. Ces molécules vont être les protagonistes qui vont contribuer aux traitements des maladies. On a d’abord la strychnine qu’on retrouve généralement dans les noix vomiques. Elle est utilisée en pharmacie pour ses propriétés stimulantes. On a aussi la brucine qui est une molécule proche de la strychnine, mais qu’on utilise en pharmacie pour la régulation de la pression sanguine. 

 

C’est la présence de ces deux alcaloïdes qui vont donc procurer à l’Ignatia Amara, ses propriétés psychoanaleptiques. Elle va donc stimuler l’activité physique et le système nerveux du patient impactant ainsi son humeur et sa vitalité.

 

Pourquoi passer par l’homéopathie à base d’Ignatia Amara ?

L’Ignatia Amara est une alternative aux médicaments pharmaceutiques pour stimuler l’activité physique et le système nerveux. Par rapport à ces médicaments issus des laboratoires, cette souche homéopathique :

  • Ne présente pas de contre-indications : cette souche homéopathique peut être utilisée par n’importe qui. Seul point noir, certaines personnes peuvent être allergiques à une molécule particulière contenue dans la souche. Aussi, elles peuvent être allergiques aux autres composants contenus dans le produit lorsque celui-ci est commercialisé.
  • Ne présente pas d’effets secondaires sur le système immunitaire : la souche homéopathique ne contribue pas à la suppression des défenses immunitaires comme les médicaments pharmaceutiques.
  • N’interfère pas les traitements allopathiques : pour optimiser l’efficacité des traitements allopathiques, l’utilisation des souches homéopathique est autorisée. On peut, par exemple, mélanger les anxiolytiques et l’homéopathie pour mieux lutter contre l’anxiété.
  • Ne cause pas une dépendance ou une accoutumance : contrairement aux antidépresseurs ou autres médicaments pouvant causer une dépendance et accoutumance, les souches homéopathiques ne présentent pas ces effets secondaires.

 

Les formes d’Ignatia Amara disponibles

Selon le laboratoire qui va commercialiser cette substance, on peut avoir :

  • Des granules et les doses globales qui peuvent contenir des excipients à effet notoire comme le saccharose et le lactose,
  • Des gouttes et ampoules buvables qui peuvent contenir de l’alcool (ce sont des solutions hydroalcooliques).
  • Des comprimés qui peuvent contenir de l’aspartam,
  • Des poudres orales,
  • Des suppositoires qui peuvent contenir des glycérols. 

Selon la dilution proposée par la marque, la posologie des médicaments homéopathiques dépend de l’intensité des symptômes du patient. Sont aussi pris en compte ses habitudes médicamenteuses et ses antécédents pathologiques.