Le pommier est un arbre fruitier très connu. Les pommes font partie des fruits les plus consommés par les Français. Cette plante réserve pour la santé des vertus et des bienfaits bénéfiques qui permettent de pallier bon nombre de maladies. Elle apporte bien-être et soin à l’organisme. C’est pourquoi ce guide s’intéresse à ses compositions, son utilisation et ses différentes espèces. Pour cela, il révèle à travers ses grandes sections toutes les informations concernant cette plante.

Qu’est-ce que le pommier ?

Scientifiquement, le pommier est connu sous le nom latin Pyrus malus et Malus domestica pour les espèces domestiquées. Il s’agit d’un arbre fruitier appartenant à la famille des rosacées. Cette plante vivace porte des feuillages caduc et peut atteindre jusqu’à plus de 15 m de hauteur. Très simples, ses feuilles possèdent des limbes dentés à disposition alterne. Pendant la période de floraison qui se déroule au printemps, le pommier donne des fleurs blanc rosé. Après cette période, il offre des fruits à pépins comestibles, appelés communément pomme.

Originaire d’Asie du Sud-ouest, cet arbre fruitier pousse un peu partout, sauf dans les marais et les sols secs. Toutefois, il s’adapte très bien dans les régions froides puisqu’il peut résister jusqu’à -30 °C. Sa plante supporte également l’exposition au soleil et l’humidité atmosphérique assez forte. Elle pousse en général sur les sols sains, profonds, limoneux ou silico-argileux. Aux États-Unis, la fleur de pommier fait office d’emblème pour les États d’Arkansas et du Michigan. En Europe, la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre, les Pays-Bas et la Belgique forment le cercle des pays producteurs de pommier européens.

En général, le pommier doit être planté par semis de pépins de pommes en automne. Pour obtenir un arbre bien fructifié, il est possible de le greffer et de le tailler régulièrement. Si le sol est favorable à son développement, cette plante n’a pas besoin d’engrais. Toutefois, il est nécessaire d’ajouter des engrais après quelques années de plantation. Quelles que soient ses espèces, les pommiers sont les plus cultivés dans les vergers.

Les maladies sont les véritables problèmes en matière de culture de pommier. Cette plante fruitière développe souvent des maladies cryptogamiques. On rencontre dans ce cadre la tavelure du pommier qui se manifeste sous forme de taches brunes ou noires qui attaquent les fruits. Il existe aussi le chancre du pommier, une lésion qui se manifeste sur l’écorce et la branche. Certaines variétés souffrent de l’oïdium. Durant le printemps, cette maladie recouvre les feuilles du pommier, entraînant ainsi la chute et la déformation de celles-ci. Tout comme la moniliose, le ver de la pomme, appelé carpocapse, détruit les fruits en creusant la partie centrale. Quant à la larve de l’anthonome du pommier, il ronge l’intérieur des boutons floraux. Généralement provoquées par des champignons, ces maladies pourraient causer des dégâts importants.

• Les composants chimiques du pommier

Comme le poirier, le cerisier et le cognassier, l’écorce du pommier et ses pépins comportent de la phloridzine et du glucoside. Ils contiennent également de l’hétéroside et du cyanure. À haute dose, ces deux éléments actifs sont très toxiques, mais ils restent inoffensifs pour l’homme. Le fait d’ingérer quelques pépins de pomme et de consommer l’écorce de pommier ne présentent donc aucun risque pour la santé.

Pour l’histoire, le pommier est associé à différentes sortes de mythes et de croyances. Dans la Bible, il est connu comme un arbre tentateur. Son fruit est désigné comme étant le fruit défendu croqué par Eve dans le jardin d’Eden. Pour les Grecs et les Romains, sa mythologie raconte l’histoire du jardin des Hespérides, un jardin rempli de pommes magiques qui peuvent apporter la jeunesse éternelle. Pour les Scandinaves, le jardin de la déesse Idunn aurait abrité des pommiers qui donnent des pommes d’or dotées d’une saveur de miel.

