Autrefois, pour guérir la syphilis, l’utilisation du bismuth ou plus précisément le salicylate de bismuth présentait déjà des effets secondaires sévères qui proviennent de sa toxicité. On constatait jadis des taches noires sur les dents, des haleines fétides et de la salivation chez les patients. Le foie et le rein sont également touchés par cette nocivité plus ou moins grave. Récemment, il a été démontré que les cellules épithéliales tubulaires qui forment en partie le rein succombent par nécrose au lieu de l’apoptose à cause des toxines contenues dans le bismuth. La z-VAD-fmk qui est l’inhibiteur de la caspase-3 ne freine pas la mort cellulaire due à l’intervention du bismuth sur les cellules NRK-52E. Pourtant, le bismuth empêche l’apoptose qui résulte du cisplatine.

 

D’après les diverses recherches, cette forme de néphrotoxicité n’est pas causée par le dysfonctionnement mitochondrial ou l’induction des radicaux libres qui tuent les cellules épithéliales tubulaires, mais des effets du bismuth qui attaquent directement les fonctions de leur membrane.

 

Néanmoins, il est bon de savoir que les effets de la toxicité du bismuth semblent se dissiper après une certaine période, souvent en quelque mois. Cependant, il n’est pas encore prouvé que les effets sur l’embryon ou le fœtus disparaissent également, idem pour les impacts sur les personnes qui sont exposées à ce métal. D’après les études sur l’histochimie du bismuth sur les animaux et les humains, notamment par autopsie des cerveaux, les sujets intoxiqués par le bismuth présentent des traces de toxines au niveau hématoencéphalique ainsi que dans plusieurs zones du cerveau, dans le cervelet, le thalamus et le sang. 

 

Ces études ont permis de constater l’accumulation des toxines de bismuth dans les cellules gliales du néocortex, de l’hippocampe, du cervelet et du thalamus. Avec une analyse plus approfondie sur les lysosomes au sein des cellules et dans les membranes basales de quelques vaisseaux, le bismuth est assez présent. Cette accumulation peut varier et même augmenter avec le temps et selon la dose adoptée. Dans les cellules, le bismuth s’avère être un inducteur majeur de la métallothionéine, une protéine qui a la faculté de se confondre facilement avec les métaux. Par ailleurs, le bismuth participe également à la formation de plusieurs enzymes glycolytiques, causant particulièrement l’apparition de l’hypoxie. La protéine 3 connue aussi sous le nom de Bnip3 qui interagit avec 19 kDa de BCL2/ adénovirus E1B pourrait être l’une des raisons de la mort cellulaire causée par le bismuth.

 

Dans les autres cas comme l’inhalation, les vapeurs du bismuth sont réellement toxiques et peuvent se dégager même à une température proportionnellement basse. Le bismuth méthylé est très volatile à température constante et peut provoquer une intoxication des voies respiratoires. Par ingestion, une certaine quantité de bismuth avalée peut également franchir la barrière gastro-intestinale. Cependant, le cas peut varier en fonction de la forme du bismuth administré ou notamment de l’état de santé des sujets concernés. Malgré tout cela, les recherches ont abouti à un résultat clinique positif qui s’accompagne d’une amélioration palpable du patient lors de l’interruption de la prise de bismuth. Toutefois, quelques symptômes tels que l’asthénie, les troubles de la mémoire, les céphalées ou l’insomnie peuvent encore apparaitre pendant quelques mois si le bismuth est utilisé à forte dose. 

 

Utilisations du bismuth

Le bismuth est un oligo-élément qui est encore peu connu dans l’univers de la médecine, mais qui joue un rôle crucial dans le bon fonctionnement de l’organisme. Dans son état pur ou par le biais de ses dérivés, le bismuth est sollicité pour ses nombreuses propriétés, antalgiques, anti-inflammatoires et anti-infectieuses.

