Pissenlit

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Confusions et risques sur la toxicité

Vers l’été 1927, deux enfants seraient morts après avoir avalé du lait de pissenlit. En outre, comme le cresson, le pissenlit est susceptible d’être contaminé par la douve du foie. De ce fait, il ne doit pas être consommé cru en cas de risque lié à la proximité de pâturages.

 

Une autre espèce très commune ressemble fortement au pissenlit : la porcelle enracinée. Cependant, la confusion ne présente aucun danger, étant donné que les deux espèces sont toutes comestibles. Néanmoins, d’autres confusions sont à considérer, comme le cas de la laitue vireuse et la laitue scariole, le laiteron rude et le maraîcher, la Picride ou le Liondent. Malgré leur ressemblance avec le pissenlit, ils sont généralement sans danger une fois consommés, car toutes les Astéracées du type pissenlit sont comestibles, mais présentent parfois des goûts amers.

 

Les bienfaits du pissenlit

Si le pissenlit est tout autant très apprécié comme salade, il est aussi traditionnellement sollicité pour ses propriétés curatives. En effet, la racine du pissenlit, entre autres, est utilisée depuis les temps anciens pour apaiser les troubles digestifs et hépatiques. Ses feuilles fraîches sont consommées crues pour une cure de printemps dépurative. À l’heure actuelle, c’est la plante toute entière qui est exploitée dans la composition des suppléments, incluant racines et feuilles, récoltées et séchées avant le début de la floraison.

 

Pour une utilisation interne, le pissenlit stimule et apaise le foie. Il intervient pour soigner les problèmes de foie, principalement contre l’engorgement du foie et les soucis en rapport avec la vésicule biliaire. Pour ses vertus dépuratives, le pissenlit agit lors des manifestations de constipations, de digestion difficile, d’excès de cholestérol ou également en cas d’inappétence. En outre, le pissenlit est aussi utile pour prévenir les problèmes rénaux, notamment lors des symptômes liés à l’insuffisance hépatique.

 

Pour une utilisation externe, le pissenlit permet de lutter contre les manifestations cutanées comme la dermatose, les maladies de la peau, les cors, les poireaux ou les verrues.

 

D’après les recherches, les feuilles de pissenlit sont connues pour renfermer des principes actifs en grande quantité, notamment en ce qui concerne les minéraux et les vitamines. Par ailleurs, les feuilles de pissenlit permettent également de traiter l’inappétence, les troubles de l’estomac ou aussi urinaires. À travers son action pour les troubles digestifs, le pissenlit peut aussi intervenir avec ses propriétés anti-inflammatoires. De ce fait, le pissenlit dispose donc d’une fonction hépatique. Cependant, cette plante dispose d’une autre vertu thérapeutique qui mérite vraiment l’attention : l’effet diurétique. En clair, le pissenlit est tout à fait capable de traiter l’hypertension artérielle, l’insuffisance cardiaque ou l’hyperkaliémie.

 

Dans l’univers de la phytothérapie, ce sont principalement les racines et les feuilles qui sont les plus utilisées à cause de leurs vertus cholagogues et leurs propriétés cholérétiques. Les principes actifs du pissenlit sont nombreux, pour ne citer que la taraxine, les terpènes et les flavonoïdes comme la lutéoloside, le cosmosioside ou le lutéoline-rutinoside. Sans oublier les autres substances telles que les stérols et les acides phénoliques.

 

Concernant les recherches à travers le pissenlit, elles se focalisent plus particulièrement sur ses propriétés. Dans ce contexte, les expériences actuelles sont effectuées dans le but de démontrer les bienfaits du pissenlit sur le cancer, le diabète ou aussi les effets antioxydants de ses composants.

 

Quoi qu’il en soit, le pissenlit dispose d’autres atouts bénéfiques pour la santé, pour ne citer qu’il est un allié précieux pouvant être utilisé comme laxatif doux. Il stimule l’élimination urinaire avec sa forte teneur en potassium. Avec cette action diurétique naturelle, le pissenlit est donc une alternative efficace pour écarter la rétention d’eau et d’œdèmes.