• Les variétés et sous-espèces du pommier

De manière globale, il existe en tout 35 espèces de pommier. Par croisement de ces espèces, on retrouve à travers le monde plus de 20 000 variétés de pommier. Chaque variété se démarque grâce à la taille, la forme, la saveur et l’odeur de son fruit. La moitié des variétés sont d’origine américaine, alors que d’autres proviennent de l’Angleterre et de Chine. On rencontre ainsi sur le marché la variété de pommier appelée Delbardivine, Harmonie, Santana, Topaz, Ariane, Rezista Rome — like, Ecolette, Collina, Rubinola, etc.

Certaines espèces de pommier se démarquent des autres grâce à leurs fruits et à leur période de récolte. Pour l’Astrakan rouge, James Grieve et le Delbarestival, les fruits arrivent à maturité gustative en août. Ce sont des variétés qui offrent des pommes très colorées, parfumées, juteuses et sucrées. Les Granny Smith, la Belle de Boskoop, le Golden delicious et le Reinette du Mans se récoltent au début de l’automne. Ces pommiers donnent des fruits rustiques et juteux dotés d’un goût plus prononcé, mais moins sucré. Le Cox’s Orange Pippin et la Ribston Pippin produisent des pommes moins colorées, mais plus parfumées par rapport aux autres variétés de pommier. Ces pommes possèdent une peau plus épaisse et renferment une chair plus ferme. La variété Pumila Ariane donne des fruits de petit calibre avec une chair ferme, croquante, acide et sucrée. En ce qui concerne la variété Pumila Boskoop Rouge, ses fruits sont très gros, gris et tachetés de rouge foncé. Ils renferment une chair ferme, juteuse et acidulée.

Dans quel cadre utilise-t-on le pommier ?

Pour la phytothérapie, les vertus du pommier se trouvent dans ses feuilles séchées et son écorce réduites en poudre. Pour la gemmothérapie, on utilise les bourgeons pour fabriquer du macérât. Ce dernier se présente souvent sous forme de liquide limpide de couleur marron-rouge avec une odeur à la fois fruitée et légèrement alcoolisée.

En alimentation, les jeunes pousses de pommier peuvent être incorporées dans les salades pour rehausser le goût des ingrédients. En plat sucré comme salé, la pomme qui est le fruit du pommier est un ingrédient très bien apprécié des cuisiniers. Elle peut être consommée crue en dessert ou en salade, et cuite en pâtisserie ou à travers les plats cuisinés. Elle s’intègre très bien dans les tartes ou les mets avec des viandes.

Dans la sphère de l’animalerie, le pommier peut être utilisé comme aliment ou soin pour les animaux. Il existe pour cela des compléments alimentaires pour animaux à base de pommier. Pour les rongeurs et les lapins, on recommande l’utilisation des feuilles de pommier du Périgord. Pour les chats et les chiens qui se grattent ou se lèchent sans arrêt, on utilise l’Elixir Floral Crab apple pommier sauvage pour les aider. Le Pommier Nutrition de FedVet est un complément alimentaire spécialement conçu pour les chevaux.

Quels sont les bienfaits du pommier pour la santé ?

Les fleurs et les feuilles de pommier possèdent des propriétés diurétiques, des propriétés très utiles pour combattre les calculs urinaires, les inflammations rénales ou les maladies de la vessie. Pour obtenir cet effet, il faut utiliser son macérât. Ce dernier aide à éliminer l’acide urique qui s’accumule à l’intérieur. Déchet de l’organisme, cet acide pourrait occasionner des douleurs articulaires lorsqu’il est mal éliminé. Cette plante convient très bien pour le traitement du rhumatisme.

