Grand arbre aux allures majestueuses, les peupliers sont des espèces assez répandues à travers le monde. Si certains sont utilisés pour orner les terres fertiles, d’autres sont appréciées pour leurs écorces au goût subtil. Il y en a aussi qui sont réputé pour leurs vertus médicinales dont les propriétés sont connues pour faire du bien à l’organisme. Sur le continent européen, asiatique ou en Amérique du Nord, le peuplier fait le bonheur de chacun pour ses innombrables bienfaits. Le peuplier noir, par exemple, est une variété exceptionnelle qui est très prisée dans l’univers de la phytothérapie. De ses bourgeons à ses dérivés, le peuplier noir peut intervenir dans plusieurs maladies.

 

Définitions

Appartenant à la famille des Salicacées, les peupliers sont des arbres plus ou moins colossaux du genre Populus. Ce dernier se décline en plus de 30 espèces qui prolifèrent dans les régions tempérées et froides de l’hémisphère nord. Toutefois, l’appellation peuplier désigne aussi un bon nombre d’espèces hybrides naturelles ou artificielles. Se démarquant des autres arbres par leur croissance rapide, les peupliers sont trouvent assez rarement dans les forêts denses. En revanche, ils préfèrent plutôt les ripisylves et les abords des endroits humides. Tout comme les saules, les peupliers sont tout autant appréciés par les castors.

En général, les peupliers sont des arbres qui préfèrent des zones humides, voire même inondées. S’ils poussent près des habitations, leur système racinaire est assez important et est habituellement traçant et superficiel, à l’image du peuplier d’Italie, par exemple. Les racines de cette espèce ainsi que d’autres peuvent éventuellement détruire des murs, détériorer les enrobés bitumés et même envahir les tuyaux d’égouts.

 

Cependant, d’autres spécimens comme le peuplier tremble peuvent proliférer sur des terrains sablonneux pauvres. À une distance respectable de la mer, ils arrivent à supporter les embruns marins.

 

Parmi les variétés les plus réputées se démarque le peuplier noir. En effet, ce dernier tient une place importante dans le monde de la médecine traditionnelle. Arbre de grande taille, le peuplier noir préfère surtout les sols riches et dépourvus ou presque de végétations, pour ne citer que les grèves et les bancs de sable humides. Avec le temps, les scientifiques ont pu créer des variétés hybrides, comme le Peuplier d’Italie ou Populus nigra var. Italica. Celui-ci se distingue par son port érigé et étroit. Il est surtout planté pour servir d’ornement ou d’alignement. Avec ses fibres souples, le peuplier noir fait partie des arbres qui servent à la fabrication du bois déroulé pour le placage et pour confectionner le contreplaqué. Toutefois, il suscite également un intérêt particulier dans la médecine grâce à ses innombrables propriétés thérapeutiques. Il sert en outre à fabriquer du charbon actif.

 

En effet, le peuplier noir est considéré comme étant une plante médicinale qui est utilisée pour ses vertus diurétiques, astringentes, toniques et aussi fébrifuges. Le charbon végétal dont dispose le peuplier est reconnu pour sa capacité à combattre les fermentations intestinales et les gaz. Il agit en les absorbant. Jusqu’à l’heure actuelle, ce genre de charbon est souvent recommandé pour soigner les blessures, les hémorroïdes et les fissures anales.

 

Par ailleurs, autrefois les bourgeons de peuplier étaient couramment utilisés pour préparer le fameux « onguent populéum ». Pour le fabriquer, on accompagne cette partie de ce végétal des composants suivants : feuilles de jusquiame, belladone, morelle, pavot, axonge et alcool.

 

Fiche technique du peuplier noir

Nom latin : Populus nigra

Nom(s) vulgaire(s) : Peuplier commun, peuplier franc, liard, liardier.