 

Rôle du pissenlit dans l’organisme

Le principe amer qui caractérise le pissenlit est la taraxine. Cette substance active a été minutieusement étudiée et est désormais identifiée sous toutes ses formes. C’est la taraxine qui offre au pissenlit ses propriétés apéritives, cholérétiques et cholagogues. C’est elle aussi qui favorise les fonctions urinaires et digestives. Toutefois, d’autres substances sont également présentes dans la composition de cette plante, à l’instar des stérols, des flavonoïdes, des terpènes et du potassium en grande quantité, soit environ 30 % des minéraux qui composent le pissenlit. Pour sa racine, elle est particulièrement riche en inuline, un genre de glucide qui est aussi observable dans la racine de chicorée.

 

Le pissenlit est dorénavant réputé pour faciliter la digestion des graisses, grâce surtout à son action positive sur le foie et la vésicule biliaire. Il est souvent conseillé en cas de lenteur digestive, de dyspepsie et d’inappétence. Parfois, le pissenlit peut être associé avec d’autres éléments pour stimuler le foie, pour ne citer que le Chardon-Marie, le radis noir, la chélidoine, l’inositol, la méthionine ou aussi la choline. Ces combinaisons sont généralement proposées dans les boutiques diététiques pour servir de préparations lipotropes.

 

En outre, la racine du pissenlit peut aussi être un atout bénéfique pour soulager l’endométriose et la sensibilité des seins qui se manifestent principalement avant les menstruations, mais aussi lors des autres symptômes en rapport avec l’excès d’œstrogène. En effet, la racine du pissenlit permet de renforcer la capacité du foie à rétablir l’équilibre hormonal chez le sujet féminin. Selon toujours les recherches, c’est même la plante toute entière qui est utilisée pour faciliter l’assimilation du fer. Il est à noter que le fer provient de l’alimentation ou par le biais des compléments alimentaires.

 

C’est en quelque sorte pour cela que le pissenlit est capable de traiter certains types d’anémie. Il arrive même que le pissenlit puisse être d’une aide cruciale pour le traitement du cancer, notamment en tant que stimulant de facteur de nécrose tumorale ou TNF-alpha. Par ailleurs, les spécialistes ont enfin constaté que le pissenlit peut parfaitement abaisser le taux sanguin de sucre chez les animaux, une découverte importante qui peut contribuer à déterminer le pissenlit comme modulateur du glucose sanguin dans le traitement du diabète.

Avec l’avancée de la science et de la médecine, le pissenlit peut être disponible sous forme d’ampoules, de comprimés, d’extrait de plante fraîche, de gélules, de plante séchée ou fraîche, mais aussi sous forme de teinture mère. Par précaution, il est toujours recommandé de consulter un médecin ou un spécialiste avant de prendre tout médicament, incluant les compléments alimentaires, surtout si l’on est assujetti à un traitement médical.

 

Focus sur les suppléments de pissenlit

Dans le but de stimuler le foie, par exemple, il est conseillé de prendre à peu près 500 mg d’extrait sec de racine de pissenlit ou sous sa forme en gélule à raison d’une prise 2 fois par jour. En cas de constipation, préparer et boire une tasse d’infusion de racine de pissenlit à raison de 3 fois par jour. Pour lutter contre la rétention d’eau, prendre une tasse d’infusion à base de feuilles de pissenlit à raison de 3 fois par jour. Dans tous les cas, les compléments à base de pissenlit sont à prendre de préférence avant les repas quotidiens, surtout quand ils sont préconisés pour la stimulation du foie. Les extraits liquides de pissenlit doivent aussi être dilués dans de l’eau avant de les boire.

