Valeur nutritionnelle

Crue, l’igname ne possède qu’une densité nutritive modérée avec une teneur acceptable de 10 % ou plus par rapport à la valeur standard. Elle contient les ingrédients suivants en faibles quantités : potassium, manganèse, vitamine C, vitamine B6, thiamine et fibres alimentaires. Cependant, il est crucial de savoir que l’igname crue possède le niveau de potassium le plus élevé parmi les 10 principales nourritures de base de la planète. En outre, le yam fournit 118 calories environ par portion de 100 grammes. De plus, l’igname figure parmi les aliments possédant un indice glycémique faible, soit environ 54 % de glucose par portion de 150 g.

 

Dans l’igname, la quantité de protéines et la qualité des racines ainsi que des tubercules sont plus inférieures par rapport aux autres aliments de base. Par contre, avec le manioc, les ignames fournissent une proportion assez considérable de protéine, surtout les variétés cultivées en Afrique. Cet apport protéinique se situe plus précisément autour de 5,9 % en Afrique de l’Est et du Sud, et aux alentours de 15,9 % en Afrique occidentale humide.

 

D’un point de vue nutritionnel, l’igname ne peut vraiment pas être considérée comme une source d’acides aminés essentiels, étant donné sa faible teneur en protéines. Selon les experts, un régime avec un important apport en igname doit être complété avec d’autres aliments plus riches en protéines pour permettre une bonne croissance chez les enfants.

 

Pour le peuple africain, notamment les Nigérians et les Africains de l’Ouest, le yam est un aliment précieux. Il constitue à la fois une importante source de revenus et de calories. En effet, l’igname fournit plus de 200 calories par personne et par jour, à plus d’une centaine de millions d’individus en Afrique de l’Ouest. Il s’avère que cultiver cette plante est avantageux, même pour les familles pauvres aux ressources limitées. En tant que nourriture, il est riche en amidon et peut être préparé de plusieurs façons. De plus, l’igname est disponible toute l’année, ce qui la différencie des cultures saisonnières.

 

Toxicité

À l’inverse du manioc, la majorité des variétés de yams cultivés qui sont comestibles ne contiennent pas de constituants toxiques. Toutefois, il y a quelques exceptions. Parmi elles se démarquent les composants amers qui ont tendance à s’entasser dans les tissus des tubercules qui ne sont pas encore à maturité. On les trouve notamment dans les ignames blanches et jaunes. Il s’agit généralement de molécules de polyphénols ou de constituants du genre tanin.

 

Il existe également d’autres variétés d’ignames amères comme le Dioscorea dumetorum qui renferme quelques toxines, à l’instar de l’dihydrodioscorine. Cet élément confère une certaine amertume à la plante, d’où son appellation igname amère. Ces espèces ne sont pas consommées habituellement, sauf dans les régions qui sont particulièrement touchées par la famine ou dans les pays pauvres. Dans ce cas, ces ignames sont détoxifiées grâce à un long trempage dans de l’eau salée ou dans de l’eau douce froide ou chaude, mais aussi dans les ruisseaux. Notez que les constituants amers de ces ignames sont issus des alcaloïdes, qui peuvent se dissoudre dans l’eau. Il faut savoir que l’absorption de ces molécules toxiques peut entrainer des symptômes qui sont parfois graves et pénibles, voire mortels.

 

Les ignames ou pommes de terre aériennes peuvent contenir des composants antinutritionnels. Sur le continent asiatique, des procédés de désintoxication, incluant l’extraction de l’eau, la fermentation et le grillage du tubercule sont appliqués pour les cultivars amers de cette espèce. Les principes amers qui sont aussi connus sous le nom de pomme de terre à air sont constitués de diosbulbine et de saponines comme la diosgénine. Chez les Indonésiens, l’extrait de cette variété d’igname amère est utilisé pour fabriquer la pointe des flèches empoisonnées.