Famille : Salicacées

 

Le peuplier noir est un arbre culminant, pouvant atteindre ou même dépasser les 25 mètres de hauteur. L’espèce préfère surtout le bord des rivières, mais également les lieux humides de toutes les régions et peut vivre jusqu’à 400 ans. Le peuplier noir peut pousser même à 2 000 mètres d’altitude. Il est assez présent dans le centre et le sud de l’Europe, en Asie tempérée et aussi en Afrique du Nord. Le peuplier noir est habituellement cultivé. C’est notamment le cas de la variété fastigiée qui est connue sous le nom de « peuplier d’Italie ». Ce dernier se démarque des autres espèces par sa silhouette plutôt élancée.

 

Le tronc du peuplier noir est habillé par une écorce crevassée teintée en brune. Ses larges feuilles sont presque triangulaires, et ont une coloration verte luisante sur leurs deux faces. Quant à ses bourgeons, ils sont couverts d’une substance résineuse jaune qui propose un profond parfum balsamique. Ses fleurs sont disposées en chatons, de couleur rougeâtre pour les mâles et verte pour les femelles. Le peuplier noir fleurit aux alentours du mois de mars jusqu’en avril. Son fruit est une sorte de capsule ovoïde équipée d’un duvet cotonneux qui contient les graines.

 

Caractéristiques

Les peupliers sont habituellement de grands arbres qui possèdent des feuilles simples, alternes, cordiformes, triangulaires ou ovales, parfois caduques et acuminées, présentant un long pétiole comprimé. Ils sont de forme traçant au niveau de ses racines. La dissémination par drageonnage se fait à partir de ses racines superficielles. L’écorce affiche une teinte plus ou moins pâle, surtout chez le jeune arbre, mais devient de plus en plus crevassée au fur et à mesure que l’arbre vieillit. Son bois est plutôt blanc, léger, délicat et a une certaine résistance. Il est adhérent et plus ou moins fissile.

 

Les peupliers sont du genre dioïque. C’est-à-dire que l’arbre est soit un mâle ou une femelle. Ses fleurs se réunissent en chatons pendants. Elles apparaissent généralement avant les feuilles. Les fleurs mâles comportent 8 à 30 étamines plutôt rougeâtres. Concernant l’ovaire de la fleur femelle, il est uniloculaire avec deux carpelles. Au moment de la fécondation, ces ovaires forment une capsule uniloculaire à deux valves qui contiennent plusieurs graines velues.

 

Localisations

Dépendant de la variété et du terrain, le peuplier est habituellement omniprésent sur le continent américain. Le peupler faux-tremble et le peuplier baumier, par exemple, se retrouvent en masse sur les terres canadiennes, mais également sur la partie ouest jusque dans le nord du Mexique. Le peuplier baumier est assez présent au Canada et sur la partie nord des États-Unis. Le peuplier de Lombradie, lui, est planté un peu partout sur les bords des routes ainsi que sur les abords des chemins privés. Concernant le Populus deltoides, il préfère plutôt les terres du sud-ouest du Québec. Dans leur ensemble, les peupliers sont particulièrement friands des terrains d’alluvions, mais peuvent aussi se contenter des divers autres endroits.

 

Focus sur les variétés comestibles

Durant le printemps jusqu’au commencement de la période d’été, l’écorce interne du peuplier baumier devient plus épaisse et offre un goût sucré. D’ailleurs, l’écorce en question est assez juteuse qu’elle a été classée dans la catégorie des aliments préférés des Amérindiens. Ces derniers la préféraient qu’ils sont même capables de les manger sur place. Souvent, ils en rapportaient au campement pour en fabriquer, entre autres, un genre de dessert qui va être mélangé à de la graisse de poisson-chandelle ou à une autre variété d’huile. Avec sa saveur sucrée, l’écorce interne du peuplier baumier peut se détériorer rapidement par fermentation. Cette étape était attendue pour que l’on puisse obtenir une boisson avec des propriétés enivrantes. Par ailleurs, les Amérindiens consommaient également l’écorce du peuplier faux-tremble ou Populus tremuloides, mais aussi celle du peuplier à grandes dents ou Populus grandidentata. De même, les peuples de l’Europe et de l’Asie avaient également l’habitude de consommer d’autres variétés de peupliers.