En ce qui concerne la pomme, son effet peut faire tomber la fièvre et dégager le nez ainsi que les bronches des mucosités. Ces fruits délivrent effectivement des vertus calmantes et rafraîchissantes. En outre, ils possèdent des effets dépuratifs, antidiarrhéiques et laxatifs. Ils sont dans ce cas indiqués pour soulager les troubles digestifs, les gastrites, les entérites et la constipation. Il est également possible de régulariser le transit intestinal avec ces fruits. Les personnes qui ont des problèmes de reins et du foie peuvent donc les consommer régulièrement. Compte tenu de sa forte teneur en calorie, ce fruit convient très bien aux personnes atteintes d’obésité.

Pour la gemmothérapie, le pommier apporte plusieurs bienfaits bénéfiques pour la santé. On utilise, dans ce cadre, ses bourgeons puisqu’ils agissent efficacement sur le cerveau. En effet, les bourgeons de pommier possèdent des actifs qui améliorent la circulation cérébrale et apportent une meilleure oxygénation du cerveau. De cette façon, son utilisation permet de maintenir la vivacité cérébrale, la mémoire et la concentration. Elle aide également à éviter la fatigue. Comme le pommier est une plante phyto-œstrogénique, son macérât de bourgeons se révèle aussi être un antioxydant et un protecteur vasculaire très puissant. Il sert aussi à régulariser les hormones. C’est pourquoi il est très apprécié par les femmes pour stabiliser les cycles menstruels et les hormones pendant la préménopause.

Sur le cholestérol, cette plante est efficace pour réduire l’accumulation du LDL dans les vaisseaux sanguins. L’organisme contient, en effet, deux types de cholestérol, dont le HDL, dit bon cholestérol et le LDL ou mauvais cholestérol. Tout en augmentant le HDL, les actifs du pommier régularisent la tension artérielle et présentent des effets protecteurs vasculaires.

Le pommier délivre chez l’homme comme chez la femme un effet positif sur le plan sexuel. C’est grâce à cela qu’il est souvent désigné comme un tonique sexuel. Ses actifs permettent ainsi de stimuler la sécrétion de la testostérone et de l’estradiol. Ils aident à combattre facilement la fatigue sexuelle, la frigidité et la baisse de libido. Pour les femmes en période de ménopause, ils apaisent l’effet des bouffées de chaleur et limitent l’ostéoporose.

Grâce à l’action anti-inflammatoire, cicatrisante, dépurative et antiseptique du pommier, certaines personnes l’utilisent pour soigner les affections cutanées comme les plaies, l’acné, les ulcères aux jambes, les éruptions cutanées, etc. Cet arbre fruitier est également connu comme un tonique général. Cette propriété lui confère le pouvoir de renforcer les défenses immunitaires et de prévenir par la même occasion bon nombre de maladies.

Quelle est la valeur nutritionnelle de la pomme ?

Fruit du pommier, la pomme offre une valeur nutritionnelle et énergétique importante. Les nutritionnistes recommandent d’en consommer régulièrement.

En général, une pomme pèse 150 g et renferme une chair croquante ou farineuse avec une saveur douce ou acidulée. Pour une quantité équivalente à 100 g, la pomme apporte seulement 53 kcal, 6,25 mg de vitamine C, 0, 37 mg de vitamine E et une trace de vitamine B6. Elle contient d’importants oligoaliments, soit environ 1,4 g de fibres, 119 mg de potassium, 6,47 mg de magnésium et 0,036 mg de manganèse.

La pomme renferme près de 82 à 86 % d’eau, soit 85,4 g pour une portion de 100 g. Elle comporte également 16 % de sucres, 0,9 % de cellulose, 0,3 % de matières grasses et 0,2 % d’acides de fruits comme l’acide malique, citrique et succinique. Sa chair se compose de pectines, de flavones, de quercétine, d’enzymes et de phénols. On y trouve aussi une transe de protéines, de tanins, de matières albuminoïdes et d’acide borique. Ses pépins contiennent jusqu’à plus de 27 % d’huile fixe, comme l’amygdaline.

Comment utiliser le pommier en tant que remède naturel ?