 

À travers ses dérivés les plus connus comme les sous-nitrates et les sous-carbonates, le bismuth était déjà présent dans la pharmacopée traditionnelle, à savoir la pharmacie galénique ou même en parapharmacie. Tel est, par exemple, le cas du nitrate de bismuth basique, le B1 (OH) 2NO3 qui est également connu sous le patronyme de « magistère de bismuth ». Celui-ci avec ses propriétés antiseptiques était dans les temps anciens une solution indiquée pour le pansement gastrique. Prescrit sous plusieurs formes, notamment par administration orale, le magisterium bismuti servait de traitement pour l’ulcère gastroduodénal, la diarrhée, les constipations, les colites et les entérites. Ce dérivé peut également calmer les troubles digestifs, comme antiseptique pour les infections cutanées ou aussi dans les compositions de pansements pour les brûlures et dans la dermatologie en général.

 

Provenant de sa chimie organique, les dérivés bismuthiques sont à l’heure actuelle utilisés dans la pharmacie médicamenteuse. Toutefois, leurs proportions sont minutieusement sélectionnées et ils sont utilisés à très faible dose pour des produits purs et insolubles dans l’eau. Parmi les plus convoités figurent, entre autres les sels insolubles tels que les carbonates et nitrates basiques de bismuth qui possèdent des propriétés antiseptiques et antiacides, réputées pour réduire considérablement les fermentations.

 

Néanmoins, étant donné que le bismuth est opaque au rayon X, un pansement à travers cet élément ou ses dérivés n’est pas conseillé avant toute intervention. Quoi qu’il en soit, le bismuth est encore recommandé pour plusieurs autres pathologies comme la leucémie ou les infections virales récidives, pour ne citer que la laryngite ou la pharyngite.

 

Le bismuth connait également un succès considérable dans l’oligothérapie, notamment lors des affections de la sphère ORL. C’est un actif efficace pour accompagner les médicaments qui soignent la région oropharyngée. Grâce à son action antiseptique, la prise de Granions de bismuth, par exemple, peut s’avérer efficiente contre les états grippaux, le rhume, la toux et les inflammations.

 

Il existe à l’heure actuelle des bismuths sous forme d’ampoules qui peuvent être administrées jusqu’à 3 fois par jour. D’autres peuvent se présenter sous forme de cachet, à mâcher et ensuite à avaler. Mis à part son côté curatif, le bismuth peut aussi s’utiliser dans la prévention de certaines maladies. C’est ainsi qu’il est recommandé de le puiser dans les nourritures avant l’arrivée de l’hiver pour combattre les virus et les bactéries saisonniers. Il n’est pas également à rappeler que le bismuth est présent dans de nombreux aliments et dans les algues.

 

Quelques exemples d’aliments contenant du bismuth

Semblable aux caractéristiques des oligo-éléments, le bismuth est assez présent dans plusieurs aliments. Il se trouve en quantité suffisante surtout dans les racines des végétaux et dans certaines légumineuses telles que la betterave, la carotte, le panais, le rutabaga, le navet, le céleri-rave, la pomme de terre, l’igname, la patate douce, le manioc, le topinambour et aussi dans quelques algues comme le varech. En privilégiant ces sources alimentaires, l’apport en bismuth peut être régulé de manière plus naturelle.

 

Dans quelles situations devrait-on recourir au bismuth ?

Ayant une toxicité qui ressemble fortement à celle du mercure et de l’arsenic, le bismuth est souvent administré à travers des formes insolubles dans un liquide comme l’eau. Ces sels insolubles peuvent faire l’objet d’un substitut de pansements cutanés ou internes efficaces. Leur composition qui varie selon leur préparation doit suivre des protocoles de fabrication stricts et des contrôles des produits fiables afin de s’assurer de leur innocuité. Utilisé parmi les matières premières des médicaments, le bismuth est dosé à faible quantité. Sachez que l’arsenic fait partie de ses dérivés.