 

À titre de rappel, l’infusion de pissenlit se prépare généralement avec les feuilles séchées et hachées, mais peut aussi être préparée avec ses racines. Pour en fabriquer une, il suffit de verser une tasse d’eau bouillante sur 1 ou 2 cuillérées à café de la plante et laisser infuser durant environ 15 minutes. Toutefois, d’autres végétaux comme la réglisse peuvent aussi être assaisonnés avec le pissenlit. Il est aussi possible d’additionner du miel dans l’infusion. Par ailleurs, les feuilles du pissenlit sont également excellentes quand elles sont préparées à la façon des épinards, sans mentionner que les saveurs amères des feuilles de pissenlit relèvent agréablement le goût des salades lorsque ses feuilles sont encore tendres. Il est aussi possible d’utiliser les racines grillées du pissenlit pour faire une boisson à l’image du café, sans pour autant tenter d’obtenir des effets stimulants.

 

Les effets recherchés avec le pissenlit

Dans un contexte général, le pissenlit est souvent proposé pour son action détoxifiante, car il peut aisément intervenir au drainage et à la détoxification de l’organisme avec ses nombreux effets. Concernant ces derniers, l’effet diurétique procuré par le pissenlit ou du moins une supplémentation en extrait, permet d’ajuster la fréquence urinaire et le volume urinaire. Pour son action dépurative, le pissenlit dispose de plusieurs actifs qui favorisent l’élimination des déchets et des toxines accumulés dans l’organisme. Pour son action drainante, une cure à base de pissenlit peut favoriser le drainage de l’organisme et de ce fait, lutter contre la rétention d’eau. Pour son effet cholérétique, le pissenlit est apte à faciliter la sécrétion de la bile par le foie. Quant à son effet cholagogue, le pissenlit facilite l’évacuation de la bile vers l’intestin, améliorant le processus de vidange de la vésicule biliaire.

 

Mis à part ses vertus antioxydantes, le pissenlit serait aussi capable de présenter plusieurs autres atouts dans le domaine de la phytothérapie. En effet, de nombreuses études ont permis de mettre à jour le pouvoir antioxydant du pissenlit. Ainsi, cette plante serait utile pour agir contre le stress oxydant, grâce à certains de ses composés. Par ailleurs, d’autres principes actifs du pissenlit sont susceptibles de réduire les réactions inflammatoires à l’intérieur de l’organisme. Plus encore, le pissenlit pourrait aussi contribuer à lutter contre la prolifération des cellules cancéreuses à travers ses effets antiangiogéniques et anticarcinogéniques.

 

Posologie du pissenlit

D’une manière générale, la posologie peut varier d’un extrait de pissenlit à un autre. Pour un extrait liquide à partir de ses feuilles, par exemple, la posologie usuelle est entre 4 à 10  ml, à raison de 3 fois par jour. Néanmoins, pour un extrait liquide fabriqué à partir de ses racines, la dose recommandée se situe entre 2 à 8 ml à raison de 3 fois par jour. Pour un extrait sec fabriqué à partir des racines, ou formulé à travers le complément alimentaire, la posologie usuelle peut varier entre 0,7 et 1,25 g à raison de 3 fois par jour. Dans tous les cas, ces valeurs usuelles peuvent s’avérer différentes, surtout quand le pissenlit est associé à d’autres plantes ou extraits naturels. De ce fait, il est préférable de se focaliser sur la posologie indiquée sur l’emballage du produit ou de se fier au conseil du thérapeute.

 

À noter également que les feuilles et les racines du pissenlit proposent des bienfaits respectifs, mais aussi des propriétés autres si les deux parties sont éventuellement associées. Toutefois, il est recommandé de ne pas dépasser la dose quotidienne, soit environ 30 g pour les feuilles et 15 g pour les racines. En optant seulement pour les feuilles de pissenlit, il est tout à fait possible d’en faire une infusion en utilisant 4 à 10 grammes de feuilles dans 150 ml d’eau, puis avaler à raison de 3 fois par jour. Pour les extraits liquides ou le jus, l’équivalent d’une ou deux cuillères à soupe est largement suffisant pour être utilisé à raison de 3 fois par jour.

