Algue : riche en oligo-éléments

Les algues sont photosynthétiques et leurs habitats sont variés. Toutefois, leur cycle de reproduction nécessite absolument la présence d’eau. La morphologie des algues est très diversifiée. Ainsi, elles peuvent être unicellulaires ou pluricellulaires.

 

Qu’est-ce qu’une algue ?

Les algues sont des organismes qui sont capables de pratiquer la photosynthèse. Il s’agit de végétaux vivant en majorité dans un milieu aquatique, notamment marin ou dulcicole. Il faut savoir que les algues sont dépourvues de tige, de racine, de feuille ou de fleur.

 

Les algues ne sont pas constituées de groupe évolutif unique. Toutefois, celles-ci rassemblent toute une série d’organismes qui peuvent appartenir à des groupes phylogénétiques très différents. De ce fait, les algues sont souvent définies par défaut comme étant de simple opposition aux végétaux terrestres ou aquatiques pluricellulaires.

 

Constituant le phytoplancton, plusieurs espèces d’algues sont unicellulaires et possèdent une taille microscopique. Celles-ci constituent la base des réseaux trophiques aquatiques, signifiant des chaînes alimentaires. D’autres espèces d’algues sont des espèces multicellulaires pouvant atteindre une taille impressionnante. C’est le cas notamment de la Kelp géante qui possède des thalles ou feuilles. Celle-ci peut atteindre une taille de 45 mètres de long.

 

Il faut savoir que les algues sont majoritairement des eucaryotes, signifiant étymologiquement des cellules à noyau vrai. Elles font partie des cryptogames, ce qui veut dire plante à appareil reproducteur caché. Les algues sont également des thallophytes symboles des plantes à ramification. Il s’agit de plantes possédant des cellules isolées, groupées ou assemblées en tissus peu ou pas différenciées. Au sens biologique du terme, ce sont donc des plantes sans organe.

 

Le terme algue vient du latin algae signifiant algues. Le terme latin, quant à lui, provient du mot aigidus signifiant frais, car ces plantes vivent dans l’eau. Les algues sont d’une grande simplicité d’organisation. Elles offrent des formes et des colorations fortes différentes. En outre, elles sont à peine visibles à l’œil nu. Elles peuvent se révéler sous la loupe ou au microscope dans les eaux devenues verdâtres par stagnation.

 

D’autres algues sont beaucoup plus apparentes et se trouvent dans les eaux douces. Elles sont connues sous le nom de Conferves et y constituent ce que l’on appelle le vert d’étang. Il s’agit d’algues généralement lamelleuses et rubanées. Celles-ci sont nommées sur les rivages maritimes des fucus, des varechs et des goémons.

 

Il faut savoir que toutes ces plantes vivent en absorbant les matières organiques dissoutes dans l’eau. Toutefois, quand elles tiennent au sol, elles n’y puisent jamais rien. Les algues marines montrent de curieuses relations avec les mers où elles vivent. Notez que les diverses espèces ont des zones de profondeurs qui leur sont propres.

 

En effet, les unes peuvent vivre à la surface des flots, tandis que les autres vivent plus en profondeur. De plus, ils existent des espèces qui vivent jusqu’à 60 mètres et plus au-dessous du niveau de la mer. Certaines algues, comme les corallines, peuvent jouir de la curieuse propriété de s’incruster de calcaire. Les fucacées, en revanche, renferment des végétaux plus grands.

 

Quelles sont les classifications des algues ?

Groupe polyphylétique, les algues incluent des organismes procaryotes et eucaryotes. Notez que ces derniers sont répartis en plusieurs taxons. Les plus importants sont les algues bleues, les algues brunes, les algues rouges et les algues vertes.

 

Parmi ces espèces, nombreuses sont celles qui sont comestibles par l’Homme ou par les animaux. Récoltées sur les plages, les algues peuvent aussi servir d’engrais dans les régions littorales. En outre, plusieurs projets essaient d’exploiter les algues pour la production de biocarburant.