 

Néanmoins, en considérant que les composés insolubles sont généralement atoxiques, leur absorption digestive est assez limitée. Dans la plupart des cas, les professionnels de la santé suggèrent surtout les dérivés du bismuth tels que les nitrates ou les carbonates basiques avec des propriétés antiacides et antiseptiques qui permettent d’éviter les fermentations. Toutefois, la consommation de sels de bismuth est à exclure avant une exploration radiologique, car leur présence dissimule l’avancement des substances de contraste ingérées auparavant.

 

De ce fait, il est conseillé de demander au préalable l’avis d’un spécialiste avant tout traitement à base de bismuth. Quoi qu’il en soit, le bismuth est un oligo-élément qui peut être d’une aide précieuse pour soigner ou soulager plusieurs pathologies comme le rhume, la grippe, la toux, le mal de gorge, les allergies de saisons, l’extinction de voix, le reflux gastro — œsophagien ou les symptômes gastro-intestinaux.

 

Qui peut utiliser du bismuth ?

D’une vue globale, le bismuth, ses dérivés ou ses présentations avec d’autres éléments sont recommandés lors d’un état infectieux viral. Il est néanmoins nécessaire de se rapprocher d’un médecin ou d’un spécialiste pour ne pas prendre le risque de devoir supporter les effets secondaires ou les intolérances à ce métal lourd. À moins d’avoir une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale, hypersensibilités aux nitro-imidazolés ou tétracyclines, les adultes sont autorisés à utiliser le bismuth. Par contre, ce métal ou ses dérivés ne sont pas adaptés aux enfants de moins de 12 ans ainsi qu’aux femmes enceintes ou allaitantes.

 

Effets de surdosage en bismuth

Dans le cas d’un excès de bismuth, certains patients peuvent présenter des difficultés respiratoires et/ou d’autres symptômes comme le bourdonnement des oreilles qui peuvent conduire au coma. Les effets du surdosage en bismuth peuvent parfois se manifester par des allergies. Ordinairement, la situation résulte de la vulnérabilité de la personne par rapport à la dose d’aspirine, d’AINS ou de salicylates au cours d’un traitement à base de médicament contenant du bismuth.

 

Dans quel cas la carence en bismuth est-elle constatée ?

Après les analyses ou une consultation médicale, un patient atteint d’une infection virale peut souvent souffrir d’un déficit en bismuth. De ce fait, l’effet immunostimulant dont il devrait bénéficier à travers ce métal est quasiment absent ou très faible. Pour être sûr du diagnostic, il est crucial de se rapprocher d’un personnel de santé afin de savoir exactement l’état de la carence et les posologies à adopter.

 

Le Bismuth Subsalicylate, un des dérivés en exemple

Classé dans la catégorie des médicaments antiacides et absorbants, le bismuth sous-salicylate est utilisé pour apaiser les brûlures d’estomac, les maladies gastriques, l’indigestion, la diarrhée et la nausée. Malgré son mode de fonctionnement qui n’est pas encore bien précisé, il est connu que le bismuth sous-salicylate atténue l’inflammation de l’estomac et élimine par la même occasion un certain nombre de bactéries. Ce médicament est également prescrit pour prévenir la diarrhée des personnes en déplacement, mais aussi pour traiter les ulcères causés par la bactérie H. pylori.

 

Présenté sous forme de Caplet ou de liquide, le Bismuth Subsalicylate est généralement dosé à 262 mg en Caplet et entre 17,5 mg par ml à 25 mg par ml en solution liquide. En Caplet, le Bismuth Subsalicylate est recommandé pour une dose usuelle de 2 Caplets à prendre toutes les demi-heures pour une dose maximale de 16 Caplets par 24 heures. Exceptionnellement, ce bismuth sous-salicylate peut être utilisé chez les enfants de 10 à 12 ans, à raison de 1 Caplet toutes les 30 minutes selon les recommandations du médecin, sans excéder les 8 Caplets par 24 heures. Pour les enfants de 2 à 9 ans, ce médicament doit être administré sous sa forme liquide.