Les remèdes à base de pommier doivent être consommés en dehors des repas. Il faut en général prendre les doses recommandées 3 fois par jour. Pour cela, il faut utiliser 5 à 15 gouttes de macérât concentré par jour ou 50 à 150 gouttes par jour de macérât dilué D1.

En phytothérapie, on utilise les écorces des racines de pommier pour faire une décoction. Pour ce faire, il faut bouillir dans 1 litre d’eau environ 120 g d’écorce. Il faut laisser infuser cette préparation pendant une dizaine de minutes, puis boire 2 à 3 tasses par jour. Pour fabriquer une tisane, il faut déposer 1 cuillère à soupe de pelures de pommes soigneusement desséchées et concassées dans 1 litre d’eau bouillante. Après 15 minutes d’infusion, il faut boire environ 2 à 3 tasses de ce mélange tous les jours.

En gemmothérapie, les bourgeons sont réduits en macérât. Ce dernier convient pour le soin des adultes et des adolescents. Pour l’utiliser, il faut diluer dans un verre d’eau 5 à 15 gouttes de ce macérât tous les jours pendant environ 3 semaines. Pour les enfants ayant plus de 3 ans, la dose indiquée est de 1 goutte par jour.

En synergie, le pommier révèle des effets encore plus efficaces lorsqu’il s’associe avec d’autres plantes ou d’autres produits. Il peut ainsi être associé avec la bugrane ou la chanca piedra pour combattre les calculs urinaires. Avec la capucine ou la damiana, son effet est impressionnant lors du traitement des inflammations rénales. L’association du pommier avec l’acide hyaluronique ou les chondroïtine sulfate apporte des actions hautement puissantes pour lutter contre les rhumatismes et les douleurs articulaires.

Quels sont les compléments alimentaires ou produits contenant du pommier ?

Le pommier est habituellement utilisé comme complément alimentaire ou soin pour l’organisme. Son utilisation est souvent indiquée dans le cadre de la phytothérapie et de la gemmothérapie grâce à ses multiples bienfaits.

• Le macérât de bourgeons de pommier

L’ensemble des éléments actifs du pommier se trouve dans ses jeunes pousses ou ses bourgeons. C’est pourquoi cette partie est la plus utilisée et la plus sollicitée. On l’utilise en général pour venir à bout des effets dérangeants des bouffées de chaleur. Les phytothérapeutes l’indiquent également pour lutter contre le syndrome prémenstruel en 2e partie de cycle. Pour cette dernière option, son intervention permet de stimuler la sécrétion de progestérone et de diminuer l’hyper-œstrogénie par élimination hépatique. Les bourgeons de pommier sont bénéfiques pour favoriser l’activité intellectuelle, la mémoire et la concentration. Sur le système nerveux, ils agissent grâce à leur fonction sédative. Ce sont aussi des protecteurs vasculaires et des antioxydants très puissants. Leur apport aide la circulation et l’oxygénation des cellules.

Le macérât de bourgeon demeure la forme de présentation la plus connue des compléments alimentaires à base de pommier. Pour l’obtenir, les laboratoires macèrent les jeunes poussent dans une solution glycérine d’origine végétale. Cette méthode permet donc d’obtenir un macérât liquide bio qui contient au minimal pour une quantité équivalente à 30 ml, 5 ml de bourgeon de feuilles de malus domestica.