 

Les bases de classification des grandes lignées d’algues sont les pigments, les lucanes de réserve et le nombre de membranes plastidiales. Il en est de même pour la disposition des thylacoïdes, de la forme des crêtes mitochondriales et de l’appareil flagellaire. D’autres critères sont encore présents comme l’appareil photorécepteur et les grands types de structures péricellulaires. Les algues bleues sont encore connues sous le nom de cyanobactéries ou cyanophycées. Il s’agit de procaryotes du règne des Eubacteria.

 

Les algues vertes appartiennent au vaste groupe des organismes verts, notamment les chlorobionta. Celles-ci sont réputées pour élaborer un amidon intraplastidial. Elles renferment des chlorophylles A et B ainsi que du carotène, un pigment rouge. Les algues vertes contiennent également des xanthophylles ou pigments jaunes.

 

Les algues rouges renferment seulement de la chlorophylle A. Celles-ci contiennent également des pigments comme les phycoérythrines et les phycocyanines. En outre, la présence d’amidon est aussi constatée dans ce type d’algues, notamment l’amidon extraplastidial appelé rhodamylon.

 

Les algues brunes sont également appelées phéophytes. Ce type d’algues renferme de la chlorophylle A et C ainsi que beaucoup d’autres pigments. Les algues brunes contiennent aussi des réserves cytoplasmiques et vacuolaires diverses. Généralement marines, celles-ci contiennent une dizaine de lignées, notamment les diatomées, les chrysophycées et les xanthophycées.

 

Quels sont les bienfaits des algues sur la santé ?

Il faut savoir que les algues sont surtout consommées en Asie. Les Occidentaux l’utilisent presque uniquement dans les sushis ou encore comme condiment. Pourtant, il s’agit d’un nouveau légume à découvrir tant sa valeur nutritionnelle est exceptionnelle et son goût est raffiné.

 

Les algues marines forment un groupe hétérogène qui comprend des centaines de plantes. Ces dernières peuvent vivre en eau douce ou encore en eau salée. Ces algues peuvent être considérées comme un légume aquatique. Celles-ci possèdent une taille qui peut varier de moins d’un millimètre pour les algues microscopiques à quelques centaines de mètres pour les laminaires géantes.

 

Les algues marines comestibles sont classées suivant leur couleur, notamment les algues vertes, les algues brunes et les algues rouges. Notez que les algues les plus courantes sur le marché sont la laitue de mer, les cheveux de mer ou encore la dulse. D’autres espèces sont également présentes dans le commerce comme la mousse d’Irlande, le haricot ou spaghetti de mer, le wakame, le hijiki, le varech et les laminaires.

 

La consommation régulière de légumes, notamment les algues, peut contribuer au maintien d’une bonne santé et à la prévention d’une foule d’affections. Les algues peuvent avoir une action particulière sur les maladies cardiovasculaires, le diabète, l’hypercholestérolémie et l’hypertension. Notez que cette action serait due aux antioxydants, aux fibres et aux phytostérols qu’elles renferment.

• Les algues et le cancer

Plusieurs études avaient été menées sur différentes algues, notamment chez l’animal. Les résultats avaient démontré que celles-ci possédaient la capacité de contrer le développement des tumeurs mammaires. Pareillement, elles peuvent également induire la mort de certaines cellules cancéreuses in vitro.

 

De plus, les algues qui ont tendance à s’opposer à l’œstrogène pourraient constituer un facteur protecteur, notamment dans le développement des cancers hormonodépendant tels que ceux du sein ou de la prostate.

À la suite des études épidémiologiques qui avaient été menées, les résultats indiquaient que les populations qui faisaient une diète de type asiatique présentent une incidence plus faible de cancer, si ces résultats sont comparés aux populations ayant une alimentation type nord-américaine.