 

Utilisation en médecine

Outre sa consommation, l’igname sauvage peut aussi être utilisée en tant que remède contre un certain nombre de maladies et de symptômes. En effet, les tubercules de certaines ignames sauvages y compris la variante dite « Kokoro » sont très prisés. Ils sont des sources de diosgénine, un genre de sapogénine stéroïde extrait de cette plante. Il en est de même de quelques espèces de Dioscorea telle que la Dioscorea nipponica. Cette disogénine est connue pour sa participation dans la synthèse de la cortisone, du prégnénolone, de la progestérone et d’autres substituts de stéroïdes. D’ailleurs, de telles préparations ont déjà été utilisées dans les premières pilules contraceptives combinées. Sachez que le stéroïde non modifié joue un rôle important dans l’activité œstrogénique.

 

D’après certaines études, la diosgénine est le principe actif de l’igname. Cette substance est considérée comme un précurseur hormonal. Elle possède une structure presque similaire à la progestérone. La diosgénine a d’ailleurs été utilisée par l’industrie pharmaceutique pour créer les premières progestérones de synthèse. À l’heure actuelle, elle est extraite de la plante pour fabriquer de la DHEA. Dans l’organisme, la progestérone et la DHEA font partie de la même chaîne de production d’hormones. La diosgénine agit en tant que précurseur commun à ces deux molécules. Toutefois, cette transformation n’est pas faisable à l’intérieur du corps humain. Les réactions enzymatiques indispensables pour cette transformation doivent être effectuées en laboratoire.

 

L’utilisation du yam par les gynécologues-phytothérapeutes dépend des innombrables situations auxquelles la patiente pourrait être confrontée. Par exemple, il peut être utilisé pour traiter une carence en progestérone avec des résultats cliniques qui sont généralement satisfaisants. L’insuffisance lutéale, les troubles menstruels, la préménopause et la ménopause font partie des troubles que l’igname peut soigner. Depuis ces quelques décennies, l’effet dit « progestérone-like » de l’igname n’est plus à présenter. D’ailleurs, l’igname peut être utilisée en association avec le soja qui est connu pour son activité œstrogène-like. Dans tous les cas, l’usage du yam dans ces différents domaines requiert une consultation clinique préalable. Il s’avère en effet que les phytohormones ne sont pas exemptes d’effets secondaires, elles sont donc contre-indiquées dans un certain nombre de situations.

 

Propriétés et vertus

Considéré comme une plante médicinale, le yam est souvent utilisé en tant que phytomodulateur hormonal. Pour l’expliquer simplement, il a la capacité de provoquer des modifications hormonales. En premier lieu, l’igname permet de stimuler la production d’hormones stéroïdiennes, à l’instar de la progestérone et de l’œstrogène. Cette plante peut aussi stimuler certains récepteurs de la progestérone. En clair, le yam est indispensable dans le traitement des déséquilibres et troubles hormonaux.

 

Le yam peut également agir sur les symptômes de la ménopause. Il aide à soulager les bouffées de chaleur, les sautes d’humeur et permet même de limiter la prise de poids. Mais il peut aussi soigner la baisse de la libido. Avant toute chose, il est important de savoir que les troubles liés à la ménopause sont habituellement causés par la diminution de la sécrétion d’hormones sexuelles. C’est là qu’intervient l’igname. Grâce à la diosgénine, un précurseur végétal d’hormones stéroïdiennes, cette plante est tout à fait capable d’apaiser les signes gênants de la ménopause.

 

Depuis les temps anciens, surtout en Amérique centrale, le yam est utilisé traditionnellement pour soulager plusieurs types de douleurs. Avec les avancées des recherches médicales, l’igname est même célèbre pour ses propriétés anti-inflammatoires et son efficacité prouvée pour combattre les problèmes de sciatique, ainsi que les douleurs rhumatismales telles que l’arthrite.