 

Sous cette forme, le Bismuth Subsalicylate est à ingérer par voie orale pour une dose usuelle de 2 cuillérées à soupe. Entre 10 à 12 ans, les enfants ne prendront qu’une cuillérée à soupe de ce médicament tandis que ceux qui ont entre 5 et 9 ans ne prendront que 1 et demi de cuillérées à thé de Bismuth Subsalicylate toutes les 30 minutes suivant les prescriptions du médecin. Pour un produit à forte concentration, 4 doses par 24 heures sont suffisantes pour soigner le cas. Il est important de prendre en compte certains critères physiologiques de chaque individu comme le poids, l’état de santé et les autres médicaments pris au moment du traitement avant de déterminer la dose exacte de Bismuth Subsalicylate à avaler. 

.

Contre-indications et effets secondaires possibles

De par la présence de bismuth dans ce médicament, les personnes allergiques à ce métal sous-salicylate ou à l’un de ses composants ne doivent pas l’utiliser. Il en est de même pour les individus qui sont sensibles aux autres produits salicylés, si nous ne citons que l’AAS. Ceux qui ont un problème de saignements, de selles sanglantes ou de couleurs noires ainsi que ceux qui ont un ulcère gastrique ou intestinal ne doivent pas non plus recourir au Bismuth Subsalicylate. 

Nonobstant le faible pourcentage de personnes qui ont manifesté des effets secondaires après une prise de Bismuth Subsalicylate, il est quand même indispensable de noter quelques symptômes dérangeants lors d’une intolérance à ce médicament. Ainsi il a été rapporté que certains sujets présentaient un changement de couleur de la langue, souvent transformée en noire. Leurs selles étaient aussi devenues grises ou plus sombres.

Dernier et cinquième élément du groupe N° 15 des pnictogènes, le bismuth est assez similaire au plomb et il peut éventuellement remplacer ce dernier dans certains cas. Le bismuth a pour symbole Bi et est l’élément chimique de numéro atomique 83. Le Bismuth est moins toxique que le plomb, et il appartient à la famille des oligo-éléments.

 

Contrairement aux métaux lourds connus, sa cinétique environnementale n’a suscité que peu d’intérêt chez les chercheurs et il est majoritairement de très faible quantité dans les organismes vivants, surtout chez les animaux. Le bismuth est assez proche du phosphore P, de l’arsenic As, de l’étain Sn, du plomb Pb et de l’antimoine Sb. Cependant, si les éléments du groupe 15 cités auparavant sont connus pour former des sulfures stables au lieu des oxydes, le bismuth se démarque par son aspect chalcophile.

 

Définition du bismuth

Appartenant aux métaux qui sont considérés comme étant « lourds », le bismuth est classé parmi ceux qui sont les moins toxiques. Ses effets sur la santé de l’homme sont moins réversibles que les autres tels que le plomb, qui est d’ailleurs son voisin dans le tableau périodique. C’est en 1753 que le bismuth a été identifié et séparé du plomb par le scientifique Claude Geoffroy. Concernant son aspect, le bismuth est un métal assez fragile, de couleur blanche qui est accompagnée par une petite touche rosée.

 

Contrairement au plomb, il présente une forte densité lorsqu’il est en état liquide et il est assez faible en tant que conducteur de chaleur et d’électricité. En général, le bismuth est utilisé dans plusieurs domaines, notamment à travers les alliages à faible fusion comme les fusibles. Ce métal est également majoritaire dans la composition de munitions sans plomb, dans la création des céramiques et dans les verreries.

 

L’assemblage des autres constituants avec des composés bismuthés est essentiel afin d’obtenir des couleurs blanches, vertes ou jaunes sur ces derniers. Dans le quotidien, le bismuth est aussi un substitut du plomb dans les assemblages en plomberie.