 

Cette constatation est largement attribuée à la grande consommation de soya chez la population asiatique. Toutefois, la consommation élevée d’algues chez les Asiatiques pourrait aussi y jouer un rôle. De plus, les algues sont riches en iode et en sélénium. Il faut savoir que la carence en ces deux nutriments pourrait jouer un rôle dans la formation de cancer du sein. Cependant, le rôle véritable des algues dans la prévention des cancers hormonodépendant reste encore à préciser.

 

En 2010, une étude in vitro avait été publiée. Cet essai montre que le fucoïdane peut induire la mort des cellules leucémiques humaines. Il s’agit d’un sucre retrouvé dans les algues brunes marines. L’action de celui-ci est due entre autres à la production d’oxyde nitrique. Les auteurs de cette étude avancent que le fucoïdane augmenterait l’efficacité des agents de chimiothérapie traditionnels, notamment pour provoquer la mort des cellules cancéreuses.

 

Une autre étude in vitro mentionne que le fucoïdane aurait détruit les cellules du sein cancéreux. Les auteurs de cette étude soutiennent que le fucoïdane est un composé prometteur, surtout dans la prévention du cancer du sein et sa valeur thérapeutique mérite d’être analysée.

• Les algues sont un puissant antioxydant

Plusieurs études avaient été menées sur plusieurs extraits d’algues brunes, rouges et vertes. Ces dernières étaient cultivées en Europe ou en Asie. Les résultats de ces études démontrent une activité antioxydante in vitro. En effet, suivant plusieurs facteurs, leurs compositions en antioxydants et leurs capacités antioxydantes peuvent varier, selon la profondeur où elles poussent ainsi que leur degré d’exposition aux rayons UV.

 

Il faut savoir que les algues renferment différents composés antioxydants comme les caroténoïdes tels que les lutéines et les zéaxanthines. D’autres composés antioxydants sont encore contenus dans les algues, notamment les flavonoïdes tels que les catéchines, les acides phénoliques comme les tanins et certaines vitamines dont C et E principalement.

• Les algues sont riches en fibres

Les algues sont réputées pour renfermer une quantité intéressante de fibres sous forme soluble. Suivant sa variété, une portion d’algue fraîche pourrait contenir jusqu’à 8 % de la quantité de fibre recommandée dans une journée. Cependant, les algues séchées sont constituées de 35 à 50 % de leur poids sous forme de fibre.

Généralement, une alimentation riche en fibre contribue à prévenir les maladies cardiovasculaires. Celle-ci pourrait aussi contrôler le diabète de type 2 et l’appétit. De plus, les fibres qui sont renfermées dans les algues peuvent être plus efficaces pour aider à réduire le cholestérol sanguin que celles provenant d’autres sources. Ces fibres pourraient également diminuer l’hypertension.

 

Les algues marines, notamment la laminaria longicrurie, retrouvée dans le Golfe du St-Laurent, sont particulièrement riches en deux types de fibres solubles. En effet, elles sont riches en laminaran et en furanes. La première est un sucre non digestible appartenant à la famille des B-glucans.

 

Ces types de fibres possèdent plusieurs propriétés biologiques intéressantes. Effectivement, le laminaran aide à lutter contre les tumeurs et peut moduler la réponse immunitaire. Les fucanes possèdent des propriétés anticoagulantes, anti-inflammatoires et antivirales. La teneur en laminaran et en fucanes contenue dans les algues est influencée par la période de récolte. En tout cas, c’est ce qu’avait constaté une équipe de chercheurs québécois.

• Les algues sont idéales pour lutter contre le cholestérol

Deux espèces d’algues, notamment le wakame et le nori, sont réputées pour contenir des phytostérols. Il s’agit de composés qui possèdent la particularité de ressembler au cholestérol sur le plan chimique. Ceux-ci entrent en jeu pour empêcher l’absorption de ce dernier dans l’organisme.