 

C’est surtout le Populus deltoides qui était plutôt prisé dans l’alimentation. Ce sont notamment ses bourgeons et son écorce interne qui sont consommés. Sachez que les inflorescences et les jeunes pousses sont également comestibles. Elles mangent de préférence cuit. Au cours des pénuries alimentaires, les feuilles de plusieurs espèces de peupliers faisaient aussi partie des nourritures quotidiennes, malgré le fait qu’elles ne sont pas vraiment savoureuses. Il n’est pas rare en outre que dans quelques nations, on avait l’habitude d’utiliser les cendres de peupliers pour remplacer le sel, notamment avant l’arrivée des colonisateurs.

 

Même jusqu’à ce jour, il est toujours courant de cueillir le célèbre champignon du peuplier qui pousse sous la variété dite « peuplier baumier ». Ce champignon comestible vit en symbiose avec cette espèce particulière et s’avère être un vrai délice pour les Amérindiens de l’Ouest.

 

Le peuplier vis-à-vis de la médecine traditionnelle

Il est connu depuis longtemps que le peuplier possède des vertus diurétiques. Il permet aussi d’éliminer une certaine quantité d’acide urique. Cet arbre est également un antiputride urinaire, un aseptisant, un tonique et un fluidifiant des sécrétions bronchiques.

 

Utilisation des bourgeons

Chez certaines espèces de peupliers, notamment le P. nigra, ce sont les bourgeons qui sont recommandés pour des cures. Cette partie de l’arbre est à utiliser par voie interne pour le traitement des maladies chroniques en relation avec les poumons, mais aussi les voies urinaires. Les bourgeons du peuplier noir peuvent également soigner les rhumatismes chroniques. Afin d’en bénéficier, la plante est préparée pour en faire une infusion ou conditionnée pour en extraire une teinture. Ce dernier procédé consiste à assembler une partie de bourgeons frais avec 6 parties d’alcool à 33 degrés. Toutefois, les remèdes à base de bourgeons de peuplier noir peuvent également se présenter sous forme d’extrait fluide qui fera partie des composants d’un sirop contre la toux.

 

Tout comme la constitution du saule qui appartient aussi à la même famille botanique, le peuplier recèle une quantité considérable en salycates. Lorsque les bourgeons sont ingérés dans l’organisme, les salycates se transforment en acide salicylique connu pour son pouvoir calmant. En outre, sur le continent américain, ce sont surtout les variétés dites balsamifera et deltoides qui sont convoités pour leurs bourgeons. Ces derniers sont réputés pour entrer dans diverses préparations médicinales, pour ne citer que le sirop composé de pin blanc. Ils sont également indispensables dans la fabrication d’onguents et de pansements.

 

En outre, il est aussi possible d’obtenir du vin de bourgeons de peuplier en faisant macérer environ 100 grammes de bourgeons préalablement concassés dans un litre de vin. Notez que ce breuvage s’avère être un excellent tonique en printemps. Généralement, il est de coutume d’ajouter une quarantaine de grammes d’écorce d’orange amère pour augmenter l’effet tonique de ce vin. Mais même sans l’assaisonnement, il est assez efficace. La macération dure environ une dizaine de jours. Après il faut filtrer le tout. Il est conseillé d’en prendre 50 ml à raison de deux fois par jour avant le repas.

 

Utilisations de l’écorce

L’écorce du peuplier noir a un goût plutôt amer, contrairement à ses bourgeons. Cette partie du peuplier sert surtout de succédané à la quinine, car elle dispose des mêmes propriétés toniques. L’écorce était autrefois prescrite par les guérisseurs pour le traitement des cas de débilité, de problème d’indigestion, d’hystérie et de perte de conscience, sans oublier ses facultés à traiter les troubles urinaires. L’écorce du genre Populus alba européen servait de médicament pour soigner la sciatique et les brûlures. Les Amérindiens ont eu l’habitude d’utiliser l’écorce du faux-tremble comme produit vermifuge, mais on l’employait également, tout comme ses feuilles pour traiter les cas de fièvre. Dans la tradition des herboristes du continent américain, l’écorce d’un certain nombre d’espèces de peuplier fait partie des composés qui sont indiqués aux femmes souffrant de troubles de menstruations.