 

En revanche, pour les racines, il est possible de le considérer en décoction, en extrait ou également en teinture. L’extrait peut se présenter sous forme de comprimé ou de capsule de 750 à 1250 mg à raison de 3 fois par jour. Concernant la décoction, il convient de faire bouillir entre 3 à 5 g de racines avec une quantité d’eau équivalente à une tasse ou un bol pendant environ 10 minutes. La décoction est à renouveler 3 fois par jour.

 

Précautions d’emploi

En règle générale, le pissenlit n’est pas assujetti à des précautions d’emploi spécifiques, sauf dans le cas des calculs biliaires où une consultation clinique doit être établie au préalable. En outre, il est préférable de ne pas recourir à une cure au pissenlit tout au long de l’année. À la place, il est possible d’en effectuer une pendant quelques jours ou quelques semaines.

 

Par ailleurs, le pissenlit doit être consommé avec modération, surtout pour les personnes allergiques aux familles des plantes astéracées, mais aussi pour toutes personnes qui sont soumises à des traitements anticoagulants ou présentant des maladies de la vésicule biliaire ou d’une maladie cardiaque. Pour ces derniers, il est fortement déconseillé de boire ou de manger du pissenlit. En cas de doute, se référer aux recommandations cliniques.

 

Interactions possibles

D’après les études, le pissenlit pourrait éventuellement interagir avec un certain nombre de traitements tels que les anticoagulants, les diurétiques ou aussi les médicaments à base de lithium. Avant d’opter pour une cure, un avis médical est toujours à considérer pour les patients qui suivent un traitement spécifique.

 

Toutefois, le pissenlit peut être mélangé à la piloselle et à des queues de cerise pour obtenir une préparation efficace contre la rétention d’eau. Pour le traitement des calculs urinaires, le mélange de pissenlit et d’orthosiphon peut être envisageable. Afin de bénéficier d’une simple cure de détox, une préparation à base de pissenlit, de radis noir et de sureau est possible pour y remédier. Il est également intéressant d’associer le pissenlit avec d’autres plantes ayant les mêmes propriétés pour obtenir plus de vertus diurétiques.

 

Contre-indications

Dans un contexte préventif, les extraits naturels de pissenlit ne doivent pas être utilisés chez les personnes qui souffrent d’une maladie rénale, d’une maladie cardiaque, d’une obstruction intestinale, d’un ulcère intestinal, d’un trouble hépatique ou encore d’un problème lié à la vésicule biliaire. Avant de commencer une cure de pissenlit, les femmes enceintes et allaitantes doivent d’abord demander l’avis d’un médecin ou d’un spécialiste.

 

Effets secondaires

Avec le pissenlit, les cures doivent être de courte durée, généralement d’une à trois semaines, afin d’éviter la survenue d’effets secondaires potentiels. Il est également crucial de respecter les doses recommandées pour les compléments alimentaires à base de pissenlit. Toutefois, jusqu’à ce jour, l’utilisation de feuilles ou d’extraits de pissenlit n’a révélé aucun effet secondaire majeur. Seuls quelques effets indésirables isolés et rares ont été rapportés, notamment les symptômes liés aux nausées et aux brûlures d’estomac.

 

Cependant, l’usage de pissenlit est susceptible d’engendrer des allergies cutanées, surtout chez les individus hypersensibles, sûrement à cause du latex de la tige, mais le cas est assez rare. Dans certains cas, cette plante ou certains de ses composés peuvent parfois provoquer des risques d’allergies chez d’autres patients. Néanmoins, utilisé à forte dose, le pissenlit ou ses dérivés peut engendrer de mauvaises surprises comme les éruptions cutanées, les maux d’estomac ou de la diarrhée. Si ces symptômes apparaissent ou s’aggravent, il est recommandé d’arrêter immédiatement le traitement et de se rapprocher au plus vite d’un centre de soins.

