Parmi les nombreuses pathologies qui touchent en particulier les femmes se trouve la cystite. En effet, si les hommes peuvent en être également infectés, ce sont les femmes qui en sont les plus sujettes. Elle concerne généralement une femme sur deux. En France, le nombre de consultations liées à cette maladie s’élève jusqu’à 3 millions par an. Avant tout, elle est caractérisée par des douleurs dans le bas ventre ou pendant la miction, d’où la sensation d’inconfort total. Elle peut être diagnostiquée en fonction des niveaux de gravité comme toute autre maladie, mais peut aussi être soignée à l’aide de traitements appropriés. Comme référence, Feminabiane est une solution qui a su prouver son efficacité contre la cystite.
C’est quoi la cystite ?
La cystite est une infection qui provoque des douleurs plus ou moins insupportables dans le bas ventre ou pendant la miction. Elle touche en particulier les femmes que les hommes, puisqu’elle est plutôt sexiste. Généralement, il existe plusieurs types de cystite, mais la plus fréquente et la plus répandue est la cystite bactérienne. Elle est surtout due à la présence de germes venus de l’intestin et qui sont parvenus à remonter le long de l’urètre, pour ensuite enflammer la vessie. Ces germes sont connus sous le nom d’Escherichia ou E.Coli. Cette pathologie peut avoir différentes caractéristiques : radique, chimique ou interstitielle. Le premier fait souvent suite à un traitement par radiation, le second succède à une chimiothérapie, et pour ce qui en est de la dernière, elle n’est ni bactérienne ni virale.
Le fait que les femmes soient plus sujettes à ce genre de pathologie par rapport aux hommes s’explique surtout par le fait que la vessie et l’urètre sont tous deux assez proches l’un de l’autre que le risque d’en être infecté est grand. En effet, chez le sexe masculin, ce canal atteint en moyenne 10 cm, alors que chez le sexe féminin, la longueur est seulement de 3 cm. Ce qui explique que chez les femmes, les germes remontent facilement dans la vessie, si bien qu’une infection est ensuite engendrée. Cependant, pour les hommes, il est question de prostatite et non de cystite. Cette maladie est provoquée suite à la présence de germe dans son appareil urinaire et qui infecte à la fois la vessie et la prostate. Elle s’accompagne souvent de fortes fièvres et son traitement demande plus de temps.
Qu’en est-il de son origine et de ses symptômes ?
Dans les cas les plus fréquents, la cystite bactérienne est souvent due à des troubles digestifs. Par exemple, dans le cas de constipation ou de diarrhée, la prolifération microbienne périanale augmente et le passage des germes dans la vessie devient plus facile. En outre, un rapport sexuel est susceptible d’être le facteur responsable de son apparition chez les jeunes filles. Par ailleurs, si elle est récidivante, notamment plus de quatre épisodes par an, cela peut être dû à un changement ou un désordre hormonal.
Comme symptômes, la cystite peut être très douloureuse, d’où un véritable calvaire chez les femmes qui en sont sujettes. D’une part, le fait de changer de partenaire ou de pratiquer une activité sexuelle assez fréquente peut également en être la cause. En conséquence, il se pourrait que le bas ventre présente des douleurs, et que des sensations de brûlure puissent apparaître durant la miction, ce qui est tout à fait normal dans le cas présent. Il se peut également que vous constatiez une augmentation de la fréquence de votre urine et l’apparition de petit saignement à ce moment-là. D’autre part, si la maladie est récidivante, la sujette a l’impression d’avoir le mal-être générale, comme si des lames de rasoir sont évacuées au moment d’uriner.
Quels sont les facteurs psychosomatiques ?
En d’autres termes, la cystite peut être liée à une maladie psychosomatique. Et nombreux sont les spécialistes qui ont tendance à le dire dans le domaine. À part les différents facteurs cités en dessus, la peur ou l’agressivité sont susceptibles d’engendrer cette infection, qu’elle soit récidivante ou non. Toutefois, si le diagnostic est difficile et qu’aucune bactérie responsable n’a pu être identifiée, on parlera plutôt de cystite interstitielle.
