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Qu'est-ce que la varicelle ?

vendredi 08 octobre 2021

 

La varicelle représente la pathologie infantile la plus connue. En France, près de 700 000 cas sont recensés annuellement, dont 90 % chez les enfants de moins de 10 ans. Cette maladie cause des épidémies qui ont lieu, majoritairement, à la fin de la saison hivernale et au début du printemps dans les pays tempérés. Généralement, il s’agit d’une maladie bénigne. Toutefois, elle peut entraîner des complications chez l’adulte. Découvrez tout ce qu’il faut connaître à propos de la varicelle : définition, complications possibles, incubation, symptômes, contagion, préventions et traitements.

 


 

enfant malade

 

Varicelle : définition

Maladie virale très contagieuse, la varicelle est causée par le même virus que le zona, le VZV (Varicella Zooster Virus) qui appartient à la famille des Herpesviridae. Il s’agit d’une pathologie éruptive bénigne qui survient habituellement dans 90 % des cas au cours de la petite enfance, avant l’âge de 10 ans. Elle se caractérise par l’apparition de vésicules qui peuvent engendrer de fortes démangeaisons.

 

Très contagieuse, cette infection se spécifie par sa transmission exclusivement interhumaine. Un sujet affecté contamine directement un individu en bonne santé, quel que soit son âge, s’il n’a pas contracté auparavant la varicelle. La contagion s’effectue par contact direct avec les cloques du patient infecté ou par voie aérienne, par le biais de gouttelettes de salives contenant le virus.

 

La varicelle peut toucher aussi bien les enfants que les adultes, mais dans 90 % des cas, elle survient avant l’âge de 10 ans.

La varicelle est une pathologie immunisante. Un individu n’est affecté par cette maladie qu’une seule fois dans sa vie. S’il l’a été durant son enfance, son organisme possède des anticorps qui le protègent définitivement contre la varicelle pour le reste de sa vie. Cependant, le virus reste latent au niveau de ses ganglions nerveux, une zone que le système immunitaire ne peut pas atteindre. Il peut se réactiver, migrer jusqu’à la peau et se manifester sous la forme d’un zona.

 

Les complications possibles de la varicelle

Si elle touche un enfant en bonne santé, la varicelle évolue généralement de manière bénigne. La forme de complication la plus fréquente se manifeste par une infection des lésions cutanées par des bactéries pouvant se produire, par exemple, lorsque l’enfant se gratte. La surinfection bactérienne est souvent sans gravité, à l’exception de rares cas où la complication est due à une bactérie de type streptocoque.

 

Le contexte peut être difficile pour les femmes enceintes. Si elles sont affectées par la varicelle au cours des 4 premiers mois de leur grossesse, dans 1 % à 2 % des cas, cette pathologie peut être à l’origine d’une malformation de leur fœtus. Par ailleurs, la varicelle peut aussi engendrer de sérieuses complications chez les bébés et les personnes immunodéprimées (dont les défenses immunitaires sont affaiblies). Elle peut entraîner une pneumonie ou une encéphalite, mais ce dernier cas est très rare.

 

Varicelle : incubation, symptômes et contagion

  • Incubation

Les premiers signes de la varicelle apparaissent au bout de 14 à 16 jours, voire parfois 20 jours, après la contamination. La période d’incubation de cette maladie est silencieuse. Une personne ayant été au contact avec le virus reste en parfaite santé jusqu’à la manifestation des symptômes.

  • Symptômes et évolution de la pathologie

Après cette période d’incubation, la varicelle survient soudainement sous forme d’une fièvre modérée pouvant être accompagnée de maux de tête et de douleurs abdominales. La température du patient est de 37,5 °C ou 38 °C.

 

L’éruption cutanée caractéristique de la varicelle n’apparaît que le lendemain ou 2 jours après cette première phase de la maladie. Au début, elle prend la forme de taches rosées (les macules) sur la peau et de minuscules lésions qui ressemblent à une tête d’épingle (les papules). Ces taches sont similaires à des piqûres d’insectes. Elles se développent surtout sur le visage et sur le thorax, mais elles peuvent être présentes sur tout le corps de l’enfant ou de la personne adulte malade, parfois même au niveau des muqueuses de la bouche. Dans ce dernier cas, les vésicules se muent en érosions qui gênent le patient lorsqu’il mange.