 

Il faut savoir que consommer du phytostérol pourrait avoir des effets bénéfiques sur le cholestérol. Effectivement, ceux-ci pourraient réduire le taux de mauvais cholestérol, le LDL dans le sang. Toutefois, il faut noter que pour bénéficier de tels effets, de grandes quantités d’algues séchées doivent être consommées tous les jours. De plus, aucune étude n’a jusqu’à maintenant évalué l’impact de la consommation de phytostérols provenant des algues sur le cholestérol sanguin.

• Les algues sont riches en iode

Il faut savoir que l’iode entre dans la composition des hormones thyroïdiennes. Celui-ci entre en jeu dans la régulation de la croissance, du développement et du métabolisme. Toutefois, des concentrations trop élevées en iode provoquent des problèmes de fonctionnement de la glande thyroïde.

 

Cependant, bien que la quantité d’iode soit relativement élevée dans le nori, en consommer ne présente aucun risque notable pour la santé. En revanche, la prudence est de mise pour les gens qui consomment des algues de façon régulière. En effet, pour ce type de personne, il est recommandé de choisir des algues qui contiennent le moins d’iode, notamment la laitue de mer, le porphyre et la dulse. Notez qu’une ou deux feuilles de nori sont équivalentes à 8 à 15 sushis. Cette quantité est suffisante pour combler les besoins journaliers en iode.

• Les algues sont riches en vitamines B12

Il faut savoir que les algues contiennent également de la vitamine B12. Toutefois, celle-ci est considérée comme inactive et donc non assimilable par l’organisme. Pourtant, des chercheurs ont mis en évidence que le nori renfermerait des quantités appréciables de vitamines B12 qui sont biologiquement actives.

 

Des études ont été menées sur des rats qui ont une carence en vitamines B12. Ils avaient alors reçu une alimentation enrichie de nori pendant une durée de 20 jours. Les chercheurs avaient alors observé une augmentation des taux de vitamines B12 dans leur foie. Toutefois, il faut noter que ces résultats ne peuvent pas être nécessairement transposables chez l’humain. En effet, une étude sur l’absorption et les métabolismes de la vitamine B12 provenant des plantes marines comme les algues devra être réalisée chez l’homme.

 

La biodisponibilité de la vitamine B12 dépend de la méthode de séchage des algues. Ainsi, si les algues sont séchées à l’air, la vitamine B12 devient inactive. Toutefois, la lyophilisation ou séchage à froid n’aurait aucun effet sur celle-ci. Ainsi, étant donné les différentes variétés d’algues consommées, il est recommandé de ne pas trop compter sur les algues pour combler les besoins quotidiens en vitamine B12.

 

Quels sont les principaux vitamines et minéraux contenus dans les algues ?

Les algues sont composées de vitamine A. Cette dernière est particulièrement présente dans la dulse et le nori crus. En outre, si ces algues sont séchées, elles représentent une excellente source pour les femmes et une bonne source pour les hommes.

 

Les algues renferment de la vitamine B2 ou riboflavine. Les espèces qui sont d’excellentes sources sont la dulse et le nori cru et séché. Toutefois, le wakame cru peut être une excellente source pour les femmes. Cependant, celui-ci est seulement une bonne source pour les hommes. Le varech ou kelp ainsi que le kombu cru en contiennent également.

 

Les algues contiennent de la vitamine B9 ou folate. Il faut savoir que toutes les algues contiennent du folate. Les algues sont composées de vitamine C, notamment la dulse et le nori cru qui sont d’excellentes sources pour la femme. En revanche, celles-ci ne sont que de bonne source pour les hommes.

 

Les algues sont composées de vitamine K. Effectivement, toutes les algues en renferment, excepté la dulse et le nori séché. Les algues sont aussi composées de cuivre, notamment la dulse, le nori et le wakame crus qui sont d’excellentes sources. Par contre, le nori séché, le varech et le kombu crus sont justes de bonne source.