 

Utilisation du bois

Connu par les scientifiques comme étant un antiseptique intestinal, le charbon végétal est souvent conçu avec du bois de peuplier. Il peut parfois arriver qu’il soit aussi fabriqué avec du bois de bourdaine. Le charbon végétal est un allié précieux pour absorber les gaz intestinaux, les toxines microbiennes ainsi que divers poisons. Il est tout à fait capable de diminuer les effets dévastateurs de ces substances toxiques. C’est en quelque sorte pour cela que le charbon de peuplier est employé pour traiter les ballonnements, les diarrhées putrides, les colites et les intoxications liées à l’alimentation ou autres causes. En principe, quelques équipements rudimentaires suffisent pour fabriquer ce charbon végétal. Néanmoins, quelques critères doivent être pris en compte afin que le charbon puisse apporter les effets recherchés. La combustion du bois en question, par exemple, doit se faire très lentement et de manière incomplète. Autrefois, les bois étaient empilés en tas avant d’être recouverts de paille humide ou aussi de terre. C’est ensuite qu’on y met le feu. À l’heure actuelle, le procédé se fait le plus souvent par distillation à l’abri de l’air.

 

Utilisation des feuilles

Jadis, les feuilles du peuplier étaient directement appliquées sur les coupures superficielles et les plaies ulcérées. Sur le territoire européen, c’est un extrait liquide à base de feuilles du Populus tremula qui est surtout employé pour apaiser l’inflammation accompagnée d’hyperplasie de la prostate. Selon les scientifiques, l’action bénéfique des feuilles de peuplier serait attribuable à la présence des glucosides de salicylé dans leurs substances actives.

 

Les principaux constituants du peuplier

À l’image des peupliers noirs en particulier, les bourgeons et l’écorce des jeunes rameaux contiennent des glucosides phénoliques, incluant la salicine, les acides gras, les flavonoïdes, les tanins, les salicylates et une essence aromatique qui sont particulièrement riches en alpha et bêta-caryophyllène.

 

Utilisation traditionnelle

Les vertus médicinales du peuplier sont connues depuis l’Antiquité. Jadis, avec un peu de feuille de belladone, de jusquiame, de morelle et de pavot, les bourgeons de peuplier faisaient partie de la composition du célèbre « onguent populéum ». Cette crème calmante était autrefois employée, entre autres, pour lutter contre les symptômes des hémorroïdes. Il fut également un temps où un scientifique du nom de Leclerc a catégorisé le peuplier parmi les sédatifs à utiliser en cas de douleurs musculaires.

 

Propriétés

Certes, le mieux c’est d’étaler chacune des propriétés de toutes les variétés de peupliers qui sont susceptibles d’intéresser l’univers de la médecine. Toutefois, il convient de distinguer une espèce assez particulière qui mérite vraiment l’attention : le peuplier noir. En effet, cette espèce dispose de plusieurs pouvoirs extraordinaires qui apportent la santé au sein de l’organisme. Elle possède entre autres, de propriétés diurétiques qui permettent d’améliorer le fonctionnement de l’appareil urinaire. Le peuplier noir détient aussi des vertus sudorifiques qui favorisent une meilleure transpiration. Avec leurs vertus toniques, les molécules de cette plante jouent un rôle crucial dans l’organisme.

 

Le peuplier noir est utilisé pour traiter les affections urinaires, les névralgies, les arthralgies, les rhumatismes et la tuberculose. Par ailleurs, certaines parties de cet arbre sont sollicitées pour leurs effets aseptisant, permettant de dégager les bronches. C’est pourquoi le peuplier noir est conseillé dans le traitement des bronchites chroniques. En usage externe, le peuplier noir est un excellent remède pour la cicatrisation des plaies, les maladies de la peau, les ulcères et aussi les hémorroïdes.