 

Ces lésions s’accompagnent généralement d’intenses démangeaisons. Le sujet peut avoir 2 à 3 poussées éruptives, espacées de quelques jours.

Ces lésions se transforment rapidement en petites cloques rondes contenant un liquide transparent. Ces vésicules se dessèchent 48 heures après leur apparition et se recouvrent d’une minuscule croûte qui tombe après 10 jours.

 

Sous sa forme bénigne, la varicelle guérie spontanément au bout de 10 jours. Au cas où les lésions ont été surinfectées ou si les grattages ont provoqué des plaies, les vésicules peuvent laisser des cicatrices.

  • Contagion 

école enfant varicelle

 

Une personne ayant contracté la varicelle est contagieuse dès 2 à 3 jours avant l’apparition des boutons et le reste pendant une semaine environ, parfois plus. Elle peut contaminer son entourage jusqu’à ce que les croûtes qui recouvrent les lésions soient totalement sèches. Au cours de cette période de contagion, qu’il s’agisse d’un enfant ou d’un adulte, le sujet doit éviter d’être en collectivité.

 

Le virus de la varicelle se transmet de deux manières :

  • Par voie respiratoire : toux, inhalation de gouttelettes de salive ou éternuement.
  • Par contact direct avec les vésicules non encore asséchées.

Comme le virus peut être invasif avant l’apparition des premiers signes de la maladie, la varicelle est particulièrement contagieuse.

 

La prévention de la varicelle

  • Les mesures de prévention de base

La première mesure à prendre consiste à éviter tout contact avec un sujet atteint de la varicelle. Cependant, cette précaution n’est pas toujours efficace puisque la période de contagion de cette pathologie peut commencer dans les 48 heures qui précèdent l’apparition de ses symptômes caractéristiques. C’est ce qui explique les épidémies affectant les milieux scolaires, surtout dans les écoles maternelles.

 

En présence d’un enfant ayant la varicelle au foyer, il faut :

  • Se laver régulièrement les mains et laver aussi celles de l’enfant, y compris entre les doigts avec du savon ou une solution hydroalcoolique.
  • Lui apprendre à tousser dans la manche, dans les plis du coude.
  • L’encourager à utiliser des mouchoirs jetables.
  • Aérer quotidiennement sa chambre.
  • Éviter de l’embrasser.
  • Lui réserver des couverts à son usage exclusif jusqu’à sa guérison.
  • La vaccination

vaccin contre la varicelle

 

Autrefois, la varicelle était considérée comme une maladie incontournable. On préférait qu’elle soit contractée par les enfants dès leur plus jeune âge, car elle est généralement bénigne chez les sujets de moins de 10 ans.

 

Il existe actuellement des vaccins efficaces pour se prémunir contre la varicelle. Ils sont disponibles en France depuis 2003. Certains pays, comme le Canada et les États-Unis, préconisent la vaccination de tous les enfants dès l’âge de 12 mois. Les adolescents et les adultes n’ayant jamais affecté par la varicelle peuvent aussi se faire vacciner, sauf contre-indications. Le Haut Conseil de la santé publique français estime toutefois que cette stratégie de prévention de la varicelle ou de ses éventuelles complications ne se justifie pas, sauf dans certaines situations à risque. Cette institution ne recommande la vaccination que pour des sujets n’ayant jamais contracté la varicelle ou pour les personnes pour lesquelles un doute persiste sur ce point. Ainsi, elle préconise la vaccination pour :