 

Par ailleurs, le yam est aussi une substance indispensable pour ses vertus décontractantes. L’igname sauvage du Mexique, par exemple, a déjà conquis le cœur des utilisateurs de l’Amérique centrale. Dans cette région, elle sert en tant que décontractant musculaire en cas de fatigue. Même aujourd’hui, le yam est conseillé pour réduire les symptômes liés aux crampes musculaires. La plante est aussi indiquée pour soulager efficacement les crampes digestives et certaines douleurs intestinales. Par ailleurs, l’igname est un antidouleur naturel.

 

Autres bienfaits intéressants

Le yam suscite la curiosité du monde de la médecine. De nos jours, les études se succèdent pour tenter de percer le mystère des autres vertus de cette plante intrigante. Les recherches les plus prometteuses sont surtout basées sur le potentiel cholérétique de l’igname sauvage. En effet, elle serait capable de stimuler la sécrétion biliaire afin de permettre la régulation de la métabolisation des matières grasses. D’autres recherches se concentrent sur les éventuelles propriétés amaigrissantes du yam. Celles-ci sont justifiées par le fait que la plante est capable de diminuer le taux de cholestérol dans le sang.

 

Dans les médecines traditionnelles, il n’est plus à expliquer que l’igname sauvage est considérée concrètement comme un antidouleur et un décontractant musculaire efficace. C’est pour ces raisons que cette plante est préconisée dans le traitement préventif des crampes, notamment en ce qui concerne celles qui surviennent au niveau du système digestif.

 

De plus, de nombreux autres bienfaits seraient aussi inclus dans les programmes de recherches actuels pour déterminer la véracité des effets antifatigue, anticellulite, anti-œdémateux, cholérétique, diurétique et cardioprotecteur de l’igname.

 

Composition de l’igname

D’un point de vue global, c’est la partie souterraine du yam qui est récoltée pour confectionner les remèdes en phytothérapie. Elle est ensuite transformée en poudre avant d’être conditionnée sous forme de compléments alimentaires, entre autres. Ce procédé est essentiel pour obtenir de la farine de yam. Devenu populaire pour ses propriétés thérapeutiques, le yam est principalement sollicité pour sa forte concentration en diosgénine. Elle a la particularité d’être largement utilisée en médecine traditionnelle, malgré le fait que ses autres constituants sont encore méconnus dans l’univers de la médecine. Les scientifiques actuelles s’efforcent d’élucider les facettes encore cachées de l’igname à travers différentes recherches, afin d’en savoir davantage sur ses autres principes actifs.

 

D’ailleurs, on peut dire qu’à l’heure où l’on parle, les scientifiques ont déjà réussi à identifier quelques-uns des autres éléments présents dans sa composition. On peut déjà citer les stérols et les tanins comme des principes actifs contenus dans le yen. Par ailleurs, le rhizome du yam est également composé d’amidon, une source de minéraux et d’oligo-éléments à ne pas négliger. En effet, l’amidon est constitué essentiellement de potassium, de phosphore, de cuivre, mais aussi de plusieurs vitamines comme la vitamine B1, B6 et beaucoup d’autres encore.

 

Posologie éventuelle

Pour le moment, aucune posologie définitive n’a été définie avec précision en ce qui concerne l’utilisation de l’igname sauvage. Toutefois, en se référant aux tests et aux essais déjà effectués à ce sujet, il a été constaté que les doses varient globalement entre 300 à 2000 mg par jour. Pour l’utilisation des extraits, il convient de toujours vérifier au préalable le taux de diosgénine contenu dans le produit. Cette précaution permettra de déterminer la quantité qui pourra être consommée via les compléments alimentaires à base de yam. En cas de doute, il est toujours plus prudent de se fier à la notice qui accompagne le médicament, ou de se rapprocher d’un personnel de la santé afin de savoir la quantité exacte qui est adaptée à l’usage souhaité.

