Les troubles urinaires sont fréquents chez la gente masculine et touche environ 2 millions de personnes en France. En ce qui concerne l’hyperplasie bénigne de la prostate, il faut savoir qu’un cas sur 10 nécessite une opération chirurgicale pour la guérir. Cette maladie apparaît assez fréquemment avec l’âge. Il n’est pas rare de voir des hommes se plaindre des gênes occasionnées par les troubles urinaires. Il est donc nécessaire de prévenir cette maladie et de prendre un traitement afin de la guérir si nécessaire.
L’hyperplasie bénigne de la prostate ou HBP : généralités
Il est à rappeler que la prostate est sise autour de l’urètre et sous la vessie. Elle est située à un carrefour entre la voie séminale et la voie urinaire. Le sperme est en partie composé par les sécrétions prostatiques. À noter que la prostate elle-même joue un rôle prépondérant dans l’éjaculation masculine.
En avançant avec l’âge, la prostate devient de moins en moins souple et grossit en même temps. De ce fait, il n’est pas rare de sentir de moins en moins de confort en urinant. L’HBP touche la plupart des hommes de plus de 80 ans, mais les modifications qui en résultent ne sont pas forcément gênantes pour tous. Chaque année, des milliers d’hommes se plaignent tout de même des troubles urinaires engendrés par ce phénomène. Un traitement s’avère nécessaire et s’il n’est pas efficient, le patient devra passer par une intervention chirurgicale.
Les signes de l’hyperplasie bénigne de la prostate
Certains signes sont annonciateurs de l’HBP. Déjà, le jet d’urine diminue considérablement et le patient a des envies d’uriner récurrentes pendant la nuit. Il est également sujet à des mictions fréquentes et a besoin de pousser pour pouvoir uriner. Il est par ailleurs en proie à un besoin d’uriner de toute urgence pour se soulager. La fuite urinaire fait partie des signes relatifs à l’HBP. Le plus inquiétant est le fait de se confronter à des urines contenant du sang.
Quoi qu’il en soit, il n’y a pas forcément un lien entre les variations du volume de la prostate et l’intensité des troubles. Un homme peut donc avoir une prostate de taille normale, mais présenter des troubles urinaires. Pareillement, il est tout à fait possible d’avoir une grande prostate sans avoir de problèmes.
Les complications sont généralement rares, mais elles existent et elles ne sont pas à prendre à la légère. Le patient aura besoin de se faire opérer si la maladie évolue vers un problème de rétention urinaire. Il en est de même en cas de calculs au niveau de la vessie ou encore s’il y a une augmentation du volume des reins.
HBP : un diagnostic médical qui s’impose
Pour détecter une HBP symptomatique, le médecin devra recourir à un diagnostic. Il posera des questions sur la fréquence des troubles. Il pourra recourir à l’IPSS pour évaluer l’amoindrissement de la force du jet. Il s’attachera également à analyser les mictions et autres signes. Le thérapeute pourra également effectuer un toucher anal pour estimer la prostate du sujet.
Afin d’apprécier la qualité de la miction, le médecin pourra user de la débitmétrie.
L’échographie est une méthode qui sera recourue afin d’observer le ralentissement des fonctions de la vessie. L’échographie de la prostate n’est nécessaire que pour évaluer le volume prostatique dans le cadre d’une opération chirurgicale.
Les traitements pour l’HBP
Le médecin traitant se chargera d’administrer les premiers soins aux patients. Si ces derniers se révèlent inefficaces, il devra demander conseils à un urologue. Par ailleurs, il est nécessaire de distingues trois types d’HBP. En premier lieu, il y a l’HBP non symptomatique qui est sans complications, et ce, même sans suivi médical. Il y a l’HBP symptomatique non compliquée qui nécessite un traitement ou une chirurgie. Enfin, il y a l’HBP symptomatique et/ou compliquée qui requiert également un traitement chirurgical ou médical en fonction du contexte.
Les avantages et les risques liés à chaque traitement seront normalement exposés par le médecin.
Les traitements médicaux de cette maladie sont regroupés en trois classes bien distinctes. La première catégorie regroupe les alphas bloquants favorisant la décontraction de la vessie. La seconde catégorie rassemble les inhibiteurs de la 5 alpha réductase. Ces derniers réduisent le volume de la prostate. Le dernier groupe concerne la phytothérapie et l’homéopathie.
Chaque traitement susmentionné est efficace, mais le tout dépend du degré d’évolution de la maladie chez le patient. Par ailleurs, certaines cures peuvent occasionner des effets secondaires. Pour les besoins d’uriner urgents, le médecin propose des anticholinergiques.
Le patient pourra être amené à essayer différents traitements avant de trouver celui qui sera réellement efficace.
Quant au traitement chirurgical, les thérapeutes recourent plutôt à une endoscopie par laser et par voie naturelles.
Les vertus de Prostamol Menarini contre les troubles urinaires
ProstamolMenarini est un remède qui participe au maintien d’une fonction urinaire normale. C’est un médicament conseillé aux hommes qui ont plus de 45 ans.
Pour ce qui est de la posologie, il suffit de prendre une capsule de Prostamol par jour après le repas.
À noter que cette médication se présente en une boîte de 30 capsules.
Pour que le remède soit plus efficace, il serait plus astucieux de l’associer à un mode de vie sain. Cela se traduit bien évidemment par une alimentation équilibrée. Il est préférable de se faire assister par son médecin jusqu’à la fin de la cure.