  • Les adolescents âgés de 12 à 18 ans.
  • Les femmes qui sont en âge de procréer. L’administration du vaccin est contre-indiquée durant la grossesse. Avant la vaccination, un test de grossesse négatif est requis. En outre, la concernée doit adopter une méthode contraceptive pendant les 3 mois après la vaccination.
  • Les femmes venant d’accoucher pour la première fois, à condition d’être sous couvert d’un mode de contraception performante.
  • Les individus ayant été en contact avec un patient atteint de la varicelle. Les personnes n’ayant aucun problème de déficience immunitaire et âgées de plus de 12 ans, sans antécédents de varicelle ou de vaccination contre cette maladie, sauf les femmes enceintes, doivent se faire vacciner dans les 3 jours après le contact.
  • Une personne doutant sur ses antécédents de varicelle peut effectuer une sérologie. Cette méthode consiste à rechercher des anticorps anti-VZV dans son sang pour confirmer ou infirmer leur absence.
  • Les individus fragiles vivant dans l’entourage d’un patient, tel que les receveurs de greffe, les immunodéprimés…
  • Les professionnels de santé et ceux qui sont en contact permanent avec la petite enfance.
  • Des études scientifiques américaines révèlent que le vaccin contre la varicelle protège un sujet pendant une période de 15 ans au minimum et son taux d’efficacité oscille entre 70 % et 90 %. En outre, si la vaccination n’a pas complètement immunisé une personne, elle peut amenuiser la gravité des symptômes si jamais elle contracte la maladie.

Le vaccin contre la varicelle est administré par 2 injections espacées d’un mois au minimum.

 

Comment éviter l’aggravation et les complications de la varicelle ?

  • De simples mesures d’hygiène

Pour se prémunir de la surinfection des lésions cutanées, il suffit d’adopter certaines mesures d’hygiène :

  • Sensibiliser l’enfant pour qu’il ne gratte pas ses boutons.
  • Lui couper les ongles et laver régulièrement ses mains pour éviter toute éventuelle infection de la peau.
  • Lui faire prendre une douche ou un bain à l’eau tiède, une ou deux fois par jour. Utiliser un gel lavant surgras exempt de composant antiseptique. Rincer et sécher soigneusement la peau. Ne pas arracher les croûtes des vésicules pour éviter la formation de cicatrices.
  • Désinfecter les lésions cutanées avec un produit antiseptique (demander conseil auprès du médecin traitant ou d’un pharmacien).
  • Si le patient présente des lésions importantes au niveau de ses muqueuses buccales, des bains de bouche désinfectants sont recommandés.
  • Protéger les personnes à risque

Les sujets exposés aux risques de complications de la varicelle, telles que les femmes enceintes n’ayant jamais contracté la varicelle et les individus au système immunitaire affaibli doivent éviter tout contact physique avec un patient atteint de cette pathologie. Ils doivent aussi rester éloignés des personnes affectées par le zona, car elles peuvent également transmettre le virus de la varicelle qui est resté latent au sein de leur organisme.

 

Un isolement du patient jusqu’au stade de sa guérison clinique, à l’assèchement des croûtes, est recommandé afin d’éviter tout contact avec les personnes susceptibles de développer des formes graves de la varicelle.

 

La consultation d’un médecin est-elle nécessaire ?

consultation médecin varicelle

 

En cas de suspicion de varicelle chez un enfant, il est conseillé de prendre rendez-vous auprès du médecin traitant.

Si la varicelle affecte un bébé de moins de 6 mois, un enfant atteint d’une pathologie cutanée (un eczéma par exemple), il est impératif de consulter un médecin dans la journée. Il en est de même pour une personne affichant un profil à risque, tel qu’un adulte non vacciné, immunodéprimé ou sous traitement au long cours de cortisone.

La crèche, l’école ou la structure où l’enfant passe la majeure partie de ses journées doit aussi être informée afin de mettre en place des mesures de prévention pour prémunir l’entourage qu’il aurait pu côtoyer. Ce conseil prend toute sa dimension pour les personnes à risque, durant le stade de contagion. Il est préférable de garder l’enfant à la maison jusqu’à ce que l’éruption cutanée s’assèche complètement et se transforme en croûte.

 

Dans les cas suivants, la consultation d’un médecin s’avère impérative :

  • Si les boutons se remplissent de sang et se creusent en s’accompagnant d’une fièvre élevée : ces symptômes indiquent le risque d’une varicelle grave.
  • Au cas où les lésions cutanées se remplissent de pus : le risque d’une surinfection bactérienne.
  • Une toux persistante : signe d’une éventuelle atteinte pulmonaire.