Ayant déjà été découvert dès l’Antiquité, le pissenlit est une plante qui possède un bon nombre de propriétés intéressantes. Il peut s’utiliser aussi bien dans l’alimentation que dans l’univers de la médecine. Cru, bouilli ou à la poêle, le pissenlit révèle ses secrets curatifs ou gustatifs à travers toutes sortes de concoctions pour le bonheur de chacun et pour le bien-être du corps. Cependant, cette plante est parfois susceptible d’être confondue avec d’autres, et présenter également quelques effets indésirables, surtout pour les personnes hypersensibles. Quoi qu’il en soit, le pissenlit mérite une attention particulière afin d’en apprendre un peu plus sur les variétés de la plante et de déceler tous les bienfaits.

 

Définition

Appelé aussi dent-de-lion, le pissenlit fait référence à plusieurs plantes à tige habituellement creuse et dont la sommité se démarque par un capitule plat et jaune. Généralement, ce capitule est à fleurons ligulés. Pour désigner l’espèce, il convient de déterminer le pissenlit à travers la couleur jaune du capitule et sa forme plate. Les vrais pissenlits sont des espèces qui appartiennent au genre Taraxacum. Cependant, le nom vernaculaire de pissenlit peut aussi désigner d’autres espèces, comme celles de la famille des Asteraceae. Ces dernières concernent une espèce collective qui inclut un bon nombre de sous-espèces distinctes. Il existe plus de 2000 sous-espèces dans le monde.

 

Pour le genre Taraxacum, il s’agit d’une plante dicotylédone anémocore. Cette espèce est classée dans la catégorie des pissenlits véritables, malgré qu’il existe d’autres espèces comme le Taraxacum albidum ou pissenlits blancs. Les akènes à aigrettes produits par ces espèces sont très connus. D’ailleurs, il est de coutume de souffler dessus pour les voir s’envoler.

 

Les pissenlits véritables sont des plantes résistantes, de plein soleil ou mi-ombre. Ils disposent d’une racine charnue qui pénètre profondément dans le sol, à environ 50 centimètres. Cette particularité leur permet de résister au gel accru des régions froides comme le Canada ou la Russie. Dans ces contrées, la partie aérienne du pissenlit meurt quand l’automne touche à sa fin, mais repousse dès le commencement de la fonte des neiges. La floraison débute généralement une vingtaine de jours après la repousse. Toutefois, une autre floraison peut être observée parfois en fin d’été.

 

Les feuilles du pissenlit sont très riches en vitamine C et — -carotène, très apprécié pour leurs propriétés. Les fleurs et les racines peuvent être consommées. Le pissenlit officinal est assez convoité et est considéré comme complément à la médecine conventionnelle, grâce surtout à ses vertus diurétiques et dépuratives.

 

Le pissenlit dans l’alimentation

Avant le début de la floraison, la rosace foliaire du pissenlit peut se manger en salade. Elle fait même partie de l’ingrédient principal de la salade, comme celle qui est au lard ardennais. Quant aux racines, elles se mangent crues, bouillies dans de l’eau ou cuites à la poêle afin d’en écarter son amertume. Certains pays préparent le pissenlit pour en faire du café après torréfaction. Les racines se récoltent au moment du repos végétatif de la plante. Pour les jeunes pousses, elles peuvent aussi être consommées en salade. Elles sont généralement récoltées avant la floraison. Les meilleures pousses du pissenlit sont celles qui sont localisées sur les sols sablonneux. Par ailleurs, les boutons floraux peuvent être conservés dans du vinaigre ou du sel. Ils se consomment comme les câpres, mais peuvent aussi être préparés en poêle. Pour les capitules, ils sont habituellement destinés à fabriquer du sirop ou du vin. Toutefois, seules les parties jaunes sont utilisées, sans les bractées et les tiges.