 

Dosage

Tout comme la posologie, il n’existe pas encore de recommandations spécifiques en ce qui concerne le dosage du yam. À l’heure actuelle, il est évalué en fonction de la quantité recommandée par la posologie citée ci-dessus, soit environ entre 300 mg et 2 g par jour. Toutefois, ce dosage peut évoluer en fonction des besoins de chacun et aussi du type d’extrait préconisé. En effet, il est bon de savoir que tous les extraits d’igname sauvage n’ont pas forcément la même quantité de diosgénine. D’une manière générale, il convient de se référer aux indications qui sont mentionnées sur les préparations et de demander un avis clinique au moindre doute.

 

Contre-indications

En considérant le manque d’information concernant l’utilisation de l’igname, il est pour le moment impossible de statuer sur la possible innocuité de cette plante. Cependant, par précaution, l’utilisation du yam est déconseillée chez les enfants, les femmes enceintes ou allaitantes, mais également chez les personnes qui suivent un quelconque traitement hormonal. Dans tous les cas, une cure à base d’igname sauvage doit toujours être prescrite par un médecin et effectuée sous contrôle médical.

 

Effets secondaires

Jusqu’à maintenant, aucun effet secondaire n’a été rapporté au cours d’un traitement ou d’une prise de yam. Malgré la rareté des cas, des troubles digestifs passagers ont tout de même été rapportés. Ces derniers se manifestent généralement par des vomissements.

Appelé également igname sauvage, le yam est une espèce végétale très utilisée en phytothérapie. Il a déjà été assez célèbre sur le continent américain. Il y a des milliers d’années, le peuple aztèque l’exploitait pour traiter un certain nombre de symptômes. Des études récentes ont dévoilé que ses parties souterraines recèlent un élément intéressant : la diosgénine. Cette dernière est un précurseur d’hormones stéroïdiennes. Elle est employée en tant que phytomodulateur hormonal, mais peut aussi être préconisée pour soulager les symptômes de la ménopause.

 

Description

Globalement, « yam » est une appellation commune à certains spécimens de végétaux du genre Dioscorea et qui appartient à la famille des Dioscoreaceae. Ces derniers se démarquent par leurs tubercules comestibles. En clair, les ignames sont en quelque sorte des vignes herbacées vivaces qui sont cultivées pour la consommation de leurs racines féculentes. Ils sont présents dans plusieurs régions tropicales et tempérées, notamment sur le continent africain, en Amérique du Sud, dans les Caraïbes, en Asie et en Océanie. Ce sont les tubercules qui sont communément appelés yam. Ils se présentent sous différentes formes selon les espèces et les cultivars. Il existe plus de 800 variétés d’ignames dont plus de 90 % sont cultivées en Afrique.

 

Le yam dispose de plusieurs tubercules comestibles qui ont une peau rugueuse plus ou moins difficile à peler. Toutefois, elle se ramollit facilement une fois chauffée. Les peaux des ignames varient notamment au niveau de la couleur qui va de brun foncé au rose clair, selon les espèces. La plupart des légumes possèdent une partie plus ou moins molle que l’on appelle « viande ». Chez les ignames matures, elle peut se différencier selon leur couleur qui peut être blanche, jaune, violette ou rose. Les plants du yam peuvent mesurer jusqu’à 15 m de longueur et entre 7,6 et 15,2 cm de hauteur. Son tubercule peut s’enfoncer dans le sol jusqu’à 1,5 m de profondeur. Il faut noter que le yam se disperse par graines.