Varicelle : quel traitement ?

Sous sa forme bénigne, la varicelle est essentiellement traitée de manière symptomatique :

  • Combattre la fièvre : la température du patient doit être maintenue basse pour limiter les sensations de démangeaisons. Le paracétamol représente l’unique médicament antipyrétique recommandé. En aucun cas, ne pas donner de l’aspirine à une personne affectée par cette pathologie afin d’éviter le risque élevé de survenue d’une complication sévère, le syndrome de Reye. De même, il faut s’abstenir de recourir aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme l’ibuprofène. Ils peuvent engendrer des complications infectieuses, notamment au niveau de la peau.
  • Soulager les démangeaisons : le médecin prescrit généralement un produit antiseptique, comme la chlorhexidine) à appliquer sur chaque bouton à l’aide d’une compresse. Pour éviter la contagion, il importe de bien se laver les mains après la désinfection des vésicules.

Le praticien peut aussi préconiser un traitement antihistaminique sous forme de sirop pour calmer les démangeaisons susceptibles de déclencher une surinfection cutanée et de laisser des cicatrices.

 

Les bains et les douches à l’eau tiède, à prendre toutes les 3 ou 4 heures pendant les premiers jours qui suivent l’éruption cutanée, exercent un effet apaisant sur les démangeaisons. Pour sécher, tamponner doucement les boutons afin de ne pas arracher les croûtes qui ne sont pas encore asséchées. La serviette utilisée sur un patient atteint de la varicelle, qu’il s’agisse d’un enfant ou d’un adulte, ne doit pas être employée par les autres membres du foyer afin de pallier à la contamination.

Pour soulager les démangeaisons, l’application de compresses d’eau froide ou de la glace sur les lésions cutanées est également efficace. Ne pas frotter.

 

Au cas où les lésions au niveau des muqueuses buccales sont importantes, le patient doit réaliser des bains de bouche désinfectants.

 

Couper les ongles d’un enfant affecté par la varicelle le plus court possible, de préférence à ras, afin de le prémunir d’une éventuelle surinfection et la formation de cicatrices s’il se gratte beaucoup. Chez les bébés, il est conseillé de recouvrir ses mains avec des moufles.

 

Les vêtements serrés collant à la peau accroissent l’envie de se gratter. Il est recommandé d’habiller le patient avec une chemise ample et des pantalons larges en coton ou en lin.

 

Attention ! À part la chlorhexidine, l’usage d’autres produits, comme les poudres inertes (le talc par exemple) sont à proscrire. Ils peuvent entraîner une nécrose cutanée. De même, ne pas appliquer une crème, ni une pommade, ni un gel sur les vésicules. L’application locale d’antibiotique est aussi déconseillée afin d’éviter une infection des lésions. En cas de surinfection cutanée, il est recommandé de consulter un médecin qui prescrira des antibiotiques à administrer par voie orale et adaptée à l’âge du patient et au type d’infection.

 

Une alimentation adaptée : pour favoriser sa guérison, il faut donner au patient une alimentation riche en magnésium qui l’aidera à renforcer ses défenses immunitaires. Voici quelques conseils :

 

Au petit déjeuner, il doit manger des céréales peu raffinées accompagnées d’un cacao pur, bio de préférence.

Pour le déjeuner et le dîner, prévoir des repas composés de lentilles, d’épinards et de riz complet.

Au goûter, les bananes représentent de précieux alliés antivirus et antifatigue. La pomme (en jus, crue ou cuite) constitue un excellent antiseptique intestinal et un puissant dépuratif sanguin naturel.

 

La varicelle bénigne ne requiert aucun traitement antiviral qui n’est indiqué que dans les contextes à haut risque, comme une forte complication ou une importante gravité de la maladie. Ces situations peuvent survenir si la pathologie affecte un nouveau-né ou prend une forme grave chez un enfant de moins de 1 an. De tels cas peuvent aussi apparaître chez les sujets immunodéprimés et chez les femmes enceintes. L’hospitalisation du patient est de rigueur dans toutes ces situations.