En effet, il n’est pas rare que les médecins n’arrivent pas à identifier les véritables facteurs qui pourraient être à l’origine de ladite infection. Les symptômes demeurent pourtant les mêmes : des brûlures pendant la miction, des douleurs pendant les rapports sexuels, augmentation de la fréquence d’uriner, même avec seulement quelques gouttes.
Quels sont les gestes de prévention ?
Même si la cystite n’est pas une maladie très grave, elle peut devenir récidivante en cas de prise à la légère. Elle peut être parfaitement prévenue par l’adoption de certains gestes. Il est avant tout primordial de boire suffisamment d’eau pour éviter une diurèse insuffisante. Le fait d’uriner plus souvent permet l’évacuation des germes présents dans la vessie, en empêchant ainsi leur prolifération. La quantité d’eau moyenne par jour est d’un litre et demi. En outre, consommer du jus de canneberge peut aussi aider.
Aux toilettes, il vaut mieux s’essuyer de l’avant vers l’arrière pour ne pas ramener les germes provenant de l’intestin vers le vagin. Cette action est efficace pour éviter la cystite récidivante. D’ailleurs, dans ce même lieu, il est préférable de s’asseoir confortablement sur la cuvette et de vider complètement la vessie. Autre conseil simple pour ne pas attraper l’infection est d’aller au petit coin après chaque activité sexuelle. Par ailleurs, si elle est due à des troubles digestifs, il est impératif de maintenir l’équilibre de son transit.
Quels peuvent être les traitements possibles ?
Traiter la cystite est tout à fait possible. Il existe d’ailleurs différentes alternatives pour en venir à bout, mais cela dépend de sa caractéristique. S’il s’agit d’une simple cystite, la prise d’antibiotique monodose et d’un antalgique pour soulager les douleurs est souvent prescrite médicalement. L’effet du traitement peut s’avérer être lent suite à la régression de l’inflammation, d’où la nécessité de prendre ces deux médicaments.
Si la cystite est récidivante, le traitement à base d’antibiotique pourrait durer plus longtemps, souvent de 6 mois ou plus. Sa prescription peut être le quart d’une dose trois fois par semaine. Ainsi, au lieu de tuer les germes de défense, leur prolifération est empêchée. D’ailleurs, 80 % des cas sont guéris. Un des traitements de référence pour cette infection est également l’usage de Feminabiane CBU Pileje – boite de 28 gélules. Il s’agit d’un complément alimentaire qui sert de remède naturel efficace.
La meilleure alternative pour traiter la cystite post-coïtal est la réalisation d’une chirurgie. Cette dernière concerne l’ablation des restes d’hymen déchiré favorisant le passage des germes dans l’urètre lors du rapport. Dans d’autres cas, ces brides hyménales disparaîtront après le premier accouchement naturel.
Comment utiliser Feminabiane CBU Pileje – boite de 28 gélules ?
Un des traitements de référence contre la cystite est la Feminabiane CBU Pileje, qui est un produit entièrement bio. En fait, il s’agit d’un complément alimentaire réalisé à base d’ingrédients naturels comme un extrait de canneberge, un extrait de cannelle et de souches microbiotiques. Le contenu est présenté sous forme de gélule, dont la boite en contient 28 : 14 gélules blanches et 14 gélules ocre.
Pour utiliser ce complément alimentaire de manière favorable, le dosage à respecter est de 1 à 4 gélules par jour, à jeun. La prise doit être suivie d’un grand verre d’eau, accompagnée d’une alimentation variée et équilibrée ainsi que d’un mode de vie saine. La complémentation a pour durée de 3 à 14 jours, mais renouvelable en cas de fatigue intense chez les femmes ayant une flore vaginale fragile. Pour tout besoin de conseils, le mieux est de consulter un médecin ou un pharmacien.
Comme ce qui est défini en dessus, la cystite est une infection qui atteint particulièrement les femmes, si bien que le recours à une solution naturelle leur est conseillé. Feminabiane a la capacité d’éradiquer et de prévenir les symptômes tels que l’augmentation de la fréquence urinaire, les brûlures pendant et après la miction, etc. Ce sont en fait les caractéristiques de troubles urinaires récidivants. Par ailleurs, ses actifs jouent également d’importants rôles dans le maintien de l’équilibre de la flore vaginale, de l’acidité normale dans le vagin ainsi que dans le blocage de la prolifération des microbes minoritaires.