 

Élément métallique brillant et habituellement présenté sous forme de liquide, le bismuth possède une masse atomique de 208,9. Il appartient au groupe Vb sur la classification périodique. Dans son état naturel, le bismuth est entièrement constitué d’isotope stable 209Bi. Sur une échelle d’oxydation qui plafonne à l’état +5, son état est classé à + 3.

 

Dans la nature, le bismuth se présente à travers la forme de sulfure B12S3, d’oxyde Bi203. Dans l’univers de la géologie, il est assez rare de trouver du bismuth dans la croûte terrestre ou la mer. Il est également de très faible quantité dans les aliments ainsi que dans l’eau potable. Grâce à son caractère principal qui est la fusibilité, le bismuth est utilisé pour former rapidement et efficacement des alliages. 

 

Ses autres composants comme les sels et le métal sont très prisés dans la composition de semi-conducteurs, de catalyseurs, de verres et de corps plastiques en tout genre. En médecine, il a été utilisé sous sa forme de sel insoluble depuis au moins deux cents ans pour traiter un certain nombre de maladies comme la syphilis. Il a été administré par injection intramusculaire.

 

Par voie orale, le bismuth état également préconisé dans plusieurs cas d’affections gastro-intestinales, à l’instar des dyspepsies, les gastrites, les constipations, la colopathie fonctionnelle et dans la prévention des diarrhées. Ces symptômes ont généralement été traités avec nombreux sels de bismuth qui ont une propriété insoluble comme l’aluminate, le phosphate, le silicate, le sous-carbonate, le sous-gallate et le sous-nitrate de bismuth.

 

Caractéristiques et propriétés chimiques

Le bismuth a pour numéro atomique le 83, et il a une masse atomique de 2 089 804 g.mol -1. Son électronégativité de Pauling est de 1,9 avec une masse volumique de 9,80 g.cm-3 à 20 °C. Sa température de fusion est de 271 °C et sa température d’ébullition est de 1420 °C. Pour son rayon atomique ou Van der Waals, il est de 0,152 nm et un rayon ionique de 0,074 (+5), 0,120 nm (+3). Sa configuration électronique est [Xe] 4f14 5d10 6s2 6p3. L’énergie de première ionisation du bismuth est de 703 kJ.mol -1, de deuxième ionisation à 1610 kJ.mol -1, la troisième ionisation est à 2466 kJ.mol -1, la quatrième ionisation est de 4362,3 kJ.mol -1 et l’énergie de cinquième ionisation est de 5394 kJ.mol -1. Son potentiel standard est de 0,32 V (Bi3+/Bi).

 

Outre son teint blanc, cristallin et rosâtre, le bismuth est considéré comme le plus diamagnétique des métaux avec une conductivité thermique inférieure à la plupart des métaux, excluant le mercure. Sa résistance électrique est assez élevée et il présente un effet de Hall très haut par rapport aux autres éléments similaires, une fois positionné dans un champ magnétique. 

 

Les actions du bismuth sur le corps humain

Depuis sa découverte, le bismuth et particulièrement ses dérivés suscite un intérêt chez les chercheurs en France comme partout ailleurs pour ses effets bénéfiques pour l’organisme, surtout au niveau de l’estomac. Ainsi, il a été constaté que le bismuth exerce une action antiulcéreuse sur la muqueuse gastrique. À faible dose, cet élément forme un complexe efficace avec les glycoprotéines pour lutter contre l’agression acide.

 

Le bismuth agit également dans la synthèse des prostaglandines qui ont pour rôle de stimuler la fabrication naturelle des sécrétions alcalines gastroduodénales. Sachez que selon toujours les recherches, le bismuth est désormais connu pour ses effets bactéricides plus ou moins discrets, mais pourtant tangibles sur H. pylori. Sur les thérapies gastriques, l’intervention du bismuth et les antisécréteurs H2 est assez prisée pour leur performance en matière de cicatrisation ou d’apaisement des symptômes. Il a même été constaté que le bismuth participe à l’éradication de H. pylori.