 

Traitement de la varicelle : des approches complémentaires

Si vous êtes un adepte de la médecine douce, voici quelques solutions naturelles pour vous aider à traiter la varicelle de votre enfant :

  • L’avoine

L’avoine (Avena sativa) est utilisée depuis des siècles pour apaiser les démangeaisons cutanées, telles que les rougeurs, les piqûres d’insectes, la varicelle et le zona. Son efficacité est reconnue par la Commission E pour soulager le prurit qui accompagne certaines pathologies cutanées. Un bain d’avoine « maison » permet de diminuer les démangeaisons qui affectent un enfant atteint de la varicelle.

 

Mode d’emploi :

 

Mettre dans une pochette en mousseline ou dans un bas en nylon environ 5 cuillerées à soupe de flocons d’avoine. Bien nouer le tissu pour s’assurer que les céréales ne puissent pas s’échapper. Placer dans une casserole contenant 1 litre d’eau chaude et faire bouillir pendant quelques minutes. Retirer ensuite la pochette, la presser et verser le liquide laiteux obtenu dans l’eau du bain. Baigner le petit patient en le laissant tremper dans l’eau additionnée de lait d’avoine pendant 15 à 20 minutes.

La pochette peut être utilisée pour frictionner doucement l’enfant. Les flocons peuvent aussi être broyés et ajoutés dans l’eau du bain. Dans ce cas, il faut faire attention puisque la baignoire peut devenir plus glissante à cause de l’avoine.

 

Après le bain, séchez soigneusement l’enfant en tamponnant doucement avec une serviette.

  • Quelques « remèdes de grand-mère »

Elles aident également à calmer les démangeaisons liées à la varicelle :

  • Du bicarbonate de soude : en ajouter une demi-tasse à une tasse dans l’eau du bain.
  • De l’achillée millefeuille : grâce à ses propriétés astringentes, antiphlogistiques, anti-inflammatoires et cicatrisantes, cette plante atténue les démangeaisons et active la guérison des vésicules.
  • Du gel d’aloès : en application topique sur les lésions cutanées.

Varicelle : des solutions homéopathiques

homeopathie varicelle

 

Comme la médecine naturelle enregistre un nombre sans cesse croissant d’adeptes, le marché propose actuellement une large gamme de solutions homéopathiques pour traiter la varicelle, soit dans la phase invasive de la maladie, soit lorsque celle-ci est parvenue au stade éruptif. Citons, entre autres :

  • Anagallis Arvensis

Élaboré par les laboratoires Boiron, ce médicament homéopathique est fabriqué à partir du mouron rouge, une plante qui se retrouve habituellement dans les prairies et les jardins. Présenté en granules, il s’avère particulièrement efficace pour soigner diverses pathologies dermatologiques, dont les démangeaisons provoquées par la varicelle.

 

Posologie :

 

Pour calmer les démangeaisons, faire prendre au patient 5 granules le matin et 5 granules le soir.

  • Vaccinotoxinum

Ce remède est conçu pour soigner les dermatoses vésiculeuses. Présenté sous forme de doses globules et de granules, il est fabriqué à partir de lactose et de saccharose. Il est particulièrement indiqué pour traiter la varicelle.

 

Posologie :

 

Dans la phase invasive : 5 granules de Vaccinotoxinum 9 CH à prendre 1 fois/jour pendant les 5 premiers jours.

À l’apparition des premiers symptômes : une dose de Vaccinotoxinum 15CH – 3 fois par jour.

En cas de varicelle déclarée : une dose de 9CH ou 18 DH/jour.

 

A propos de l'auteur

 

Laurence Silvestre, Docteur en Pharmacie

 

Titulaire d’un diplôme d’État de docteur en pharmacie, j’exerce la profession de pharmacien en officine depuis plus de 30 ans. J’utilise mon expertise acquise durant ma formation universitaire et la pratique continue de mon métier pour rédiger des articles de qualité à l’attention du grand public. Ces textes contiennent des conseils scientifiques et pharmaceutiques sur différents domaines liés à la santé, au bien-être et à la beauté. Mon expérience professionnelle me permet de vulgariser ces informations pour une meilleure compréhension de la part des patients. En savoir plus sur Laurence Silvestre.

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