 

Les semailles commencent généralement au moment où les tubercules entiers ou des portions de tubercules sont plantés dans des billons ou des monticules. Cela correspond souvent au début de la saison des pluies. Le rendement dépend de l’endroit et de la façon dont les ensembles sont plantés. Il varie en fonction de la taille des monticules, de l’espacement entre les plantes, de la qualité des piquets pour les plantes résultantes, des espèces choisies et de la taille des tubercules souhaitée pour la récolte. Les ignames sont souvent cultivées avec des céréales et des légumes, une pratique courante chez les agriculteurs de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Les gaines des ignames sont périssables et assez encombrantes à transporter. Les agriculteurs mettent habituellement de côté 30 % de leur récolte de la saison précédente pour les prochaines semailles. Les ignames blanches, jaunes ou aquatiques offrent généralement un seul gros tubercule chaque année. Il peut peser jusqu’à 10 kg.

 

Origine, histoire et utilité

L’igname sauvage est une plante dont la partie souterraine est la plus sollicitée. Elle est utilisée soit pour la consommation ou pour servir de remèdes. D’ailleurs, cette espèce est prisée dans plusieurs pays du globe, notamment en Amérique centrale. Sachez qu’à l’origine, c’est le peuple aztèque qui a eu l’idée d’utiliser le yam pour traiter différents maux comme le rhumatisme, la sciatique, les affections cutanées, le syndrome prémenstruel et les douleurs ovariennes. Grâce aux découvertes scientifiques, le yam a commencé à se faire connaître dans les années 40 et 50. Finalement, les chercheurs ont pu identifier la présence de la fameuse diosgénine à l’intérieur des rhizomes de l’igname. Il s’avère que cette substance était bien connue à l’époque. La diosgénine fut identifiée pour la première fois par des équipes de scientifiques japonaises vers les années 1930. Notez que cette molécule est un précurseur végétal d’hormones stéroïdiennes. Elle joue un rôle crucial dans la synthèse de la progestérone et de l’œstrogène, deux hormones importantes chez les femmes.

 

Par ailleurs, le yam est devenu également une référence dans le soin des déséquilibres hormonaux, notamment ceux liés à la ménopause. Dans le secteur de l’industrie pharmaceutique, la diosgénine est extraite à partir de la plante pour être utilisée dans la formulation de traitements hormonaux. En revanche, en phytothérapie, les tubercules sont transformés en une sorte de farine sèche et poudreuse pour servir dans l’élaboration des compléments alimentaires.

 

Il est utile de mentionner que l’appellation d’igname sauvage désigne ordinairement quelques centaines d’espèces différentes. Même si elles appartiennent toutes au genre Dioscorea, elles ne disposent pas des mêmes vertus. En phytothérapie, la variété la plus utilisée est le Dioscorea villosa. Cependant, les recherches ont révélé des caractéristiques semblables ce dernier au sein d’autres variétés dont la Dioscorea composita, la Dioscorea barbasco et la Dioscorea mexicana.

 

Dans les temps anciens, l’igname sauvage était principalement utilisée dans la médecine traditionnelle aztèque. On s’en servait surtout pour soulager le rhumatisme et les règles douloureuses.

 

Apparence et composition

Ressemblant à une liane, le yam est une plante résistante et grimpante. À l’âge adulte, il peut dépasser les 5 mètres de hauteur. Le yam dispose de petites fleurs et de feuilles larges qui ont la forme d’un cœur. Sa partie souterraine est constituée de rhizomes. Similaires aux tubercules, ces derniers sont munis de plusieurs radicelles. Les rhizomes mesurent généralement entre 7 et 8 cm de long pour 5 à 10 mm de diamètre. Ils sont blancs et parfois gris à l’extérieur et dotés d’une chair blanche.

 

Les rhizomes sont les parties les plus utilisées en phytothérapie. Ils doivent d’abord être lavés, écrasés et séchés avant d’être conditionnés. Le but de ce traitement est de transformer les rhizomes en farine qui pourra être utilisée telle quelle ou sous forme de compléments alimentaires. Actuellement, le yam est surtout célèbre pour sa forte teneur en diosgénine. La liste des autres compositions n’est d’ailleurs pas encore complétée à ce jour. Toutefois, les recherches récentes ont permis de distinguer quelques éléments comme les stérols, les tanins et l’amidon.