 

Il est possible de lutter contre les fermentations intestinales avec le charbon végétal obtenu par la combustion du peuplier. L’utilisation du charbon de peuplier est une alternative efficace pour absorber les gaz et les substances toxiques sécrétées par les microbes qui prolifèrent dans le gros intestin. L’écorce des jeunes rameaux qui atteignent l’âge de deux à trois ans peut aussi être utile dans la médecine traditionnelle. En effet, ces parties de la plante sont réputées pour leurs propriétés astringentes, toniques, fébrifuges et antiscorbutiques. Toutefois, les bourgeons sont également très prisés pour leurs vertus diurétiques et antirhumatismales. Ils permettent ainsi d’augmenter les volumes des urines et sont aptes à éliminer l’acide urique, ils sont particulièrement conseillés lors de l’apparition des maladies de la vessie.

 

Concernant toujours les bourgeons du peuplier noir, leur usage est bénéfique en cas de rhumatisme articulaire ou lors des manifestations névralgiques causées par un refroidissement spontané, mais également en cas de courbatures consécutives en relation avec un effort intense. Ce n’est pas tout, il s’avère aussi que les bourgeons de peuplier possèdent de propriétés expectorantes et antiseptiques qui les rendent indispensables pour combattre la toux et pour traiter les catarrhes pulmonaires. En raison de la similitude de leur résine avec la propolis, le peuplier noir permet aussi de lutter contre les infections bactériennes ainsi que les mycoses, notamment grâce à leurs vertus antibiotiques.

 

Posologie

Depuis l’Antiquité, les Grecs avaient déjà décelé un certain nombre de propriétés thérapeutiques du bourgeon de peuplier, notamment en ce qui concerne le genre Populus nigra. Cependant, ces qualités étaient également observables sur plus d’une trentaine d’espèces, incluant le peuplier baumier ou Populus balsamifera.

 

En ce temps-là, il suffisait de laisser macérer environ 100 g de bourgeons concassés dans 1 litre de vin avec parfois une quarantaine d’écorces d’orange amère pour obtenir du vin de peuplier. Préparés en tisane, les bourgeons étaient aussi utilisés pour le traitement des infections urinaires.

 

Dans la phytothérapie, il est tout à fait possible de préparer une sorte de macérat-mère en utilisant quelques bourgeons de peuplier. Afin de profiter de manière optimale des bienfaits des bourgeons, il est recommandé de faire une cure d’au moins 3 semaines de ce macérat. Néanmoins, la cure peut être prolongée jusqu’à 12 semaines en respectant un intervalle de pause d’une semaine toutes les 3 semaines. Dans ce cas, la posologie recommandée est de 15 gouttes en moyenne par jour, à diluer dans une petite quantité d’eau. Quoi qu’il en soit, il est toujours préférable de se fier aux indications inscrites sur l’emballage du produit ou de demander conseil auprès d’un médecin, d’un herboriste ou d’un pharmacien avant d’utiliser les bourgeons.

Pour un usage interne, le peuplier peut être utilisé sous différentes formes, dépendant du traitement souhaité et des symptômes constatés. Pour diminuer le taux d’acide urique dans le sang, par exemple, il est conseillé de recourir à l’utilisation d’un sirop uricolytique à base de peuplier. La posologie idéale pour ce genre de médicament est de 1 cuillère à soupe à avaler toutes les 2 heures. Pour combattre les bronchites chroniques, 4 ou 5 cuillères à soupe de ce sirop sont à prendre par jour, à condition de bien espacer les prises tout au long de la journée.

 

Précautions d’emploi

Il est crucial de mentionner que l’usage des plantes, incluant le peuplier, n’est pas toujours sans danger pour la santé. Ainsi il est fortement recommandé de ne jamais dépasser les doses indiquées soit sur les notices du produit soit venant d’un thérapeute. En cas de doute, il faut se fier aux prescriptions établies par le spécialiste ou le pharmacien.