Sur le marché, il existe plusieurs types de macérât de bourgeon de pommier. Chaque gamme et marque se démarque grâce par sa composition et à sa méthode de macération. Le Pommier Bourgeons en liquide bio d’Herbiolys se révèle être le plus présent sur le marché. Très efficace pour apaiser le stress et les angoisses ainsi que les troubles liés à la ménopause et la perte de libido, cette gamme renferme des extraits de bourgeons bios, frais et non surgelés. Sa mise en macération est réalisée directement sur les lieux de cueillette et dynamisée à la main. Ce macérât de bourgeon est, en effet, obtenu à partir de l’utilisation d’ingrédients bio comme la glycérine végétale bio, l’alcool de grain bio et sans gluten, l’eau de source peu minéralisée et les bourgeons frais de pommiers bios issus de l’agriculture biologique. Sur le marché, on rencontre également le Pommier Bio HerbalGem. Il s’agit d’un macérât concentré de bourgeon de pommier bio. Pour ce produit, il faut dire que sa formulation respecte tous les engagements de HerbalGem, une marque qui s’engage dans la sphère de la gemmothérapie depuis plus de 30 ans. Le macérât de bourgeon portant cette marque se compose pour cela des ingrédients issus de l’agriculture biologique comme le macérât concentré de bourgeons de pommier, l’alcool, l’eau et la glycérine végétale. Le Pommier Bio AquaGemm est un macérât de bourgeon de pommier sans alcool et anti-addictif. Également indiqué pour les bouffées de chaleur, ce complément alimentaire possède des actions calmantes et est considéré comme un sédatif naturel très puissant. À la différence des autres marques, AquaGemm se démarque en présentant cette gamme sans alcool pour aider les personnes qui souffrent de dépendance au tabac et à l’alcool. L’effet sédatif de ce Pommier Bio participe d’ailleurs à la réduction de la sensation de manque.

• La poudre de pomme

Sous forme de poudre, la pomme est un complément alimentaire complet puisqu’elle contient plusieurs vitamines et acides de fruit. Grâce à la fragrance acidulée de la pomme verte, les poudres de pomme sont aussi un ingrédient efficace pour parfumer les soins. C’est donc un actif cosmétique hydratant, régénérant et antioxydant par excellence. Dans ce cadre, ce produit est tout indiqué pour les teints ternes ou fatigués, les peaux sèches, les rides et ridules, les peaux sujettes au stress ainsi que les peaux matures. On l’utilise ainsi pour le parfumage des produits cosmétiques comme les crèmes et les laits, le parfumage des soins gourmands, les masques exfoliants et les actifs dans la confection des soins anti-âge.

Les poudres de pomme contiennent en général des ingrédients issus de l’agriculture biologique. Elles se composent au minimum 50 % de pommes en poudre et plusieurs vitamines comme la vitamine B1, B2, PP, B5, B6, B9, E et C. On y trouve également des polyphénols tels que la quercétine, la catéchine et l’épicatéchine. Pour leur propriété adoucissante et hydrante, les poudres de pomme font appel aux pouvoirs des sucres qu’elles contiennent.

• L’élixir de fleur de pommier

L’utilisation de l’élixir de fleur de pommier est bénéfique pour les personnes qui se sentent en permanence impures et éprouvent de la répugnance à leur égard. Les symptômes pour ces pathologies se manifestent en général sous forme d’obsession à faire le ménage ou se laver fréquemment les mains. Ce produit intervient également en cas de découragement ou de désespoir. Pour garantir son effet, sa formule se compose d’ingrédients 100 % biologiques comme le cognac bio demeter et l’infusion aqueuse de malus pumila.

Quelles sont les précautions à prendre en compte ?

L’utilisation des remèdes à base de pommier ou de Pyrus malus est fortement déconseillée pour les femmes enceintes ou allaitantes. Cette recommandation s’applique également pour les enfants ayant moins de 3 ans et les personnes qui développent un cancer hormono-dépendant.

La cure avec le Pyrus malus peut se prolonger jusqu’à 3 semaines, mais elle ne doit pas dépasser ce délai. En cas de besoin, il est possible de renouveler la cure, mais il faut prendre une pause de 1 semaine avant d’entamer 3 nouvelles semaines de cure. Si les symptômes de la pathologie visée persistent après plusieurs cures, il est conseillé de demander l’avis d’un professionnel de santé tel qu’un médecin ou un pharmacien.

En raison de ses nombreuses maladies, le pommier fait partie des plantes les plus traitées avec les produits chimiques. C’est pourquoi il est préférable de ne consommer que les fruits issus de l’agriculture biologique. Pour la pomme non bio, il est conseillé d’enlever son épluchure à 1 cm de sa chair avant de la consommer.