 

Les algues renferment également du fer, surtout le varech, le kombu cru et le wakame cru qui sont d’excellentes sources pour les hommes. Toutefois, ces algues sont juste de bonne source pour les femmes. En outre, la dulse ainsi que le nori séché et cru sont de bonne source pour les hommes. Cependant, celles-ci ne sont qu’une source pour les femmes.

 

Les algues renferment aussi du manganèse, comme le cas la dulse, du nori cru et séché ainsi que du wakame cru. Ces dernières sont d’excellentes sources, tandis que le varech et le kombu crus sont de bonne source, notamment pour les femmes et juste une source pour les hommes.

 

Les algues contiennent aussi du magnésium, comme le varech, le kombu et le wakame cru. En effet, ces dernières sont d’excellentes sources. En outre, les algues renferment également de la vitamine B5, de l’acide pantothénique. En effet, le wakame cru en est une bonne source.

 

Les algues sont aussi composées de calcium, soit le varech, le kombu et le wakame cru. Ces dernières sont effectivement de bonne source de calcium. De plus, le wakame cru est une bonne source de phosphore. En outre, le varech, le kombu et la dulse ainsi que le nori cru sont de bonne source de zinc, surtout pour les femmes.

 

Quelles sont les précautions à prendre pour la consommation d’algues ?

Il est conseillé d’éviter de consommer l’algue marine hijiki. Il s’agit d’une algue noire, légèrement amère et vendue séchée. En effet, celle-ci contient de l’arsenic inorganique qui pourrait dépasser les taux quotidiens acceptables. Ceci, même si elle est consommée en petites quantités.

 

Il faut savoir que plusieurs différents échantillons d’algues ont été analysés, dont la dulse, le porphyre et le kombu. Parmi ces échantillons, seul le hijiki renfermait une teneur élevée d’arsenic inorganique. Notez qu’une exposition à des concentrations élevées d’arsenic inorganique est associée à des troubles gastro-intestinaux. Il est pareillement associé à l’anémie et a des dommages au foie.

 

Les algues renferment une grande quantité de vitamine K. Celle-ci est indispensable, entre autres, à la coagulation du sang. Ainsi, les individus sous médicament anticoagulant doivent adopter une alimentation qui contient de la vitamine K relativement stable d’un jour à l’autre. Ces personnes doivent donc éviter les algues comme aliments principaux. De plus, il est conseillé à ces individus de consulter un professionnel de santé afin de connaître les sources alimentaires de vitamine K. Ceci afin d’assurer un apport quotidien qui soit le plus stable possible.

 

Les algues renferment également de l’iode. Il faut savoir que ce dernier peut être présent de façon concentrée. En effet, quelques grammes de kombu breton sont suffisants pour combler les besoins journaliers en iode sur un mois environ. Ainsi, les personnes sensibles à l’iode sont conseillées de blanchir les algues brunes avant de les consommer. Le mieux pour ces personnes est de s’abstenir de manger des algues. Notez toutefois que même si vous n’êtes pas sensible à l’iode, vous pouvez le devenir. Il est donc recommandé de ne pas abuser des algues.

 

Les algues sont contre-indiquées en cas d’hypertension artérielle. En effet, elles sont très salées et leur consommation doit être avec modération. Toutefois, les algues facilitent la perte de poids et permettre ainsi de lutter contre l’hypertension.

 

Il faut savoir que les algues sont susceptibles d’accumuler des métaux lourds présents dans l’eau de mer. Ceci, même si elles sont prélevées dans un milieu naturel ou cultivées dans des fermes marines. Notez qu’au-delà d’une certaine concentration, les métaux lourds peuvent être toxiques pour l’être humain. En effet, les algues contiennent une quantité élevée de cadmium.

 

D’autres risques pour la santé peuvent être associés à la consommation des algues, notamment un risque infectieux, si les algues sont prélevées ou cultivées dans des eaux sales. Ainsi, il est conseillé de consommer des algues qui sont cultivées par des professionnels dans des fermes marines. Ces professionnels peuvent contrôler de façon régulière la qualité des eaux.